Le Verbe être André Breton

Les auteurs s’inspirent de récits tirés de l’Antiquité ou de légendes bretonnes et un auteur en particulier, Chrétien de Troyes, va vraiment développer le genre en centrant ses récits sur un chevalier qui se lance en quête d’aventures, et qui incarne des valeurs personnelles comme la fidélité, le courage, l’honnêteté… Ces romans

PHILOSOPHIE Explication de texte n°2 Extrait de « Phénoménologie de la Perception » Merleau-Ponty En grec ancien, « logos » peut à la fois être le mot pour « parole » mais aussi pour « pensée », cette superposition de deux concepts met en évidence le lien profond voire indissoluble entre langage et activité pensante. Dans ce texte, extrait de la Phénoménologie de la Perception, rédigé en 1945, Merleau-Ponty analyse le rapport qu’entretiennent la parole et la pensée, puisque d’emblée l’extrait

c'étaient eux qui portaient les couleurs de la « modernité », trahissant, sous les formules d'humilité à quoi les invitait le protocole, la contradiction qu'ils ressentaient entre la haute idée qu'ils se faisaient de leur fonction de manœuvriers du verbe et l'étroitesse du clavier thématique imposé par la cour. Ce que tentèrent les grands rhétoriqueurs, c'est un effort pour personnaliser le rapport de l'écrivain à son écriture : effort de valorisation de l'individu qui se rattache au vaste mouvement

1 L’incontrolable imprévisible. Définition Extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition : Adjectif construit avec « prévisible » et le préfixe négatif « in- ».Ou nom commun : Qui ne peut être prévu. Et du dictionnaire Le Larousse : Adjectif, qui ne peut être prévu, dont on ne peut prévoir les réactions : Homme imprévisible dans ses colères. Synonyme et contraire de «l’imprévisible», dans Le Robert Synonyme: imprévoyable, imprédictible, déroutant, déconcertant, imprévu,

Craignant que d’y manquer tu me fasses reproche Dieu sait où Dieu sait quand tout à l’heure demain Rencontrée à Passy rencontrée à Vincennes Dans le Bois de Boulogne ou le long de la Seine Dans quel quartier perdu croisée de nos chemins Ailleurs peut-être ailleurs ou jamais sur la terre Et j’ouvrais des yeux fous sur ce monde où jamais Vers moi je ne verrais revenir qui j’aimais Où parler désormais ne serait que me taire Absurdement fouiller le ciel comme du foin Interroger la mer où vient l’ourler

régulatrice au sens où elle constitue une règle qui vient s'ajouter au discours. La forme d'énonciation apparaît comme une convention constituante au sens où elle définit un acte de communication entre le poète et son lecteur. Enfin la forme du contenu, sans être absolument obligatoire, relève plutôt de la tradition littéraire qui veut que les poèmes prennent la forme d'une suite de comparaisons ou de métaphores. LA FORME ET LE FOND : Lire un texte littéraire est un acte complexe qui se fonde sur un va

que des choses simples, il raconte des histoires où l’on découvre des choses très belles qu’on n’avait jamais remarquées jusque-là. Et puis il parle des questions injustes, de gens qui souffrent et qui meurent et dénonce les responsables. Pour être proche du public; choisit-il des thèmes et des lieux familiers? Il est à noter que les artistes s'inspirent de la vie de tous les jours. Jacques Prévert est l’un des pionniers d'un mouvement qui présente le quotidien. Alors, comment montre

(persistance de la philosophie néo-platonicienne). Le titre Les Fleurs du mal liant le beau (fleurs) et le mal (laid) sonne comme une provocation. Baudelaire brise ce lien entre le beau et le bien et affirme que le mal peut être beau, suivant en ceci les préceptes romantiques (voir par exemple la préface de Cromwell ou le poème « J’aime l'araignée et j’aime l’ortie » de Victor Hugo dans Les Contemplations ). Toute

son rejet par Annie Playden. Dans la “Chanson du mal-aimé”, on le retrouve, toujours sous l’influence de l’alcool et à la poursuite de son amour perdu dans les rues mal famées de Londres. Dans cet ensemble, la “Réponse des cosaques Zaporogues” peut être interprétée comme les imprécations vulgaires d’un homme ivre. Ailleurs, dans “Marizibill” l’alcool est lié à une figure féminine dégradée (une prostituée). Cependant, en face de cette image souvent négative de l’alcool, on peut aussi y voir une métaphore

siècle : Romantisme ---> Vigny, Musset, Hugo, Maupassant Réalisme ---> Maupassant, Flaubert, Balzac Naturalisme ---> Zola Parnasse ---> Baudelaire Symbolisme ---> Rimbaud, Baudelaire, Verlaine 20éme siècle : Suréalisme ---> André Breton Absurde ---> Camus Existensialisme ---> Sartre Nouveau Roman ---> Sarrault Les Registres : Lyrique : l'expression forte des sentiments sur des thémes comme l'amour, la guerre et la nature Pathétique : texte qui cherche à émouvoir