Le Vrai Et Faux De Spinoza Pensées Metaphysiques

Développer l’aptitude à l’annalyse Synthétiser : rassembler les pensées de l’auteur Competences : Argumenter, conceptualiser, problématiser La Philosophie doit être sous différents points de vues ( dialectique ou thématique ) L’enjeu principal de la philo c’est de développer le sens de la responsabilité intellectuelle ( pense par soi même ). KANT : «  sapere odere » «  Ose savoir ! », savoir faire la part bien- mal, vrai-faux. Genese de la philosophie : Grece Antique V av JC, Socrate maître

mieux que les autres ; et que, considérant combien il peut y avoir de diverses opinions, touchant une même matière, qui soient soutenues par des gens doctes, sans qu’il y en puisse avoir jamais plus d’une seule qui soit vraie, je réputais presque pour faux tous ce qui n’était que vraisemblable » (Discours de la méthode, 1ère partie, Bordas p.54). « La vraie raison pour laquelle on n’a jamais rien trouvé dans la philosophie habituelle d’assez évident et d’assez certain pour pouvoir être soustrait à

Comment le faux est-il possible Comment le faux est-il possible ? Quand on se pose la question “comment le faux est-il possible ?”, il est évident que l’on part d’abord du principe que le faux soit possible. Et cela signifie que le faux peut si on le souhaite ou s’il le souhaite se réaliser, se révéler en quelque sorte. Se poser la question de comment, c’est donc se demander comment il se réalise, par quel moyen il se donne la possiblité de nous apparaître. C’est se demander qu’est ce qui le rend

est pensée; il y a suppression de toute chose. (Besoin de l'affirmation opposée pour être pensée) "L'aveugle de naissance ne peut se forger la moindre représentation des ténèbres parce qu'il n'en a aucune de la lumière" (Kant, Critique de la raison Pure, L'idéal dela raison pure, première section, de l'idéal en Général) I Husserl: Négation d'une affirmation est une modification de celle ci, pas une forme primitive. I Leibniz: Principe de non contradiction: Si P est vraie, non-P est faux. Si

celle-ci se définit comme une adhésion incertaine, plus ou moins hasardeuse par opposition au savoir. En effet, la croyance en une idée, une pensée, une affirmation, une théorie, ou un dogme ne relève pas d’une connaissance rationnelle et vérifiable. Par conséquent la naïveté, le préjugé, l’opinion apparaissent comme des modes différents de croyance. Pour Spinoza elle est « sujette à l’erreur et n’a jamais lieu qu à l’égard de ce que l’on dit conjecturer ou supposer » De plus non seulement la croyance

décision mentale par laquelle nous arrêtons de manière réfléchie le contenu d'une croyance et le posons à titre de vérité » ( selon le dictionnaire Lalande). 1) L'évidence = caractère de l'idée vraie ( une qualité) → « verum index sui » : le vrai est à lui-même son propre signe; la vérité s'indique d'elle-même. L'évidence est le signe de la vérité. Descartes : 2 facultés pour juger : L'entendement : conçoit les idées dont on juge, clarté et distinction critères de l'évidence, et la Volonté

indépendamment du sujet qui la conçoit. C’est-à-dire qu’il n’y a pas de vérité propre à chacun, la vérité est universelle. Utiliser la phrase « A chacun sa vérité. » comme un acquis est considéré que l’humeur et la volonté de tous font la vérité, ce qui est faux. Une vérité est lorsqu’elle est démontrée mais tout ne peut pas être démontré, c’est pourquoi nous devons faire confiance aux intelligences supérieurs c’est-à-dire les professeurs, les scientifiques ou même nos parents. Nous ne pouvons nous acharner

de puissance. Si de la croyance, du culte (et de la moralité religieuse), on n’a rien à espérer en retour, à quoi bon croire, rendre un culte et être moral ? Il y a de la magie également dans la religion lorsqu’elle suppose que des gestes, des pensées peuvent, par l’intermédiaire du divin, avoir des effets constatables qui ne sont pas obtenus par des voies naturelles, mais surnaturelles. Le principe de cette attitude tient à cela que la religion pose chacun comme créature relative, c’est-à-dire

existe sans doute un moyen d’aborder une situation sans nécessairement devoir faire un choix entre accepter et se révolter. La majorité de personnes pense que lorsqu’on accepte malgré nous une situation déplaisante ou faisons un choix que nous n’aurions pas fait de nous- même, nous perdons une certaine liberté. Et cela peut s’avérer être vrai, quand nous sommes face à une situation embarrassante. Par exemple si un enfant né dans une famille chrétienne pratiquante en grandissant se révèle être

traitent du “Dieu des religions”, alors que c’est du “Dieu des philosophes” que Descartes affirme certaines propriétés. Prenant un exemple de vérité révélée, Spinoza va plus loin : « Quand certaines Églises ajoutent que Dieu a pris une forme humaine, j’ai expressément averti que je ne sais pas ce qu’elles veulent dire ; et même, à dire vrai, affirmer cela ne me paraît pas moins absurde que de dire que le cercle a pris la forme d’un carré. »8 D’une manière générale, nul ne saurait nier que, souvent