Les Croyances Religieuses Sont Elles Irrationnelles

implicitement utilisée dès le XVIIIe siècle dans des raisonnements sociologiques et économiques, notamment par David Hume et Adam Smith. La rationalité cognitive, enfin, a pour but d’expliquer pourquoi les gens adhèrent à leurs croyances : croyances idéologiques, croyances magiques, valeurs morales. Elle est principalement issue de l’école sociologique allemande, avec une contribution initiale notable de l’école française sous la plume de Durkheim. En élargissant ainsi la sphère de la rationalité

de libérer l’homme de croyances reposant sur l’autorité ou la coutume. La tyrannie est ainsi pensée comme indissociable de l’ignorance. Les Lumières n’ont pas de modèle. Dumarsais dans l’article « philosophe » de l’Encyclopédie le définit ainsi : > Intellectuellement c’est un homme qui ne se fie qu’à sa raison considérée comme la faculté de réfléchir et de juger. Il applique un esprit clair et rigoureux à l'analyse critique de ce qui l'entoure: comportements, croyances, connaissances, fonctionnement

polémique. Il s’agit de savoir si le fidèle se retrouve, par la consolation religieuse même, réduit à la condition de petit enfant cajolé. Plus grave, elle laisse entendre une forme d’escroquerie mentale, comme si la religion exacerbait les chagrins pour mieux les consoler, subordonnant ainsi les esprits à son autorité. 1.3. Relations entre les termes Un sous-entendu oriente la question : avant l’expérience religieuse, l’individu rencontrerait des chagrins dont il parviendrait à se consoler dans

codifiée, dotée de règles. Définition de l’objet de la sociologie : sciences des institutions (extérieur à l’individu) c.à.d. toute les croyances, les conduites instituées par la société. Fait social : contrainte qui s’impose de l’extérieur de l’individu. Ex: choix du prénom. Facon de se comporter, d’agir. Individu: structure collective qu’ils ont intériorisées ; elles s’imposent à l’individu. Différents types de faits sociaux : Vie sociale : libre action collective ponctuelle. Mvt spontanée

A-t-on besoin de religion ? Introduction : Le développement de l’esprit scientifique fait de la religion une chose du passé. L’esprit scientifique a vocation à chasser le fanatisme religieux, la croyance inconditionnelle aux dogmes, c’est à dire l’adhésion indiscutable à des textes qui passent pour vrais sans discussion, sans preuves. La philosophie peut s’en réjouir. Toutefois l’esprit scientifique lui-même n’échappe pas toujours au fanatisme technocratique caractérisé par l’étroitesse

une peur sans objet, la crainte d'un danger imprécis. Peur « N » → liée à un danger objectif, réel. Ex : lion Angoisse → illogique, irrationnelle, disproportionnée. Ex : petits animaux inoffensifs → Manifestations de l'angoisses : 1. Physiques = somatiques 2. Psychiques = subjectives 3. Comportementales 1. Physiques = somatiques Elles ressemblent aux manifestations présentes dans les pathologies/ troubles organiques (cardiaques, neurologiques, digestives...) : Cardio-vasculaire :

l'exigence de vérité. Voilà pourquoi les hommes confondent d'ordinaire ce qui est vrai ou juste avec ce qu'il leur est utile ou agréable de croire tel. Là est le ressort de l'efficacité psychologique de toutes les idéologies et de toutes les religions. Elles sont infiniment plus influentes que la science car celle-ci n'est pas au service des affects (au contraire la science requiert pour être élaborée une ascèse, un effort pour s'arracher à ce que Platon définit métaphoriquement comme la prison du corps

de ce type d’action est que l’objectif est irrationnel car l’individu ne se concentre que sur le but à atteindre et non pas sur les conséquences. Cependant, les moyens utilisés pour atteindre cet objectif sont rationnels. - L’activité rationnelle en finalité correspond aux actions où l’individu recherche les moyens les plus performants pour atteindre son but. Les actions d’un individu impliquant autrui ne sont pas toujours à son initiative. Elles peuvent être le fruit d’une relation de pouvoir

comprendre les relations qui existent entre les phénomènes sociaux, c’est à dire la conduite sociale. Selon Weber, la conduite sociale peut être déterminée, idéalement de quatre manières comme étant : -soit irrationnelle parce qu’elle est habituelle « je le fais parce que cela se fait ». -soit irrationnelle parce qu’elle est affective « je le fait parce que j’aime ça ». -soit rationnelle quant au but par l’attente utilitaire du comportement des autres « je le fais parce que les autres vont me récompenser

bucher les personnes accusées de sorcellerie. C’est là que l’obscurantisme, attitude d’opposition à la diffusion du savoir, se distinguait. L’inquisition avait cette attitude. Brûlant et condamnant des gens qui pensaient autrement que la doctrine religieuse liée à l’inquisition qui est bien un comportement de restriction dans la diffusion de la connaissance que les moines voyaient comme un danger pour leur salut, la pensée médiévale selon laquelle l’intelligence et la réflexion sont un péché.