Les Champs Lexical De La Tempete

lexique dans le cadre d’une rubrique spécifique : Les mots du jour. Dans chaque domaine, des dictées d’apprentissage sont proposées pour permettre à l’élève de mobiliser et réinvestir les connaissances acquises. Un travail spécifique des champs lexicaux permet d’accroıˆtre le vocabulaire des élèves par des exercices variés autour de thèmes proches de leur quotidien. Le fichier ressources accompagnant cet ouvrage propose : z Les séquences d’apprentissage commentées et les corrigés z Des bilans

Créon : Oui, c'est cela ! ". Il fait quand même preuve de violence envers Antigone lorsqu'il la secoue, hors de lui et lorsqu'il lui dit " Mais, bon Dieu ! Essaie de comprendre une minute, toi aussi, petite idiote ! ". Il utilise le champ lexical du bateau, de la tempête pour décrire ses émotions et le fait d'avoir dit oui au trône du roi : " qui mènent la barque", " Cela prend l'eau de toutes parts, c'est plein de crimes, de bêtises, de misères, ...", " le gouvernail ", " l'équipage ", " piller la

Les mains du géant turc Lukos sont dures comme des briques. Celles de Léonova tièdes sous ses gants. Ce sont les mains de Hoover qui reçoivent le plus d'attention. Ses grosses mains qu'il place outrageusement sur sa collègue russe gèlent dans la tempête, et deviennent l'occasion d'une narration intéressante de l'engourdissement, au moment même où ses mains sont les plus nécessaires, ce qui n'est pas au détriment du suspens. Viennent ensuite les yeux, (166 nominations). Ce sont les yeux d'Éléa

            Le moindre vent qui d'aventure             Fait rider la face de l'eau,             Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil,             Brave l'effort de la tempête. Tout vous est aquilon ; tout me semble zéphir. Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage             Dont je couvre le voisinage,             Vous n'auriez pas tant à souffrir :             Je vous défendrais de l'orage ;             Mais

Roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent, qui d'aventure Fait rider la face de l'eau, Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête. Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr. Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l'orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords

tremblement de terre ; le 2ème § consacré à l’autodafé présente successivement les victimes, leur crime, leur châtiment. Situation: Après l’épisode guerrier des chapitres 3 et 4, les tribulations maritimes de Candide l’ont amené après une violente tempête au cours de laquelle il a perdu le bon anabaptiste Jacques à Lisbonne, ville portugaise en proie à un terrible séisme. C’est donc ébranlé par les différentes catastrophes récentes et dont les dernières dépassent la seule malfaisance humaine que Candide

mort Emile PIERRES « A Mme Lullin » A Mme Lullin Hé quoi ! vous êtes étonnée Qu’au bout de quatre-vingts hivers, Ma Muse faible et surannée Puisse encor fredonner des vers ? Quelquefois un peu de verdure Rit sous les glaçons de nos champs ; Elle console la nature, Mais elle sèche en peu de temps. Un oiseau peut se faire entendre Après la saison des beaux jours ; Mais sa voix n’a plus rien de tendre, Il ne chante plus ses amours. Ainsi je touche encor ma lyre Qui n’obéit

(…...) leurs flots elle décrit en quelque sorte sa tempête intérieure mais le dramaturge utilise aussi une hyperbole procédés d'amplification «  bouillonne ma haine » une autre exemple  « le cœur a tressailli d'horreur »  mes membres se figent ils se glacent ma poitrine a tremblé Cette douleur est tellement forte que cela provoque une torture . Pour finir nous pouvons conclure que pour montrer le désarroi de Médée plusieurs champs lexicaux étaient utilisés comme la rage colère violence rancœur

|Cependant que mon front, au Caucase pareil, |Non content d’arrêter les rayons du soleil, |Brave l’effort de la tempête. |Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr. |Encor si vous naissiez à l’abri du feuillage |Dont je

paradoxe du poète A. De la grandeur… B. L’inadaptation. Commentaire : I – Un récit symbolique présentant deux mondes en conflit A- Un récit maritime Le poète semble proposer à son lecteur un récit en posant le cadre avec un champ lexical maritime : le cadre semble à la fois calme, avec le participe présent : «  glissant », infini avec l’adjectif «  vaste » qui pourrait s’appliquer davantage à la mer (hypallage) mais aussi inquiétant par la périphrase «  gouffres amers » qui désigne