Leibenstein

employeurs à verser des salaires plus élevés, avoir un effet favorable sur la productivité des travailleurs et constituer par là une mesure de politique économique souhaitable. Ces auteurs appuient ainsi la théorie du salaire d’efficience proposée par 2 Leibenstein , à savoir celle d’un lien entre le niveau de salaire, le niveau de vie et la productivité. Ce dernier suggère qu’il peut être avantageux pour une entreprise de payer des salaires élevés même si cela a pour conséquence le chômage. Les fondements

l’incitation à avoir de nombreux enfants. 2. 1. 3 : Théorie néo-malthusienne : Parmi les théories néo-malthusiennes on peut citer la thèse de LEIBENSTEIN : connu par la thèse de l’effort minimum critique (1957). Cette théorie analyse  la relation entre la croissance économique et démographique, pour LEIBENSTEIN cette relation permet de dégager deux équilibres : Le premier appelé : niveau de subsistance (point S) et le deuxième : niveau d’existence (point E)

politique economique et finnacière de l'état. cependant, ces prelevements obligatoires incitent les netrprises à délocaliser, à reduire ces benefices, a licenié econimiquemnt plusieurs salariés surtout en periode de forte récession. l'économiste leibenstein affirme que lorsque l'état augmente les prelevements obligatoires, les entreprises vont augmenter les prix de leur production ce qui aura tendance a avoir de l'inflation, de plus il y aura une periode de chomage aui incitera a licencier plusieurs

contribue à augmenter le chômage. a) La théorie du salaire Cf. LEIBENSTEIN (1957) Leibenstein parle du salaire d’efficience : si l’on a un salaire plus élevé on sera plus productif. Il renverse la relation entre le salaire et la productivité. Traditionnellement les néo-classiques disent que c’est la productivité qui détermine un certain niveau de salaire (+ je suis productif et + mon salaire est élevé) alors que pour Leibenstein c’est le niveau du salaire qui détermine la productivité. Il explique

firme mais les individus qui la composent et dont la rationalité est limitée au sens de Simon. Le comportement de la firme devient le résultat des actions des différents agents qui la composent. Le X de la théorie est synonyme de non allocatif. (Leibenstein) Théorie de la firme évolutionniste Les entreprises sont très diverses et ont des compétences spécifiques. Trois critères permettent d'analyser les firmes : distinguer les firmes les unes des autres en fonction de leur activité ; expliquer le

processus de décisions et d’apprentissages collectifs Le fonctionnement de la firme est assuré par ce que les auteurs appellent le « organizational slack », qu’on peut traduire par « jeu organisationnel » ou « marge de manœuvre » 111.4.2. LEIBENSTEIN (1979) et la théorie de l’efficience X
L’efficacité d’une entreprise ne dépend pas uniquement de la combinaison de facteurs de productions tels que le travail, le capital et la technologie, mais est conditionnée également par la qualité

résolue problème d’organisation dans firme. Combinaison optimale K & W = frontière d’efficience. Réalité, firme atteignent jamais efficacité optimale. Si problème d’organisation résolu, écart entre P° effective & optimale = inefficience X (Leibenstein). Rien ne prouve existence combinaison optimale de K & W. Assignation firme seul objectif de maximisation profit sous contraintes. Vision décalée par rapport à la réalité. Possibilité de maximisation N, taux croissance ou survie par firme. Maximisation

la réalité. Depuis les années 1980, de nouvelles théories émergent sous l’influence de travaux et de remises en cause énoncées dans les années 1960 et 1970 (W. BAUMOL, H. SIMON (1916-2001, Nobel 1978), Richard CYERT (1921) et James MARCH, Harvey LEIBENSTEIN (1922-1994), Alfred CHANDLER (1918). A- De la microéconomie traditionnelle à la nouvelle microéconomie 1- La théorie microéconomique traditionnelle (théorie néo-classique) a formalisé avec des outils mathématiques l'idée de SMITH (1776, La Richesse

L’intérêt de cette théorie est d’expliquer que le chômage frictionnel (temps nécessaire à la recherche d’un emploi) est dû aux imperfections du marché. Chômage naturel : chômage frictionnel + chômage structurel  La théorie du salaire d’efficience : LEIBENSTEIN, sur le marché du T selon les néoclassique le salaire = productivité. Le niveau de productivité détermine le salaire, sauf qu’en réalité sur le marché du T, l’employeur ne sait pas qu’elle est le niveau de productivité de l’employé on a donc une

peuvent être considérables (ici, aggravation du chômage). B) Les théories du salaire d'efficience et l'économie de partage : introduction des apports de la théorie de l'incitation en économie du travail. -1- La théorie du salaire d'efficience (H. Leibenstein) : une analyse plutôt microéconomique. La productivité individuelle serait une fonction croissante du salaire réel (alors que dans la théorie de base, c'est le salaire qui est fonction croissante de la productivité) => les employeurs arbitrent