Lecture Analytique Le Lezard

des exercices 5. La peinture d’une société : étude de trois personnages Fiche méthode : Le commentaire littéraire Corrigés des exercices 6. Le rapport des hommes à l’argent  dans des œuvres des XIXe et XXe siècles Corrigés des exercices Lecture cursive : Zola, La curée Séquence 3 – FR20 1 © Cned – Académie en ligne O bjectifs & parcours d’étude Objet d’étude Le roman et la nouvelle au XIXe siècle : réalisme et naturalisme Textes et œuvres Objectifs  • Approfondir

traditionnelle est sensible à tous les changements et collecte tous les héritages, ce qui lui donne une valeur stratégique pour la connaissance de tout l'être social. C'est pourquoi nous devons nous en approcher par un double mouvement, d'abord analytique, en présentant les sources, les pièces du système, puis plus synthétique, et plus dynamique, en essayant de montrer comment se traduisent les interpénétrations. Insistons une fois encore sur le fait que ce qui est local et Jean Benoist, Anthropologie

INITIATION À LA LECTURE LITTÉRAIRE 4 e 1 re q u e pa nce rt ie Sé « Le Capitaine Fracasse », de Théophile Gautier Nous proposons une séquence consacrée à la lecture et à l’étude du Capitaine Fracasse dans une version abrégée1. Elle rend plus accessible une œuvre dont l’épaisseur rebute souvent le jeune lecteur et, parfois, le professeur, confronté aux choix à faire et aux limites imposées par le cadre de la séquence. UN « CLASSIQUE ABRÉGÉ » Rappelons qu’il ne s’agit pas de réécriture

points) Vous traiterez ensuite, au choix, l’un des sujets suivants : Commentaire Vous commenterez le début du texte D, jusqu’à « s’exclama l’homme en frappant à deux reprises sur la croupe décharnée » (l. 22). Parcours de lecture : Vous suivrez le parcours de lecture ci-dessous : - vous montrerez d’abord en quoi cet incipit produit un effet de réel ; - puis vous évoquerez l’atmosphère sinistre qui se dégage de ce paysage ; - enfin vous montrerez comment se développe une ambiance angoissante

présente Frédéric-Louis Sauser-Hall qui a pris le pseudonyme de CENDRARS (Suisse - France) (1887-1961) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ses poèmes et ses romans). Bonne lecture ! Né à La Chaux-de-Fonds le 1er septembre 1887, il eut pour père un Suisse, homme d'affaires louche, tandis que sa mère, une Écossaise, avait des problèmes psychiques. Sa jeunesse fut placée sous le signe des voyages. En 1894, sa famille quitta

............................................................... 54 B. … Aux manifestes .................................................................................................................................. 59 C. De nouveaux pactes de lecture................................................................................................................ 63 III. TEMPORALITE ET PROCESSUS DE LEGITIMATION................................... 66 1. L’Institution scolaire : lieu de légitimation

ponctuation très riche : Les parenthèses, les tirets, les crochets, les guillemets, les deux points. B/ Hypothèses de sens : A partir du titre : A partir de la source : 2ème Moment : - Lecture magistrale - Lecture silencieuse (avec consignes). c/ Vérification des hypothèses émises : Qui ? A qui ? De quoi ? Dans quel but ? Yves Agues et Jean Michel Croissandeau Aux lecteurs Du langage de la photo Pour informer, donner des

                  5. Bifurcation                          6. L’ordre du texte (pp. 40-42)                  7. Numéro zéro                          CHAPITRE II : TRAGIQUES 1. Faust et Méphisto (p. 43)                     2. Première lecture                         3. Tragiques (pp. 44-52)                     4. La ligne d’illusion                     5. Rêve très ancien                         CHAPITRE III : ANTIQUITÉS 1. Rêve et autobiographie                     2. Rêve

14 premiers § (1729) 4. Voltaire, Candide, chap. XVII et XVIII, l’Eldorado (1759) (Pocket classiques), pages 82 à 94 Lecture cursive : Voltaire, Candide, (1759) : un conte philosophique & satirique. Complémentaires :

inexpliqué. Donc, quand au cours de l'analyse quelqu'un, l'un de nos patients par exemple, nous raconte l'un de ses rêves, nous admettons qu'il se conforme, ce faisant, à l'obligation de tout nous confier qu'il avait prise en se soumettant au traitement analytique. Car le rêve est une confidence, mais une confidence faite en termes impropres ; il ne constitue ni une manifestation sociale ni un moyen de se faire comprendre. Et nous ne parvenons d'ailleurs pas à saisir ce que le patient voulait nous dire, lui-même