Le Verbe être André Breton

respect des mœurs. Il est évident que pour Georges Sand, l’art c’est la conscience. Autrement dit, l’on ne peut pas être conscient du monde qui nous entoure sans être artiste et inversement. Cependant, bien que sa perception de l’art soit tout à fait justifiée, que la littérature et les arts offrent de nombreux exemples qui attestent cette thèse, son affirmation peut tout à fait être contestée. Alors l’art est il, comme nous le dit Georges Sand, obligatoirement représentation de notre rapport au

du texte biblique, il affirme une mystique de l’unité et proclame que deux égale un car, dans son univers poétique, le couple est la forme première de l’homme. Dans l’absolu, la rêverie poétique sur le couple se pose sous la forme d’une fonction (être ensemble) munie d’un aspect duratif (pour toujours). Eluard exprime la mécanique verbale du désir, raconte l’amour sur tous les modes et ravive le rêve d’or et d’azur. Sa poésie est un hymne permanent à la femme. Avec une liberté d’allure, une fraîcheur

bouche et ses rougeurs mêlées à son éclat neigeux, et il admire toutes les choses par lesquelles lui-même est admirable. Sans le savoir, il se désire et lui-même qui s’approuve, se fait éprouver et tandis qu’il cherche à atteindre, il est cherché à être atteint et, en même temps, il embrase et il brûle. Combien de fois il a donné de vains baisers à la source fallacieuse ! Combien de fois il a plongé ses bras cherchant à saisir le cou visible au milieu des eaux et combien de fois il ne se saisit pas

important pendant le premier moitié du 20eme siecle. Sa poèsie pendant les deux guerres mondiales soulignait la valeur du peuple Français et l'importance de la liberté. De plus, il faisait une partie de mouvement surrealiste avec Salvador Dali, André Breton, et Louis Aragon. Il était aussi ami de Picasso, Max Ernst, et Man Ray. Sa poésie a beaucoup touché le monde, avec son honnêteté et sa clarté. --------------------------------------------------------------------------------

principal recueil, Le Coffret de Santal (1873), alternent pièces humoristiques ("Le Hareng saur", "Brave homme") et morceaux précieux ou pathétiques, dont l'inspiration rappelle Baudelaire et annonce parfois Apollinaire. Tristan Corbière (1845-1875), Breton, voyageur et phtisique, doit pour sa part à la qualité de la révolte qui s'exprime dans ses Amours jaunes (1884), l'honneur d'être classé par Verlaine au rang des "poètes maudits". Son sens de la dérision à l'égard de ses prédécesseurs romantiques

CONCLUSION TROISIÈME PARTIE LAUTRÉAMONT ET LA CHINE 414 INTRODUCTION CHAPITRE 1 LAUTRÉAMONT ET LA CHINE DANS LES ANNÉES 1920 – 1930 1. 2. 3. Une rencontre manquée en 1922 entre Lautréamont et la Chine Supervielle, Dai Wangshu et Lautréamont Breton, Dai Wangshu et Lautréamont 415 420 421 423 434 CHAPITRE 2 LAUTRÉAMONT ET LA CHINE DANS LES ANNÉES 1980 1. 2. 3. Lautréamont dans les études critiques sur le surréalisme Lautréamont dans les recueils de poèmes français traduits en chinois

liberté : le bateau n’est pas libre des ses mouvements, ligoté par des liens : il va toujours dans la même direction : « les fleuves » : répétitif, toujours le même trajet, qui se répète et se répète. contraste avec l’entrée du bateau dans la mer libre. être halé pour descendre un fleuve : paradoxal : normalement, on n’est halé que contre courant : augmente encore le manque de liberté du bateau. impasssibles : personnification pour définir le fleuve : donne une image de flots lisses, plats, pas de remous

indissociable de la beauté formelle, puis nous examinerons l'art en tant que représentation picturale ou graphique d’une réalité susceptible de susciter un intérêt autre que purement esthétique. La problématique repose donc sur le sens donné au verbe « plaire ». Dans l’antiquité grecque puis romaine, l'art a comme objet l’imitation de la nature. Le sculpteur Pygmalion tombe amoureux de sa création à laquelle Vénus donne vie. Les frontières entre imagination, rêve et réalité se confondent,

siècle. Il rencontre Elsa Triolet qui sera la femme de sa vie et à qui il a dédié de nombreux poèmes tels que « Crève-cœur » et « Les Yeux d’Elsa ». Mais elle mourra douze ans avant lui. Il commence des études de médecine et rencontre alors André Breton qui le pousse directement dans le monde de la littérature et fonde la revue Littérature avec lui et Philippe Soupault. Il rompt avec les surréalistes en 1932. Il devient aussi journaliste à L’Humanité. Dans ses œuvres, il fait appel aux techniques

| |D’abord séduit par les expérimentations du surréalisme (écriture automatique, transcription des rêves ...), mouvement littéraire dont il fut l’un des fondateurs | |avec André Breton, Robert Desnos s’en éloigne dans les années 1930 pour retourner à des formes plus populaires à travers la création radiophonique et l’écriture de| |chansons.