Lecture S Instruire Ou Se Divertir

n’est-il pas de distraire ? En effet, et de plus en plus de nos jours, les best-sellers ne sont pas des livres très intellectuels mais plutôt des œuvres légères et facilement abordables. Les lecteurs aiment ces récits car ils sont distrayants. Ces lectures permettent de se plonger dans un suspens intenable, comme les romans de Mary Higgins Clark, qui sont basés sur un schéma simple : un crime, un meurtrier, un enquêteur, une fin heureuse. Dans le registre policier, il y a également Agatha Christie

 Ainsi, ce roman qui relate l’histoire de Gargantua, un géant humaniste en devenir, est à la fois un roman érudit qui propose une réflexion sur le savoir de son temps, et un roman frivole qui n’hésite pas à utiliser toutes les formes de comiques pour divertir le lecteur. On peut ainsi se demander si le rire dans Gargantua est seulement un outil littéraire pour critiquer le savoir. Certes, le rire dans Gargantua est utilisé pour critiquer les faux savoirs(I), mais il peut aussi

espèces de récits, les observer, les comparer. - Identifier les traits caractéristiques d’un genre et les repérer. - Reproduire un texte ou type de texte selon un schéma bien précis. 1. Dans la jungle des genres… (Manuel de Dufays) Lecture de plusieurs histoires : Quels sont ceux qui se ressemblent ? Si vous deviez effectuer des regroupements, lesquels feriez-vous ? 4 genres sont présents ici, retrouvez les et identifiez les 2. Caractéristiques des genres A. Mythe

prendra appui sur le texte du corpus, ceux que vous avez étudié en classe et vos lectures personnelles.Déjà exploré au Vème siècle avant JC par des fabulistes précurseurs tels que Ésope et Phèdre, l’apologue est, par définition, un récit court de visée argumentative à morale implicite ou explicite. Ce genre littéraire fut reprit de nombreuses fois, notamment pendant le classicisme, où la devise de plaire et instruire ne pourrait être plus adéquat au genre. Ces apologues sont, cependant, sujets de

affirmation amène alors le lecteur à s'interroger si elle est conforme à ses attentes ? Pour répondre au problème posé, l’aspect plaisant d’une oeuvre sera d’abord mis en avant. Mais, on ne lit pas des contes seulement pour se divertir. Il faut savoir apprendre d’une lecture. L’édification d’une œuvre sera donc notre deuxième file conducteur. Malgré cela nous terminerons par le constat suivant : un livre qui ne nous apprend rien n’est d’aucune utilité, l’œuvre doit apporter un raisonnement plus large

Fontaine ne sont donc d'aucune utilité. Certes certaines d'entre elles illustrent une morale implicite , mais que faites vous de celles dont la morale est explicite ? - La fable qui est un sous genre de l'apologue, est un récit qui a pour fonction de divertir et même de séduire le lecteur. La plupart du temps la morale fait appel au bon sens du lecteur et c'est ce qui accentue le fait que la fable est avant tout un discours argumentatif qui persuade plus qu'il ne convainc. Mais la fable n'existerait

plus importante dans la littérature. C'est le genre littéraire qui a le plus évolué. Par exemple au XVIIe siècle, le metteur en scène n'existait pas, il n'y avait que l'auteur. Les pièces étaient courtes et servaient pour beaucoup d’entre elles à divertir ou bien à faire prendre conscience du monde qui nous entoure. En effet, le théâtre est la représentation du monde qui nous entoure c'est pour cela que nous arrivons à nous identifier aux personnages tels que Lucinde dans un médecin malgré lui car

Français Devoir 02 Compétences de lecture : Question 1 : Similitudes | Différences | Thème : -Sirène. -Amour. -Univers onirique. Relation à l’auteur : | Dans le premier poème, la sirène et sa famille dominent les éléments et l monde créé par l’auteur. Grammaticalement, ils sont toujours sujet dans les phrases.Dans le second poème la sirène n’a pas l’air de dominer : elle semble en harmonie dans son univers, grammaticalement, tantôt sujet tantôt

religion VS bonne religion) Pourtant, le rire et la fantaisie n’empêchent pas la réflexion, au contraire : pas de contradiction. 3. Le rire permet de véhiculer la réflexion :Rappel du précepte « placere et docere » : plaire et instruire. Le plaisir que le lecteur prend à la lecture d’une œuvre au service de la réflexion. 3.1 Vertus contestataires du rire, de la caricature : personnages tournées en ridicule (les sophistes, Picrochole et ses hommes dans Gargantua) : met le lecteur de son côté, emporte

nombreuses limites. Tout d’abord, parfois considérée comme trop brutale, l’argumentation directe peut en effet être trop directe. Les arguments présentés sans détours peuvent blesser ou confronter trop violemment le lecteur avec la réalité. Alors la lecture ne procure plus de plaisir mais au contraire elle peut provoquer un sentiment de malaise. L’argumentation directe exclut trop le plaisant et l’émotionnel des textes. Ensuite, ces œuvres de réflexion sont souvent difficiles d’accès pour