Le Travail Rend Il Heureux

sembler injuste que la vie soit plus dur pour quelqu’un qui vient d’un quartiers défavorisé dont les parents non pas pu payer l’école, qui ne peut donc jamais trouver de travail le rémunérant suffisamment pour qu’il vive normalement. Alors que quelqu’un venant d’un quartier riche a pu faire de meilleurs études, a eu de meilleurs travails et n’a plus de problèmes dans la vie. Il peut sembler injuste que si les deux ont un accident de voiture grave, l’un n’aura plus de moyen de transport et l’autre s’en

tout ordonner selon la raison est ridicule ; pour Pascal, il y a ridicule quand on confond les ordres ; penser que la raison peut prouver l’amour est ridicule, penser que l’amour peut remplacer la richesse est aussi ridicule et penser que la richesse rend intelligent est aussi ridicule * on est tyrannique dès que notre prétention devient notre volonté ; le tyran ne se contente pas de confondre les ordres, il veut imposer son ordre à toute chose * le ridicule n’est pas le contraire du tyrannique et on

devoir d’être heureux ? Comme Pascal le notait dans ses Pensées, « tous les hommes recherchent d’être heureux. Cela sans exception, quelques différents moyens qu’ils y emploient », on retrouve aussi cette idée dans le rêve Américain qui  est l'idée selon laquelle n'importe quelle personne vivant aux États-Unis, par son travail, son courage et sa détermination, peut devenir prospère. De plus, et c’est bien connu, dans les rêves de tous les enfants se trouve celui d’être heureux, à travers

est précisé dès le début du texte : qu’est-ce que le bonheur ? Mais aussi comment y parvenir ? La thèse de l’auteur pour répondre à cette question est la suivante, pour Bentham, le bonheur existe par intérêt, l’on a intérêt à bien agir pour être heureux et aussi il faut être vertueux. Il faut penser au bonheur des autres. L’auteur parle d’une morale de calcul dite utilitariste. Cette thèse s’oppose à celle de Caliclès qui lui voit le bonheur comme une satisfaction égoïste des passions. Pour répondre

ANNEXE 1 OUI LE TRAVAIL FAIT (encore) LE BONHEUR Dossier du magazine L’EXPRESS du 16/10/2003 Allergiques au travail les Français ? Au contraire ils l'aiment leur métier. Mais certains supportent mal les conditions dans lesquels ils exercent et prennent leurs distances ; Les Français sont des gens bizarres. Ils s'arrachent les magazines qui leur parlent de stress, de harcèlement moral et de souffrance au travail. Font un triomphe aux ouvrages qui vilipendent L’Horreur économique (1) ou décortiquent

ELABORATION DE LA REPONSE La recherche du bonheur est un sentiment universel, nul ne peut être heureux et tout le monde le recherche. Le bonheur est le but de la vie, il faut donc tout faire pour être heureux, et on peut estimer avoir bien vécu quand la vie qu’on a menée peut globalement relever de cette idée. Nous avons tout d'abord dit que les sentiments relevaient de la sensibilité, et non de la raison? Mais il y a un probleme : les sentiments ne se valent pas, ce qui prouve que de toute manière

consommation et même la surconsommation. La consommation de notre société agit comme un stabilisant pour la population. Elle permet aux hommes de posséder plus et toujours plus que le nécessaire dont ils ont besoins. Cette augmentation de la consommation nous rend des esclaves du marché, en étant devenue des esclaves de ce marché. Il peut nous contrôler et faire de nous des êtres stables et sans aucun espoir que d’avoir le dernier « iPod » a la mode. Nous devenons la société soumisse du meilleur des mondes :

par acte : Topaze est, au début de la pièce, un maître d'école au sens civique irréprochable et au salaire modeste. Licencié pour s'être montré trop honnête, et influencé par les exemples qu'il a sous les yeux, il devient peu à peu malhonnête et heureux de l'être, en se lançant, sous l'influence d'une femme et d'un conseiller municipal peu scrupuleux, dans le monde des affaires. Acte I Topaze est un modeste professeur, amoureux de sa collègue Ernestine, la fille de M. Muche, le directeur de la

sans fond) Epictète (stoïcien) : distinguer ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas exclusivement de nous pour se montrer indifférent à la 2e catégorie. Permet d’e heureux et libre. Epicure : désirs naturels et nécessaires, désirs naturels et non nécessaires, désirs vains : seule la 1ere catégorie peut nous rendre heureux car elle est accessible. Mais désirs peuvent e bénéfiques comme le désir de sagesse (la philo) ou juste le désir de désirer qui procure la sensation de vivre. Platon : plusieurs

enfants qui sont attachés à lui. Il semble heureux. 30 mai : il découvre l’amour pur que ressent un homme pour une femme. Il trouve cela merveilleux et tente de le vivre à travers les yeux du paysan. 16 juin : il parle des sentiments qu’il éprouve pour Charlotte, promise à Albert. Il l’a rencontrée au bal. L’aime-t-elle aussi ? 19 juin : A la sortie du bal, Charlotte a accepté de le revoir. Plus rien ne compte pour lui à part ça. 21 juin : il est heureux, il connaît le bonheur à Wahliem. C’est