Le Torrent

rues , et les ruisseaux, ordinairement à sec, roulent alors des torrents qui gonflent petit à petit les rivières …. En quelques minutes le niveau de l’eau monte dans le lit de la rivière de trois, quatre, cinq…. Mètres ! Que remarquez-vous ? 1- Tous les mots écrits en rouge constituent un ensemble de mots qui se rapportent à une même notion , idée ….Ils ont un rapport avec les pluies (précipitations – ruisseaux -Inondations- torrents – rivière- il pleut- l’eau ….) 2- Cette notion ou idée peut

fable. « Le torrent et la rivière » est une de ces fables. Ce poème met en scène un homme fuyant des voleurs. Il traverse successivement un torrent assé tumultueux avec aisance, puis une rivière qui paraissait calme et paisible dans lequel il sombra. « Le torrent et la rivière » tiré du livre VIII écrit par Jean de La Fontaine. | | |               Avec grand bruit et grand fracas | |               Un Torrent tombait des

simples métaphores. δe sens général n’apparaît très clairement qu’à la fin : Rome, qui dominait le monde barbare, désormais en ruine est à présent dominée parce ceux-là mêmes qu’elle a autrefois vaincus. 4 Tableau 1 Comme on passe en été le torrent sans danger, 3 / 3 // 3 / 3 Qui soulait en hiver être roi de la plaine, 3 / 3 // 3 / 3 Et ravir par les champs d’une fuite hautaine 3 / 3 // 3 / 3 L’espoir du laboureur et l’espoir du berger : 2 / 4 // 3 / 3 Comme on voit les couards animaux outrager

japonais une impression de dimensions infinies. Des roches sédimentaires sont utiliser pour les bordures des plans d’eau ainsi que des roches volcaniques pour symboliser les montagnes et également des roches métamorphiques pour les chutes d’eau et les torrents. Les plantes utilisées sont principalement des végétaux originaires du Japon, comme des cerisiers, plantés uniquement pour leurs fleurs alors que leurs fruits sont insignifiants, contrairement aux cerisiers que l’on trouve en France. On trouve également

vagabonde Dont les sages ont peur de loin Peut-être, en emportant le monde, Nous laissera dans notre coin. Oh ! viens ! dans mon âme froissée Qui saigne encor d'un mal bien grand, Viens verser ta blanche pensée, Comme un ruisseau dans un torrent ! Car sais-tu, seulement pour vivre, Combien il m'a fallu pleurer ? De cet ennui qui désenivre Combien en mon coeur dévorer ? Donne-moi, ma belle maîtresse, Un beau baiser, car je te veux Raconter ma longue détresse,Vous connaissez que

puis au soir elle est morte. Une fleur, mais plustost un torrent mene-bruit Qui rencontre bien-tost le gouffre où il se plonge; Torrent, non, c'est plustost le songe d'une nuit, Un songe! Non vrayement, mais c'est l'ombre d'un songe. Encor l'ombre demeure un moment arresté, L'homme n'arreste rien en sa course legere; Le songe quelquesfois predit la vérité, Nostre vie est toujours trompeuse et mensongere. Maint torrent s'entretient en son rapide cours, On ne void point tarir la

impressionnisme) 2.Les acteurs : -un locuteur spectateur "on" + verbes de perception ou de pensée : "on voit", "on devine", "on pense". -vision conditionnée par la vitesse du vélo. -jugement mélioratif "proportions parfaites", v.8 "grâce" + images "torrent de soleil" -perceptions visuelles et auditive "un chien aboie", "froid du carreau", v15 tactiles "vibre", "effleurer" 3.L'action : -déplacement du vélo traduit par les enjambements + longueur des mètres -effet de surprise avec "soudain",

rendent la scène plus héroïque qu’elle ne l’est vraiment. Mais petit à petit, le registre de l’épique s’installe : les hommes sont soumis à des forces surhumaines qui les dépassent : « la route devenue torrent » signifie qu’il y avait tellement d’hommes qui défilaient que la route ressemblait à un torrent très agité. Afin de renforcer cette idée d’épique, le narrateur utilise le champ lexical du combat : « derniers bataillons » ; « éclat assourdissant ». Par ailleurs, le narrateur utilise de nombreuses

le cycle est bouclé. Ces quatre grands groupes participent à la chaîne alimentaire. | DE LA SOURCE A L'ESTUAIRE LES ECOSYSTEMES AQUATIQUES | | | | | | On peut observer quatre écosystèmes différents : le torrent, la rivière, le fleuve, l'estuaire. Le torrent, où coule une eau froide (entre 5 et 15°), claire et bien oxygénée, du fait du courant rapide, avec beaucoup de matières minérales (petits cailloux) en suspension ou qui roulent sur le fond de l'eau. L'eau est limpide, avec

composent sont serrés. C'est également une masse en mouvement, comme le soulignent les verbes « descendre », « rouler », le nom « l'élan », et qui semble déferler de manière irrésistible : « la route, devenue torrent, roulait des flots vivants qui semblaient ne pas devoir s'épuiser ». La métaphore du torrent et l'hyperbole insistent bien sur ce déferlement ininterrompu tout comme l'expression « toujours […] de nouvelles masses noires » où l'adverbe « toujours » et l'adjectif « nouvelles » signifient qu'elles