Les Causes De La Multinationalisation

positivement sur le prix de l’action. Grossman S.J. et Hart O.D., « Takeover Bids, the Free-rider Problem and the Theory of the Corporation », The Bell Journal of Economics, 1980. 23 Demsetz H. et Kenneth L., « The structure of corporate ownership: causes and consequences », Journal of Political Economy, vol. 93, 1985. 24 Op. Cit. 25 Wruck K., « Equity ownership concentration and firm value: Evidence from private equity financings », Journal of Financial Economics, vol. 23, 1989. 22 EDG – Finance

non durables, biens de consommation alimentaires et produits de base) l'évolution a été négative dans les deux périodes. (3) R. COURBIS, Le comportement d'autofinancement des entreprises, Économie appliquée, tome XXI, n°3-4, Genève 1968. (4) G. CAUSSE, A. CHEVALIER et G. HIRSCH,Management financier, analyse décision, contrôle, Paris, Sirey, 1979. (5) J.F. WESTON et E.F. BRIGHAM, La finance et le management de l'entreprise, Paris, Publi. Union, 1973, p. 358. (6) J.F. WESTON et F. F. BRIGHAM, op

de 84 % (759 milliards $ US) était réalisé par la vente de produits alimentaires. Quant aux 1 Deux critères peuvent être retenus pour satisfaire à la notion de « firme influente » : celui de la présence d’activités à l’étranger (critère de multinationalisation) et celui de la taille (critère de poids économique). Dans le fichier « Agrodata », on a défini le concept de firme multinationale agroalimentaire (FMAA) pour désigner ce type d’entreprise. Il en résulte qu’une FMAA possède au moins une filiale

par des crises d’ancien régime Les crises d’ancien régime économique sont celles qui touchaient les économies occidentales avant le processus d’industrialisation ou au moment de son émergence. Elles sont fondamentalement différentes dans leurs causes et dans leurs manifestions. Ce sont des crises du système capitaliste arrivé à maturité. Ce sont des crises de sous production ou de surproduction agricole, elles-mêmes dues à des factures exogènes et conduisent souvent à des famines (sous nutrition)

Garrette, 1997).1 Dans une approche « Portérienne », Garrette (1997)2 avait distingué trois types de partenariat selon la nature des partenaires impliqués : des partenariats verticaux avec les fournisseurs ou les clients ; des joint ventures de multinationalisation avec les partenaires locaux, et les alliances stratégiques pour les coopérations entre concurrents. En utilisant une approche des coûts de transaction, Hennart (1988)3 avait distingué les scale joint ventures des link joint ventures. « Le premier

pratiques restrictives ou discriminatoires, pour augmenter encore le prix des produits. Bref, ils se comporteront comme des monopoleurs, pouvant aller jusqu’à l’entente illicite. Les théoriciens des marchés contestables ajoutent d’ailleurs d’autres causes de barrières à l’entrée : — Aux économies d’échelle (economies of scale) ils ajoutent les économies de variété (economies of scope : les entreprises ayant, dans l’industrie, une gamme large de produits bénéficieront des synergies dues aux relations

pratiques restrictives ou discriminatoires, pour augmenter encore le prix des produits. Bref, ils se comporteront comme des monopoleurs, pouvant aller jusqu’à l’entente illicite. Les théoriciens des marchés contestables ajoutent d’ailleurs d’autres causes de barrières à l’entrée : — Aux économies d’échelle (economies of scale) ils ajoutent les économies de variété (economies of scope : les entreprises ayant, dans l’industrie, une gamme large de produits bénéficieront des synergies dues

pratiques restrictives ou discriminatoires, pour augmenter encore le prix des produits. Bref, ils se comporteront comme des monopoleurs, pouvant aller jusqu’à l’entente illicite. Les théoriciens des marchés contestables ajoutent d’ailleurs d’autres causes de barrières à l’entrée : — Aux économies d’échelle (economies of scale) ils ajoutent les économies de variété (economies of scope : les entreprises ayant, dans l’industrie, une gamme large de produits bénéficieront des synergies dues aux relations

paraît ; cf. infra, dans le paragraphe Attention aux ambiguïtés). On peut de même identifier des familles de mots qui donnent une orientation plutôt normative ou positive au sujet. Ainsi, « déterminants » ou « facteurs » (qui font référence aux causes d’un phénomène ou d’une action) et « impact », « effets », « incidences » (qui font référence aux conséquences de ce phénomène ou de cette action) indiquent un sujet plutôt positif dans la mesure où il s’agit de décrire le réel. Par exemple, un

rendez-vous manqué avec la reprise mondiale et l'héritage de l'inflation, n'était-ce pas un peu « léger » ? L'approfondissement, l'enrichissement de la démocratie n'exigeaient-ils pas qu'on s'interroge plus sérieusement sur l'échec et l'ensemble de ses causes ? CHAPITRE 3 Anatomie d'un échec Retour à la table des matières Le blocage des prix et des salaires qui accompagne la dévaluation de juin 1982 consacre un échec. Un échec partiel : c'est-à-dire l'échec d'une partie de la politique économique