Le Témoin Caché Au Théatre

m’est trop avantageux que l’on sache que mes amis mêmes ne vous sont pas indifférents, que vous prenez part à tous mes ouvrages, et que vous m’avez procuré l’honneur de lire celui−ci devant un homme dont toutes les heures sont précieuses. Vous fûtes témoin avec quelle pénétration d’esprit il jugea l’économie de la pièce, et combien l’idée qu’il s’est formée d’une excellente tragédie est au−delà de tout ce que j’ai pu concevoir.   Ne craignez pas, MONSEIGNEUR, que je m’engage plus avant, et que n’osant

d’ampleur, les couleurs,  les ombres et lumières, les attitudes des proches qu’il côtoie. Tout cela le marque à vie, et il en garde des souvenirs très distincts. Au cours de sa vie, il travaille dans les deux domaines qui le passionne, le théâtre et le cinéma. D’abord le théâtre, où il met des pièces en scènes, puis écrit lui même ses propres pièces, puis le cinéma, qui l’a toujours intrigué. Il écrit d’abord des scénarios, en 1944 il écrit celui de Tourments, le film a un tel succès, qu’il devient réalisateur

thèmes Mise en scène Didier Bezace Assistance à la mise en scène Dyssia Loubatière Scénographie Jean Haas Lumières Dominique Fortin Costumes Cidalia Da Costa La dramaturgie Les intentions du metteur en scène La mise en scène Remerciements au théâtre de la Commune pour les prêts de documents écrits et iconographiques. Notes : toutes les références au texte de Marivaux s’appuient sur le texte paru chez Pocket Classique, n° 6162 qui présente l’édition de 1738. Quelques textes critiques La réception

Faust, Johann Wolfgang von Goethe (1749/1832) Il s'agit du Faust I Prologue sur le théâtre: (le poète/créateur, le directeur/metteur en scène, le bouffon/le présentateur). Selon le directeur, il faut faire recette et donc faire du public, c'est pourquoi il faut se fonder sur ses goûts. Il faut du nouveau, quelque chose de fort et d'amusant, car on vient pour VOIR. En plus de représenter le théâtre sous son aspect commercial, le directeur pose le poète en position de démurge, de créateur car

punit chez les autres. Il se tue quand il découvre qu'il est capable de se réaliser les mêmes cruautés que celles qu’il combat ». Langlois est un capitaine de gendarme qui enquête sur une série de meurtres dans un village de provence. Un jour, un témoin voit un homme descendre d'un grand hêtre. Il monte dans l'arbre et découvre les cadavres des disparus. Il en informe ensuite langlois. EXPLICATION DE TEXTE paragraphe = deuxième description de l’Hêtre, la première description ouvrant le roman

le verbe « se récrier » qu’elle utilise et qui signifie : 1. Pousser une exclamation sous le coup d'une émotion, d'une surprise 2-S'indigner avec force montre bien que la réaction contre ses déclarations s’est faite avec force et que cela cache un enjeu social. -la réplique au présent de généralité le confirme : « Ma foi, Madame, sans vanité, on en peint tous les jours, et des plus huppées, qui ne me valent pas. » : l’assertion oppose d’un côté l’argent avec « plus huppées » ( l’image

Mendiant, relatant l’assassinat d’Egisthe et de Clytemnestre, décrit mais aussi juge et prophétise ; Les métaphores qu’il emploie pour décrire le montrent plus informé du destin qu’un simple mendiant ; Par ailleurs quoique le texte (comme dans le théâtre classique), tienne le spectateur à l’écart de la mort, celle –ci est présentée de façon atroce et violente dans la description faite. (Problématique de lecture) Il est donc intéressant d’analyser ce texte pour en étudier l’enjeu : Comment Giraudoux

de se taire. Le silence est ainsi l’absence de parole, l’absence de mots ; Le fait de ne pas s’exprimer, de ne pas employer de langage articulé. Il s’agit de savoir si le silence a un sens ou non. S’il possède des significations, des explications cachées. Le silence comme absence de parole veut-il dire quelque chose ? Renvoie-t-il à une signification, au-delà de lui-même ? Ces questionnements nous rapprochent donc de la notion de langage et de la communication. Le silence fait-il partie du langage

Autant le romantisme était centré sur le regret d'un passé idéalisé ou sur le désir de créer un futur idéal, autant le réalisme s'ancre dans le présent, dans la description du réel, et refuse l'imagination et le romanesque. La littérature devient témoin des changements. Les écrivains réalistes observent et décrivent le monde dans lequel ils vivent (d'où le pessimisme des oeuvres réalistes : rien n'a changé, le pouvoir et l'argent restent aux mains d'une infime minorité). La bourgeoisie et le monde

guérit pas. Il accompagne vers ce qu’on appelle couramment le « vivre avec ». Le jeune autiste, le jeune psychotique, restera autiste ou psychotique, mais pas que, comme le montre le projet mené par Brigitte Lavau et son équipe autour d’un atelier théâtre. Derrière ces pathologies se cachent (tant la maladie peut parfois, par ses manifestations telles les stéréotypies, les difficultés de communication, l’angoisse, faire écran à cette réalité) des individus avec des envies, des désirs. Et l’éducateur