Le Totalitarisme Une Notion En Debat

domination) et gouvernés (qui sont dominés). Moyen artificielle et non naturel, créé par l'Homme. Les hommes de droit font donc respecter l'organisation. Si la contrainte s’exerce sur d'autres hommes, il faut faire la distinction entre pouvoir de fait (totalitarisme) et pouvoir de droit. Cependant, c'est une limite difficile à cerner car un pouvoir de fait peut devenir un pouvoir de droit. Les pouvoirs de droit sont d'ailleurs généralement d'anciens pouvoirs de faits qui ont été accepté par le temps, l'acception

sondages peuvent ainsi infléchir une politique . Ils peuvent également exercer une importante influence sur le choix d'un candidat aux élections . Section 2 ==> La Science politique est une science dont le phénomène politique est l'objet . La notion de politique est extrêmement difficile à définir . Il est vrai que l'étymologie du mot peut offrir un point de référence , néanmoins il faut être conscient de l'impossibilité de donner une définition complètement satisfaisante du mot politique.

1 Typologie classique 2.1.1 Confusion de la souveraineté de droit divin et de la souveraineté royale 2.1.2 Souveraineté populaire et souveraineté nationale 2.1.2.1 Souveraineté populaire 2.1.2.2 Souveraineté nationale 2.1.2.3 Mélange des deux notions 2.2 Typologie moderne 2.2.1 Souveraineté domestique ou interne 2.2.2 Souveraineté westphalienne ou indépendance, voire interdépendance 2.2.3 Souveraineté internationale légale 3 Histoire de la souveraineté 3.1 Construction des États au Moyen

espacés dans le passé, ils suggèrent au contraire la remarquable permanence de l’État. Ils s’appuient ensuite sur la théorie de l’État constitutionnel de Gianfranco Poggi pour affiner leur conception minimaliste de l’État. Enfin, ils mobilisent la notion de régime développée par Raymond Aron pour caractériser une partie des transforma- tions observées, labellisées transformations de l’État de manière erronée puisqu’elles concernent le gouvernement et la politique. Cette proposition est testée à partir

installation transcendante des libertés publiques mais ç riqsque de remplacement d’une dictature par une autre forme de de dictacture. Il est donc difficile de considérer que les libertés publiques sont bien protégé il faut d’ailleurs constster que la notion de libertés publiques n’est pas claire qu’elle comprends certains ambiguitésqu’il faut évoquer avant de traiter de le sens contemporain des libertés publiques. §I. L’ambigüité des libertés publiques A) L’utilisation de l’expression «  libertés

oppositions plus récentes : 1. installation d’une zone réservée soviétique en Europe de l’Est sous contrôle de l’Armée Rouge et des Partis communistes : ==> notion de « glacis protecteur », de « Rideau de fer » (CHURCHILL Fulton 1946) 5 p.75 1. contestations soviétiques anti-états-uniennes : 1. fin du prêt-bail jugée trop rapide ! 2. débat sur la « bombe nucléaire » : pressions soviétiques à l'ONU. 4 de vrais affrontements MAIS indirects 1. Grèce : communistes (Kapétanios) contre monarchistes

« principe de bon sens »I. Bon sens oui, au regard d'une culture qui place le pouvoir politique et l'autorité en général au service exclusif de la personne. Au xxe siècle, le principe de subsidiarité sert de référence explicite et alimente des débats permanents dans certains pays européens, comme la Suisse et l'Allemagne (excepté bien entendu sous le régime hitlérien). Par contre, il demeure tout à fait absent des préoccupations dans les autres pays du continent, voire, par exemple en France

toute société humaine. Là où il y a une société il y a du pouvoir. Formule latine : Ubi societas, ibi potestas = partout où il y a de la société il y a du pouvoir. Il y a toujours du pouvoir mais il a évolué. Aujourd’hui le pouvoir c’est l’état. La notion d’État est en crise en raison de la construction européenne, de la mondialisation, de la décentralisation. Avant d’aborder l’état il faut parler du mot politique. En anglais : Polity : la polis. La Res publica. Ordre politique d’une société, son

totalitaire.   En   effet,   le   fameux   «  tout   dans   l’Etat,   rien   en   dehors   de   l’Etat,   rien   contre   l’Etat»18   est   omniprésent   en   URSS  :   «  les   totalitarismes,   le   stalinisme   comme   le   nazisme   tendent   à   supprimer   les   frontières   entre   l’Etat   et   la   société.   Autrement   dit,   ils   postulent   l’absorption   de

citoyens athéniens sont ceux qui participent à la démocratie cela ne concerne que les hommes mais pas les esclaves (des choses animés) ou les métèques (des étrangers). Il y avait seulement 1/10 de la société qui participait à la vie politique. La notion de droit individuel (le droit pour certains individus de jouir de certaines prérogatives) n’existe pas. Un homme est dit libre s’il participe à la vie de la cité. La liberté des anciens c’est celle de participer la vie politique contrairement à la