Le Vocabulaire Du Théâtre Mots Croisés

Commentaire de ce texte : L’extrait que nous allons étudier est une pièce de théâtre issue de l’œuvre du nom de Fin de Partie ayant connu un succès en 1957 d’un auteur du XXème siècle Samuel Beckett. Ce dernier incarne avec Ionesco comme dans la Cantatrice Chauve ou encore les Chaises le théâtre absurde. Dans ce texte, Beckett met en scène le tragique dérisoire de la condition humaine avec un mélange d’humour et de désespoir. Les personnages de Hamm, un aveugle paralysé, et de Clov, son serviteur

9ème année Il n'y a aucune question à propos de cela, la langue française est sans doute une langue vivante. Le français est la langue de la culture, le français est considérée à la fois la langue internationale pour la cuisine, la mode, le théâtre, les arts visuels, la danse, l’architecture et l’amour. Il y a plus de 200 millions de personnes qui parlent français sur les 5 continents. Après l’anglais, le français est la langue étrangère la plus largement apprise et la neuvième langue la plus

rappelle sans cesse sa prétendue dévotion. On trouve en effet, dans les propos qu’elle adresse à Tartuffe, beaucoup de mots se rattachant au champ lexical de la religion : - « C’est pousser bien avant la charité chrétienne » (894) ; cela revient d’ailleurs à dire que ce n’est plus de la charité chrétienne (l’expression peut être interprétée comme une litote) ; - « je crois que mon salut vous donne ce souci » (912) ; le « salut » est le fait d’être sauvé, de gagner le Paradis ; - « vous n’aimez

des classes sociales jusqu’alors absentes des thématiques littéraires traditionnelles – et le fantastique, qui intervient comme élément perturbateur. Une œuvre abordable. La Vénus d’Ille présente deux niveaux de lecture : si sa brièveté, son vocabulaire et sa trame rendent ce récit accessible à des élèves de quatrième, c’est aussi un texte qui résiste et ne s’épuise pas à la première analyse. Il trouble la perception de la réalité par un glissement subtil entre la certitude et le doute, la folie

Lecture linéaire : Jean-Luc Lagarce, Juste la fin du monde (1999) : Partie 2, scène 2 :L’extrait analysé  : l 80 « Catherine. - Elle ne te dit rien de mal, tu es un peu brutal, on ne peut rien te dire … » p 113 jusqu’à l 128« Louis. – Je crois aussi. » p 114 Introduction : Jean-Luc Lagarce écrit la pièce Juste la fin du Monde en 1990 alors qu’il est atteint du sida et se sait condamné à une mort prématurée ; il mourra en 1995 à l’âge de

Cours du 25/09 Vocabulaire : Une didascalie (ou les indications didascaliques) : des indications destinées au metteur en scène et/ou aux acteurs cf Mme Argante (d’un ton vif et sec) • corpus théâtral/ dramaturge / dramaturgie • Un aparté, une parole qui ne doit pas être entendue par l’interlocuteur principal que le personnage s’adresse à lui-même et qui, en réalité, s’adresse soit seulement au public, soit au public et à d’autres personnages présents sur scène => l’aparté témoigne

de son lecteur. En contre-partie elle prend le rôle de soumise, et devient « esclave » de son amant, puisque tout dépend de lui. Dés lors une ambiguïté s'installe, on ne sait plus si Julie s'adresse à son amant ou à Dieu, remarquons d'abord le vocabulaire religieux qui est mis en place «aveux, supplications, à genoux, refuse, confier, pitié », elle n'hésite d'ailleurs pas à interpeller Dieu dans sa lettre « Oh Dieu !», Julie semble donc être dans une position de confession. Quand celle-ci écrit « je

des formes dans la construction des immeubles : d'où une banalisation qui est une forme d'esclavage. Un des fruits amers du gigantisme, c'est la solitude, le rejet. On est beaucoup plus seul dans une grande cité que dans un de nos villages. On se croise dans les rues, par milliers parfois, sans se rencontrer une seule fois. On peut, si l’on vit sans famille, ce qui est le cas de beaucoup, être malade, mourir chez soi, sans que personne le sache. D'où un terrible anonymat dans la vie, dans la souffrance

lien. • Normalement, au théâtre, le spectateur est dans le noir et, par convention, n’a plus d’existence (la vie est sur scène). Mais il arrive qu’il « participe » un peu à l’action, ou que, au moins, il soit lié à un des personnages, c’est-àdire qu’il ait des informations que certains personnages n’ont pas, qu’il soit dans la confidence et voit ce que certains personnages ignorent. Il occupe alors une position privilégiée. • Dans ce domaine, la double énonciation au théâtre est importante. La double

pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. I) Une fable habilement menée : a. Un Préambule qui rappelle les récits mythologiques tragiques : • Evoque tragédie d"Œdipe roi" (Sophocle) : Peste à Thèbes, on recherche coupable du châtiment divin. • Peste définie par "mal" avant d'être nommée,une attente progressive, pressante en gradation. • Registre dramatique : - Allitération en r : « répand, terreur, guerre » - Hyperbole, vocabulaire violent (fureur