Les Alternatives Du Pib En Tant Que Indicateur Macroéconomique

entrant en compte dans le risque pays appréhendé comme étant "l'ensemble des paramètres –macroéconomiques, financiers, politiques et sociaux – qui peuvent contribuer à la formation d'un risque autre que strictement commercial lors d'une opération avec un pays émergent" 4 . Le risque pays concerne donc toutes les opérations internationales et est le fruit de l'environnement général du pays étranger – macroéconomique, financier, politique et social. La définition qui nous semble la plus englobante et la

d’affronter ces concurrents. En effet, pour éviter l’aggravation de son déficit courant, la Tunisie est appelée à recourir d’avantage au financement extérieur et surtout un financement non générateur de dettes : l’IDE se présente ainsi comme une alternative nécessaire plutôt qu’un choix délibéré. L’IDE représente aujourd’hui la principale source stable et fiable de financement long terme. Contrairement à la baisse des flux de capitaux au titre d’aide publique au développement accordés aux PVD, les

1 : Bâle II, frein ou opportunité pour la PME ? A- les apports de la réforme bâloise B- répercussions sur les relations banques entreprises Section 2 : Alternatives et propositions A- alternatives B- propositions CONCLUSION GENERALE INTRODUCTION GENERALE  Ces dernières années, l’économie marocaine a évolué dans un contexte international porteur. Cet élan est, aussi

Partie I : Introduction: Les crises financières qui ont secoué les différentes régions de la planète, que ce soit des pays développés ou des pays émergents étaient très coûteuses en terme de croissance. Le PIB a connu en général une évolution négative pendant la crise. Après, il a fallu une restructuration du secteur bancaire et du marché financier pour renforcer les structures et combler les défaillances du système pour corriger les erreurs commises. Dans la plupart des cas, il a fallu l’intervention

depuis lors porté sur l’analyse de l’adéquation de la région en tant que zone monétaire optimale et sur la surveillance des processus de convergence des pays. L’union des monnaies en vue nécessite une analyse de l’efficacité de la politique monétaire dans la stabilisation de l’économie régionale. Un modèle VAR a permis d’évaluer l’influence de la politique monétaire sur l’activité et les prix de l’économie de la CEDEAO. A long terme, le PIB réel, le taux d’intérêt, le taux de change et la masse monétaire

Dans l'enseignement 6.2 Dans les entreprises et les administrations 6.3 Dans la société civile 7 Outils et mesure du développement durable 7.1 PIB et développement durable 7.2 Indices agrégés 7.3 Outils d'aide à la décision pour le développement durable 7.4 Indicateurs et normes 8 Gestion transversale et domaines d'application 8.1 Ventes et logistique 8.2 Marketing 8.3 Recherche et développement 8.4

terme ? 84 CHRONOLOGIE 89 GLOSSAIRE 111 Les réponses de long terme : les enjeux réglementaires BANQUE DE FRANCE • DOCUMENTS ET DÉBATS • N° 4 • MAI 2012 SOMMAIRE Encadrés 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 Les principaux indicateurs budgétaires L’effet « boule de neige » de la dette Le rôle de l’Agence France Trésor et de la Banque de France dans les adjudications de dette française Le fonctionnement des CDS et leurs critères de déclenchement Les motivations liées à la négociation

Europe en 2009 ». La PS représente 32% de notre PIB (richesse nationale). En France on dépense de plus en plus pour la PS mais ce n’est pas caractéristique propre à notre pays, elle constitue une caractéristique propre aux pays de l’UE. Sauf pays nouvellement entrés dans l’UE : Bulgarie, Roumanie, Lettonie,… Par ailleurs, au sein de l’UE la PS est majoritairement prise en charge par les acteurs publics. En revanche aux Etats unis la PS (27% du PIB) est majoritairement pris en charge par des acteurs

consommation de biens et services. 2-Types d’une crise économique Elle peut se présenter sous forme : * d’un ralentissement économique soit une diminution passagère (quelques trimestres) de la croissance du produit intérieur brute (PIB). * Ou d une récession économique qui est une diminution plus ou moins prolongée de l'activité économique. «  La transition d'un état « normal » à une situation de « récession » se fait par une crise économique. » Elle peut toucher soit

contre 1 en 1960, on est passé à 74 contre 1 en 1997, et à plus de 80 contre 1 selon les estimations pour 2002. Les 20 % des pays les plus pauvres ne représentent que 1 % du PIB mondial, 1 % des marchés d’exportation, 1 % des investissements directs étrangers, 1 % des dépenses de recherche et de brevets contre respectivement 86 % du PIB mondial, 82 % des marchés, 68 % des IDE et 90 % des recherches/brevets pour les 20 % les plus riches1. Le continent africain a vu sa part dans le commerce mondial chuter