Le Travail Deshumanise

La culture travaille-t-elle à nous rendre plus humains ? Introduction L’homme occupe, semble-t-il, une place particulière dans la nature, différente de celle occupée par l’animal. Cette différence est due à la culture, c’est-à-dire à l’ensemble des productions signifiantes d’une société humaine organisée ou même de l’ensemble des sociétés humaines. La culture implique le langage, les mœurs, les traditions, les techniques et les arts, etc. La culture semble donc à la fois universelle et particulière :

de liberté dans leur choix. En revanche ils se rendent compte des difficultés des jeunes qui ne sont plus assez suivis par leurs familles et qui sont perdus dans ce monde déshumanisé et matérialiste. L’évolution des modes de vie, l’allongement de la durée moyenne de l’existence, l’entrée plus tardive dans le monde du travail et la variété des modèles familiaux qui coexistent dans notre société nous invitent à repenser le statut et le rôle des individus. Dans ce contexte, on peut se demander ce

premier chez la femme, ses yeux, qui en dit long sur elle-même, on peut voir de multiples émotions transparaître de ceux là ce qui représente la beauté pas simplement visuel mais aussi du cœur. Et la bouche, c’est ce pousse à céder au désir. Quant au travail de Paul Eluard, le poème nous donne l’impression que la femme garde son équilibre malgré « les mains, les branches, la fumée, les ailes, le désordre de ton lit ». Les mains peuvent représenter l’oppression de l’homme fort envers la femme C'est un

extraits des Contemplations, recueil publié en 1856, il utilise le texte littéraire pour dénoncer le travail des enfants. Dans ce poème polémique, l'auteur à recours au registre pathétique afin de   persuader son lecteur de l'atrocité que représente celui -ci. Sujet à une condamnation virulente, le travail est même présenté comme le principal acteur d'un monde inversé où l'homme est déshumanisé. Ce texte polémique multiplie alors les stratégies de la persuasion afin notamment d'amener le lecteur

ET naturalisme -même Style -même sujets : lyrisme pour les romantique (par exemple le coucher de soleil avec« le coucher de soleil romantique » de Baudelaire et « rêverie » de Victor Hugo). Sujets plus « terre à terre », plus réel, (Duroy travaille dans une gare au début, la bête humaine de Zola parle également du « monde des chemins de fer ») -Un auteur considéré comme « guide », chateaubriand pour les romantiques et Zola pour les naturalistes Le romantisme et le naturalisme étant deux

quatrain, avec " L'Homme y passe à travers des forêts de symboles ". L'Homme est simplement évoque par le verbe " passer ", qui connote l'éphémère, et une certaine passivité. Le rythme de l'alexandrin, ou tétramètre, trop régulier et monotone déshumanise l'Homme en lui donnant un certain automatisme. Cette perception de l'Homme amène une dénonciation, et l'Homme réagit en ouvrant ses sens. une certaine perception de la nature, qui est perçue positivement. Le mot " Nature " reçoit

tableau fait référence à la nuit du 2 au 3 mai 1808, nuit durant laquelle les troupes napoléoniennes exécutent les combattants faits prisonniers. Auteur :Francisco Goya est un peintre espagnol né le 30 mars 1746 et mort à Bordeaux en avril 1828. Il travaille au service de la famille royale espagnole dans un premier temps puis devient peintre officiel du roi d’Espagne en 1786. L’invasion française de 1808 le marque beaucoup et il choisira de dénoncer les exactions des troupes françaises. Interprétation

dont il tirera un récit métaphorique, La métamorphose (1913), où un voyageur de commerce se transforme subitement en insecte et se voit exclu de la société et rejeté par sa famille. Après de brillantes études de droit, il commence en 1907 à travailler au sein de compagnies d’assurances. Ce milieu professionnel, qu’il choisit uniquement pour le temps libre qu’il peut ainsi consacrer à l’écriture, jouera un rôle capital dans sa vision du monde social que son œuvre reflète avec la plus extrême précision :

parallèle n’écoutant que leurs « propres lois ». Chaque geste, paroles ou faits des habitants sont enregistrés grâce aux nombreux télécrans qui diffusent en permanence des messages de propagande et espionnent sans relâche chaque individu. Winston travail au ministère de vérité et est chargé de réécrire sans cesse le passé pour qu’il concorde avec les dire du parti car le parti a toujours raison. Winston commencera sa révolte par le simple fait d’acheter un journal où il y rédigera quelques souvenirs

Dans la première partie de son monologue, Madeleine ne fait pas un bilan positif de sa vie marquée par l’ennui, la maladie et l’angoisse. Au départ, elle confie à Claude : « Quand ton père est disparu depuis des jours pis que ta sœur est partie travailler, ça m’arrive de m’ennuyer. C’est sûr. » (l. 5-6) Elle témoigne d’une solitude qui la laisse inactive : « La télévision est plate, la lecture m’a jamais beaucoup intéressée… » (l. 1617). De plus, la pauvre vit avec l’inquiétude de la maladie : «