Lecture S Instruire Ou Se Divertir

voile de la fiction L’efficacité argumentative peut venir de la critique indirecte. User de la fable, du conte philosophique ou encore du théâtre, présente l’atout majeur d’allier deux fonctions essentielles de la littérature : plaire et instruire. Ainsi l’apologue recourt au discours narratif, plus alerte, et donc plus apte à plaire au lecteur. Nombreuses sont les stratégies déployées pour rendre vivant un récit. Ainsi, dans « Les obsèques de la Lionne », La Fontaine choisit de faire alterner

(Annonce du plan) Nous analyserons d’abord les raisons qui peuvent faire penser que Molière n’a d’autre but que celui de divertir son public (I), pour voir ensuite si ce rire ne peut pas être dépassé et utilisé comme un moyen pour servir une critique (II) , mieux, enfin, de suggérer une pensée, une philosophie qui conduirait

poétique, Boileau les nommera « douce terreur » et « pitiécharmante ». Bretch, ne fera que renforcer cette idée du théâtre conçu comme un divertissement quand l écrit dans son Petit organon pour le théâtre : « L’affaire du théâtre a toujours été de divertir leshommes. » 2- Eduquer Dans a poétique, Aristote disait de la tragédie qu’elle est un spectacle qui doit se faire par l’entremise de la crainte, de la pitié et de la terrer. Son objectif est depurger les âmes. S’identifiant au héros, le spectateur

Lecture analytique « Les Deux Coqs », LA FONTAINE (1) Introduction Voici un récit ample, le corps de la fable (vers 1 à 28), suivie d'une brève moralité (vers 29 à 32), qui, mêlant octosyllabes et alexandrins, met en scène deux héros et une querelle de basse-cour. Le sujet est trivial mais traité sur le ton de l'épopée, il devient burlesque. C'est l'occasion pour La Fontaine de dénoncer la fatuité des courtisans et leurs mœurs ravageuses, à savoir, les duels. Comment La Fontaine, contrairement

Depuis des siècles, les écrivains cherchent à instruire leurs lecteurs par le biais de leurs œuvres. Cette volonté s'affirme particulièrement au siècle des Lumières, la publication de L'Encyclopédie en étant peut-être l'exemple le plus représentatif. Pour transmettre leurs idées, certains écrivains préfèrent utiliser des personnages et des situations imaginaires, ayant ainsi recours à la fiction. C’est pourquoi nous pouvons nous demander, quels avantages y a-t-il à recourir à une histoire fictive

ou, «pour vivre heureux, vivons cachés» (Le Grillon). Fénelon fut aussi le créateur de fables, en premier lieu, à but distractif, mais remarquées surtout comme éducatives. En effet, «Les Aventures de Télémaque» furent éditées en premier lieu pour instruire Louis de France, son jeune élève, même elles furent vite considérées comme une critique de la politique de Louis XIV. Il faut savoir que l'influence littéraire de Télémaque fut considérable pendant plus de deux siècles. C'est un livre pour jeune

la fiction peut être un outil de séduction : plaire et instruire. C’est ainsi que dans « Micromégas », Voltaire met en scène Micromégas, un habitant de la planète Syrius, ce dernier rencontre les habitants de la Terre. C’est par le biais de Micromégas, en d’autres termes, d’un extraterrestre que Voltaire va faire passer sa critique, par deux procédés bien distincts : la satire et l’ironie, c’est par ces deux derniers que Voltaire rend la lecture de son compte plaisant, son objectif principal est de

LECTURE ANALYTIQUE LES ANIMAUX MALADE DE LA PESTE INTRODUCTION : · 1ère étape : PRESENTATION DU TEXTE Titre du texte, titre de l'œuvre : à souligner, auteur, siècle biographie, genre · 2ème étape : PRESENTATION DU CONTENUE DU TEXTE De quoi s’agit-il? Les personnages, les lieux, Expliquer ce qu'il pose problème

une certaine force de persuasion envers le lecteur. 1. Plaire et instruire En effet, l’un des principaux buts de ces récits sont d’ailleurs de plaire et d'instruire. Tous les moyens sont utilisés par les écrivains pour manipuler l'esprit de leurs lecteurs afin qu'ils pensent comme eux. Le plaisir de la lecture: la saveur du divertissement La lecture devient alors tout d’abord une source de divertissement. • Divertir le lecteur pour mieux le mené à réfléchir. C’est ce qui se passe notamment

cour que l'auteur s'adresse, transformant comme il le dit lui même "des balivernes en littérature". Le conte, dans cette approche ne cherche donc pas uniquement à instruire et à divertir l'enfant. Il est aussi l'occasion, pour Perrault, de critiquer la société de son temps. Ce sont donc des contes à double tranchant puisque deux lectures sont possibles.Pour autant, la principale fonction de conte à toujours été d'instruire les plus jeunes, et de les rendre sensible à une certaine morale. Ainsi, comme