Le Théâtre Baroque Espagnol

Don Giovanni Epoque: Don Giovanni a été créé le 29 octobre 1789 au Théâtre National de Prague. L’œuvre à l’Opéra de Paris. Don Giovanni a été représenté pour la première fois au Palais Garnier le 29 novembre 1875, dans une version française de Castil-Blaze et Emile Deschamps. En 1934, une nouvelle version française d’Adolphe Boschot était proposée, dirigée par Bruno Walter et avec André Pernet dans le rôle-titre. En 1956, c’est à José Beckmans, ex-interprète du rôle, que l’on confia le soin

car il lui donneront le goût du théâtre. - Formation intellectuelle : *1633-1639 : Jean-baptiste Poquelin sera élève au Collège de Clermont (futur Louis-Le-Grand) et il assistera à de nombreuses représentations à l'Hôtel de Bourgogne grâce à ses grands-pères. *1642 : il étudie le droit à Orléans. Après avoir obtenu sa licence, il est inscrit au barreau pendant six mois mais à la demande de son père il prend la charge de tapissier. - Genre littéraire : le théâtre - Grands évènements de sa vie

Christian durant son combat Roxane le voyant dans cet état cours vers lui et il lui donne une dernière lettre qui n'est pas écrite par lui , mais par Cyrano avant de mourir dans ses bras. 3- Vers 34 à 55 : Cyrano se lance dans le combat contre les Espagnols pour rendre hommage à Christian et décide donc de garder le secret concernant les lettres écrite à la place de Christian. 3) Les situations d'énonciation qui sont présentes dans le texte sont : -Cyrano s'adresse à Roxane -Le Bret qui interpelle

collectif. Le DON JUAN de Molière n'est pas qu'un séducteur, c'est un révolté qui renie tous les codes moraux et sociaux                  DOM JUAN ou LE FESTIN DE PIERRE  1665 COMEDIE REPRESENTEE POUR LA PREMIERE FOIS LE 15e FEVRIER 1665  SUR LE THEATRE DE LA SALLE DU PALAIS-ROYAL PAR LA TROUPE DE MONSIEUR, FRERE UNIQUE DU ROI   contexte: |Libelle écrit par un certain Rogemont derrière lequel pourrait se cacher le Prince de Conti, ancien libertin devenu dévot. | |" Une religieuse débauchée

Dom Juan[1] ou le Festin de pierre est une comédie de Molière en cinq actes (comportant respectivement trois, cinq, cinq, huit et six scènes) et en prose jouée pour la première fois le 15 février 1665 au Théâtre du Palais-Royal. Sommaire [masquer] 1 Personnages 2 Résumé 3 Réception 4 Intentions de Molière 5 Analyse de l'œuvre 5.1 Dom Juan 5.2 Sganarelle 5.3 Les rapports maître-valet 5.4 Dénouement 6 Registres 7 Répliques célèbres 8 Adaptations 9 Notes et références 10 Voir aussi

Le Théâtre Ce qu’il faut retenir de l’objet d’étude en 2nde 1« Je suis maître de moi comme de l’univers » vers célèbre d’Auguste dans Cinna de Corneille. (p.33) 2Le théâtre doit à la fois « plaire et instruire ». (p.34) 3Dans Britannicus, Racine s’inspire de l’histoire romaine. Cette tragédie politique a lieu sous le règne de Néron (1er s. ap. J.-C.), empereur célèbre pour sa cruauté. Il a été placé sur le trône par sa mère Agrippine, seconde épouse de l’empereur Claude, qui a écarté

festin de Pierre est une tragi-comédie écrite en 1665 par Molière, inspirée du mythe créé par l’Espagnol Tirso de Molina. Cette pièce nous conte les aventures d’un grand aristocrate espagnol et de son fidèle serviteur, inspiré de la comdia dell arte, Sganarelle. En pleine époque classique, Molière crée une pièce baroque sur le sujet du libertinage. Tout comme Tartuffe, Dom Juan subit rapidement la censure après quelques représentations. (accroche avec informations sur l’oeuvre) L’extrait présenté ici

privées et de collections publiques européennes (Musées des Beaux-arts de Lille, Nantes, Rennes, Oxford, Liège…). Elle offre une vision inédite de deux grands mouvements artistiques apparus au XVIIe siècle et de leurs relations croisées : la peinture baroque flamande dont Rubens est le chef de file et l’école classique française, emmenée par Poussin. Le Musée Jacquemart-André se propose ainsi d’écrire une nouvelle page de l’histoire de l’art. Sous le Haut Patronage de Monsieur Nicolas Sarkozy Président

se crève les yeux, Orphée se retourne dans les Enfers pour voir son Eurydice, Actéon est coupable d’avoir vu ce qu’il ne devait pas voir. Le thème de l’œil et du regard a beaucoup inspiré les grands mythes. Plus tard, la littérature que ce soit au théâtre, dans les romans, en poésie a repris ce topos. Dans les grandes œuvres, le thème du premier regard a été maintes fois exploité, de Roméo et Juliette au Rouge et le Noir en passant par Baudelaire dans L'amour du mensonge. Les yeux sont par excellence

tholos (temple circulaire), couvert par une coupole, de style dorique externe et corinthien interne, plus fantaisiste. * Apparition du style corinthien : chapiteau décoré de feuilles d’arcanthes. Architecture civile * Construction de théâtres : utilisation de pentes naturelles pour tailler les gradins, orchestra ronde avec autel, scène et décors à l’arrière. Passage entre salles et gradins Sculpture * Au début, visage encore oriental, proportions moyennes, mais progressivement