Le Trou normand

psychanalyste a aidé à évoluer une personnalité divisée en deux : «Chêne et chien voilà mes deux noms, / étymologie délicate : / comment garder l'anonymat / devant les dieux et les démons?». «Quen», racine de Queneau, peut en effet venir des deux mots normands «quenne« (=chêne) ou de «quenot» (=chien). Et le «chien», qui «dévore et nique», qui est aussi «féroce et impulsif», représente le côté mauvais, tandis que le «chêne» est «noble et grand». Or, à la fin, «Le chien redescend aux Enfers. / Le chêne

Mais j'aurai joui. Mon choix est fait. Il faut être mangeant ou mangé. Je mange. Mieux vaut être la dent que l'herbe. Telle est ma sagesse. Après quoi, va comme je te pousse, le fossoyeur est là, le Panthéon pour nous autres, tout tombe dans le grand trou. Fin. Finis. Liquidation totale. Ceci est l'endroit de l'évanouissement. La mort est morte, croyez-moi. Qu'il y ait là quelqu'un qui ait quelque chose à me dire, je ris d'y songer. Invention de nourrices. Croquemitaine pour les enfants, Jéhovah pour

Mais j’aurai joui. Mon choix est fait. Il faut être mangeant ou mangé. Je mange. Mieux vaut être la dent que l’herbe. Telle est ma sagesse. Après quoi, va comme je te pousse, le fossoyeur est là, le Panthéon pour nous autres, tout tombe dans le grand trou. Fin. Finis. Liquidation totale. Ceci est l’endroit de l’évanouissement. La mort est morte, croyez-moi. Qu’il y ait là quelqu’un qui ait quelque chose à me dire, je ris d’y songer. Invention de nourrices. Croquemitaine pour les enfants, Jéhovah pour

j’aurai joui. Mon choix est fait. Il faut être mangeant ou mangé. Je mange. Mieux vaut être la dent que l’herbe. Telle est ma sagesse. Après quoi, va comme je te pousse, le fossoyeur est là, le Panthéon pour nous autres, tout tombe dans le grand trou. Fin. Finis. Liquidation totale. Ceci est l’endroit de l’évanouissement. La mort est morte, croyez-moi. Qu’il y ait là quelqu’un qui ait quelque chose à me dire, je ris d’y songer. Invention de nourrices. Croquemitaine pour les enfants, Jéhovah

Mais j’aurai joui. Mon choix est fait. Il faut être mangeant ou mangé. Je mange. Mieux vaut être la dent que l’herbe. Telle est ma sagesse. Après quoi, va comme je te pousse, le fossoyeur est là, le Panthéon pour nous autres, tout tombe dans le grand trou. Fin. Finis. Liquidation totale. Ceci est l’endroit de l’évanouissement. La mort est morte, croyez-moi. Qu’il y ait là quelqu’un qui ait quelque chose à me dire, je ris d’y songer. Invention de nourrices. Croquemitaine pour les enfants, Jéhovah pour

Mais j’aurai joui. Mon choix est fait. Il faut être mangeant ou mangé. Je mange. Mieux vaut être la dent que l’herbe. Telle est ma sagesse. Après quoi, va comme je te pousse, le fossoyeur est là, le Panthéon pour nous autres, tout tombe dans le grand trou. Fin. Finis. Liquidation totale. Ceci est l’endroit de l’évanouissement. La mort est morte, croyez-moi. Qu’il y ait là quelqu’un qui ait quelque chose à me dire, je ris d’y songer. Invention de nourrices. Croquemitaine pour les enfants, Jéhovah pour

........................148 Préface Le Mythe de Tristan et Iseut est l'un des plus fascinants du monde occidental. Valérie Lackovic nous indique que cette mythologie était très vivante dans toute la Grande-Bretagne bien avant l'invasion normande. Essentiellement orale, elle n'est plus attestée que par des vestiges comme une pierre datée du Vème siècle et portant l'inscription « DRVSTANVS » (Tristan) ou la mention au Xème siècle , d'un lieu dit Cornouaillais appelé « Gué d'Iseut ». Le

critique, au sens kantien du terme, de toute la société anglaise. Après avoir décomposé l’espace sociétal dans lequel il vit, il envisage de tout reconstruire au nom du principe d’utilité. Il a passé toute sa vie, ou presque, à cela. Il va sortir de son trou pour les propositions au gouvernement britannique de construction nouvelle de prisons ; il va imaginer avec son frère Sam une architecture carcérale nouvelle permettant d’améliorer la vie des prisonniers mais aussi la mécanique de répression en vue

7. — 4. ; Lieux d'aisances. brûle. — 9. Eclos, — 5-Q"i s'échappe La ouverts. — 10. — — 58 LIVRE I O si quelqu'un eût consenti M'amener une qu'attendois En cbiant ! Car je lui eusse assimenti Son trou d'urine à mon lourdois Cependant eût avec ses doigts, Mon trou de merde garanti, • En « chiant 2 ; ! Or, dites maintenant que je n'y sais rien. Par la mer Dé s , ne les ai fait mie mais les oyant réciter à dame grand que voyez ci, les ai retenus en la gibecière de ma mémoire

insistant lourdement sur lhorreur de son corps ensanglatant et dmembr (vers 1556-1558), ce qui fut reproch Racine. Si, dans cette tragdie de Racine, il y a moins daction que dans les prcdentes, sy dploie cependant un lyrisme somptueux et sombre, trou quelquefois de grands clairs de lumire, mais dont les accents les plus vibrants traduisent la souffrance des tres humains. Les lments en sont la prsence vivante de la Grce antique, la place que prend la passion amoureuse, une lamentation qui a pour