Les Chimères De Nerval

(Delphine 1802 et Corinne ou l'Italie 1807). VICTOR HUGO (Cromwell, 1827 ; Châtiments, 1853) / LAMARTINE (Les Méditations poétiques, 1820) / ALFRED DE VIGNY (Les Destinées, 1864) / ALFRED DE MUSSET (Caprices de Marianne, 1833) / GÉRARD DE NERVAL (Les Chimères, 1853) / GEORGE SAND (Indiana, 1831). b- Réaliser une frise avec les principaux évènements et les systèmes politiques depuis la fin de la Révolution jusqu’à 1852. Qu’on suscité chez les romantismes la Révolution française et l’épopée

avec George Sand, Œuvres : « On ne badine pas avec l’amour » théâtre, 1834 « Les Nuits » poésie 1835-1837 « La confession d’un enfant du siècle » récit, 1836 - Nerval Gérard De (1808-1855) ou Labrunie. Œuvres : « Sylvie » 1853, «Les filles de feu ; Les Chimères » 1854, « Aurélia » 1855. Le Réalisme : Décrire la société dans sa dimension historique et sociale. Refuser toutes les formes d’idéalisation, représenter l’homme et la société dans

» par les artistes de cette époque, a donné naissance au romantisme. Ce mouvement est très riche et très complexe, de très nombreux auteurs ont exprimé leurs malheurs, leur chagrin, leur mélancolie à travers leurs oeuvres littéraires : Nerval a écrit les Chimères , Goethe les Souffrances du jeune Werther, Chateaubriand René, Alfred de Vigny Chatterton... Il ne faut pas ommettre un thème particulièrement courant de la littérature qui est l’amour. Apparaissant dans beaucoup d’intrigues sous forme

par tout un été.  Ô temps charmant des brumes douces,  Des gibiers, des longs vols d'oiseaux,  Le vent souffle sous le préau,  Mais je tiens entre paume et pouce  Une rouge pomme à couteau.  L'enfance(1832) poésie de jeunesse Gérard de NERVAL  (romantisme) Qu'ils étaient doux ces jours de mon enfance  Où toujours gai, sans soucis, sans chagrin,  je coulai ma douce existence,  Sans songer au lendemain.  Que me servait que tant de connaissances  A mon esprit vinssent donner l'essor

dessins-souvenirs-notes-carnets (burgs, passages, dolmen …cf. Dolmen où m'a parlé la bouche d'ombre) 2) eaux fortes de Jacques Callot et le triptyque pour piano de Maurice Ravel (1908) en regard du recueil d’A . Bertrand 3) Gérard de Nerval, Aurélia, fin du chapitre 6 et début du chapitre 7, 1853-54 et Le Rêve éveillé, de Dante Gabriel Rossetti, 1880. 4) Charles Baudelaire, « Rêve parisien », Fleurs du Mal, 1857, et quelques œuvres de Constantin Guys

grands arbres aux rameaux noirs ! Ce beau temps me pèse et m’ennuie. - Ce n’est qu’après des jours de pluie Que doit surgir, en un tableau, Le printemps verdissant et rose, Comme une nymphe fraîche éclose Qui, souriante, sort de l’eau. Gérard de Nerval, Odelettes Soleil d’été Soleil d’été Tu viens caresser ma peau c’est la plus douce des sensations que je puisse sentir Soleil d’été Tu illumines les jours les plus beaux et le chemin des passions à venir Soleil d’été Tu te couches à

de l’art antique, la forme actuelle de la forme morte, ou, pour nous servir de mots plus vagues, mais plus accrédités, la littérature romantique de la littérature classique.  Ecrivains représentatifs : Chateaubriand, Lamartine, Vigny, Hugo, Musset, Nerval  Contexte historque : le XIXème siècle est le temps de l’alphabétisation généralisée des Français. Plusieurs lois scolaires sont mises en place : création des lycées par l’Empire, réglementations scolaires de 1833 et 1849, loi Ferry de 1883 qui institue

ordinaire) il a pour antécedent un nom ou un pronom qui peuvent déseigner aussi bien des personnes que des choses (il y a de manière implicite les deux genres, les deux nombres et les trois personnes). Ex: La fleur qui plasait tant à mon coeur désolé. (Nerval, Chim, Desdichado) * Pronom neutre: ayant pour antécédent la phrase elle-même ou une partie de celle-ci. Ex: qui plus est, quimieuxestqui pis est. * Réprésentant et complément: toujours introduit par une preposition (dans la langue ordinaire

Jacques Prévert dans son poème "Pater noster" qui tourne en dérision les épreuves de foi et la religion en général. Parfois malheureusement elle ne suffit pas et l'épreuve prend le dessus et finit par triompher de nous. Gérard De Nerval, dans son poème "Les Chimères", publié en mille huit cent cinquante quatre, fait le récit de sa souffrance. Souffrance dont il n'arrivera pas à triompher. Il se pendra le vingt-six janvier mille huit cinquante cinq. La poésie permet, en général, le dépassement

pouvons nous demander ou s’arrête cette esprit de confidence, si le romantique garde en lui quelques secret ou si il peux tout dévoiler au lecteur, et si certain texte possèdent-ils un message compréhensible que par certain comme le texte de Nerval Les Chimères (El Desdichado).