Les Champs Lexicaux De La Peau

trop jeunes travailleurs mais ils s’insurge également contre les responsables de cette misère. Il ne jette pas seulement un simple regard, il cherche avant tout à persuader le lecteur. Victor Hugo dans Mélancholia nous met en présence de deux champs lexicaux principaux apparemment opposés : Le travail et l’enfance. Il veut donc nous montrer l’univers dans lequel vivent, ou plutôt survivent, les enfants qui travaillent . Il insiste pour cela sur la durée interminable de leurs tâches, sur leurs conditions

joaillerie, le monde végétal, la danse. Différence avec un portrait traditionnel ? Portrait traditionnel : composition d’un personnage cohérent : nom, portrait physique et moral, appartenance à un milieu social. Ici : seulement le visage (figure, peau, joues, yeux, le bout de son nez : portrait par morceaux), variable selon les jours « certains jours… D’autres jours… d’autres fois » : le temps est déterminant, ce n’est pas toujours le même visage. Proust a déclaré qu’il voulait élaborer une « psychologie

«  s’en allait pour toujours » = double sens (mort/rupture) => considération, amour L.27 à 29 antithèses : => humanité, manque d’affection vs voyage d’affaire => altruisme, générosité. L.30 à 33 abandon => mépris, méchanceté «  fidèle, 20ans, la peau sur les os »  Il est accusé d’avoir pensé qu’à lui au lieu de ses proches et amis. Il est égoïste C°) Mélange des registres : On a la présence du registre merveilleux, fantastique et tragique. L’irréel surgit brusquement cô dans un conte L .34

sait que l'on se trouve dans la loge car Nana se fait habiller par madame Jules qui prépare son costume, elle s'occupe de Nana pour qu'elle puisse monter sur scène. Pour continuer, dans cet extrait le luxe est présent, par exemple, on trouve le champs lexical du luxe «  outils d'ivoires, cristal , marbre blanc » ce qui nous prouve le luxe dans lequel vit Nana, le cristal renvoie à la brillance elle peut voir son reflet dans son diamant, ce sont des objets de valeurs ils sont chers et montrent l'importance

livres qui servent de foyer au feu La salamandre est un petit amphibien urodèle terrestre, vivipare, dont la peau noire marbrée de jaune sécrète une humeur corrosive mais c’est aussi un appareil de chauffage à feu continu qui se place dans une cheminée, dans le livre la salamandre est l’insigne des pompiers, la mascotte, mais cette animal n’a pas été choisi au hasard car, premièrement sa peau sa peau sécrète un corrosif qui agit comme le feu et le mot salamandre a un autre sens, celui du feu Le tamis et

fois cruel et lâche des esclavagistes. Tous les Hommes sont égaux et on leur propre liberté. Les auteurs se demandent comment l’on peut traiter des hommes comme du bétail ou des marchandises parce qu’ils n’ont pas la même couleur de cheveux ou de peau. Jaucourt affirme que « les hommes et leur liberté ne sont point un objet de commerce ». Dans son texte, il explique que les noirs sont achetés, vendus, échangés. Montesquieu, lui, montre une intolérance physique : « ils ont le nez si écrasé qu’il

confiance en la nature puisqu'il veut la plonger « au milieu de la terre fécondée ». Jeanne devra découvrir la séxualité par l'observation de la nature mais cette conception idyllique n'est-elle pas dangereuse pour une jeune fille « chatse ». Le champs lexical de l'innocence est présent : « chaste », « ignorante », « naïve ». Le narrateur se focalise sur Jeanne qui semble faire une apparition puisqu'elle était au paravant vloitrée. Les deux verbes « apercevoir » et « distinguer » renforcent l'illusion

passage met en avant les vertus de l’éternel féminin. Balzac reprend les caractéristiques types de la femme noble, âgée de trente ans, mariée de l’époque de la restauration. Le portrait du corps -Champs lexical du corps ; « œil »l3339 ; « ses paupières »l3341 ; « longs cheveux »l3353 ; « sa peau »l3354 ; « son cou »l3358... Balzac cherche a décrire minutieusement le corps de Julie, il s’attarde sur son visage. Il est mis en valeur par des adjectifs mélioratifs ou des formules hyperboliques

de la dame nous sont décrites avec une abondance de termes tel que « bien compassé » v. 91 « Enarcans » v. 95 ou bien encore « compassés par art de mesure » v.108. Ses traits sont donc parfaits. Il est également intéressant de s’intéresser au champ lexical des couleurs omniprésents dans cette description « Blanc » v. 92 « brun » v. 96 « noir » v.100, « sanguin » v. 136. Adam use de toute une palette de couleurs pour rendre vivant ce portrait. Il ajoute à la fin de son portrait un trait moral de la

soir », les participes présents « portant » et « évitant », le présent de vérité générale « il est rare que » : rituel du masque revêtu par l’acteur, grâce au costume et au maquillage, qui lui permet de se déposséder de lui-même pour entrer dans la peau du personnage ; rituel de l’observation de la salle (« écoutons par l’écouteur », « regardons par le trou du rideau ») ; rituel du trac qui monte (« chaque soir avec plus d’angoisse ») et qu’il faut vaincre avant le lever du rideau. Cependant, à la