Légitimité

L’Europe ne remet pas en question les avantages tangibles de l’intégration ; mais on y redoute le désaccord rampant entre les avancées du système et la volonté des citoyens. En revanche, du Mercosur, on se demande de plus en plus si le manque de légitimité n’est pas lié à ses faiblesses. L’entente citoyen-gouvernement permet à la fois de faire face aux concentrations de pouvoir, surtout économiques, à l’échelle transnationale, qui se trouvent souvent à l’abri de toute réglementation, ou de les minimiser

pratique du pouvoir I ] La légitimité : Pharaon est descendant d'Orus , de dieu . La pratique du mariage incestueux est une pratique courante pour conserver la pureté du sang . ( Cela disparaîtra à la fin de l'ancien Empire . ) En l'absence d'héritier mâle , la fille épousera un parent proche ou un étranger . On considère que la femme ne doit pas exercer le pouvoir , elle transmet la légitimité de son pouvoir a son époux . On peut considérer que la légitimité familiale , la transmission

grande valeur et qu’il est voué à l’éternité. Pour ce faire, il est important d’y prévoir des « verrous constitutionnels » qui permettent au texte de traverser les crises et les époques, la stabilité de la constitution étant alors le préalable à légitimité de l’action des gouvernants et à la connaissance des procédures démocratiques par les gouvernés. Sous cet angle, la rigidité d’une constitution est d’ailleurs peut-être la limite formelle la plus contraignante, c'est-à-dire la plus protectrice du

trois mois plus tard, le 4 septembre – date anniversaire de la proclamation de la république en 1870 – par de Gaulle lui-même, sur la place de la République, à Paris. Le 28 septembre, il est approuvé par 80 % des électeurs, ce qui lui confère une légitimité incontestable. Il est promulgué le 4 octobre 1958 : c’est la date d’entrée en vigueur de la Constitution. Problématique : La Démocratie est un régime politique où le pouvoir est détenu ou contrôlé par le peuple, Le contrôle de constitutionnalité

par la constitution, il doit y avoir des sanctions. Mais qui a une autorité assez compétente pour sanctionner un pouvoir permis et limité par la Constitution elle-même ? En effet, on peut penser que le pouvoir constituant dérivé n’a pas une réelle légitimité, car il émane de la Constitution, qui a une suprématie incontestable sur toutes les autres lois. On peut justifier ces contrôles par le fait que ceux-ci sont directement impliqués par le Constitution. Mais le Conseil Constitutionnel français refuse

contrainte (« Monopole de la violence physique légitime » selon Max weber) è le problème philosophique principal est celui de sa légitimité. -l’Etat me contraint, de quel droit me contraint-il ? Pourquoi obéir ? Quelles bonnes raisons ai-je de lui obéir ? (Voir cours le Droit : même problématique) II LA LEGITIMITE DE L’ETAT A . La légitimité par la Religion . L’Etat (comme le Droit) a souvent reçu la caution de l’autorité religieuse : cas de l’ancien régime en France :

démontré, l’alternative de cette “utopie réaliste” au sens où Emmanuel Kant l’entendait, c’est d’agir comme si la paix existait, en œuvrant ainsi à sa fondation3. Le sujet de la légitimité des armées - L’une des premières questions auxquelles l’éthique militaire essaye de répondre est celle du sujet dont émane la légitimité des armées. Par exemple, Davenport affirme que les militaires professionnels doivent faire clairement la distinction entre les intérêts de l’état-nation ou le gouvernement de l’état

droits de l’homme, en particulier au moyen de recours juridictionnels. Légitimité de l’état : Pourquoi obéis t on à l’état ? On obéit aux lois par sentiment de citoyenneté. La désobéissance est au cœur de la liberté. Max weber distingue trois raisons à l’obéissance : Légitimité charismatique du chef d’état Légitimité traditionnelle : car c’est la tradition d’obéir à l’état, et que c’est normal de le faire. Légitimité démocratique : car c’est la volonté de tous, donc on se soumet à la majorité

et plus particulièrement le pouvoir politique fondé sur la souveraineté populaire. Selon lui, l’Homme est à l’origine à l’état de nature, c’est-à-dire qu’il n’entretien aucun rapport avec les autres individus de son espèce. Rousseau établit que légitimité politique se fonde sur la communauté et la volonté générale. Ainsi, si nul n’a le droit d’aliéner au profit d’un autre sa morale et civique, il est souhaitable que les Hommes concluent entre eux un pacte, un contrat : L’individu renonce à une

et est-il légitime de contraindre quelqu’un à être libre en sachant que cette affirmation est un total paradoxe dans le langage courant. Il nous faudra donc développer la question de la possibilité dans la première partie puis la question de la légitimité dans un second temps. Tout d’abord, est-il possible de contraindre quelqu’un à être libre ? Si l’on prend la définition commune de la liberté, cela est impossible car on ne peut contraindre quelqu’un à vivre sans contraintes puisque nous lui