Les Dangers Et Les Limites De La Fiction Litteraire

jeta enfin et pour la première fois au pied de mon œuvre future, et s'il est vrai que cette aspiration avait, dans ma tendresse de fils, sa racine douloureuse, tout mon être fut enserré peu à peu dans ses prolongements, jusqu'à ce que la création littéraire devînt pour moi ce qu'elle est toujours, à ses grands moments d'authenticité, une feinte pour tenter d'échapper à l'intolérable, une façon de rendre l'âme pour demeurer vivant. Romain Gary, La Promesse de l'aube, 1960. Texte 3 Monsieur Linh fuit

que les formes implicites de l'écriture argumentative disposent de moyens littéraires tels que la mise en forme, le travail sur la langue et les procédés qui rendent dans un premier temps le discours plus attrayant et qui permettent également de convaincre plus facilement un public plus large grâce à l'histoire et les personnages qu'elles mettent en jeu; cependant il arrive parfois que les « marques » d'un texte littéraire altèrent la clarté et la qualité de la thèse défendue.     Les formes

connaissance de soi par la valeur didactique + interêt de connaitre un peu plus un auteur, sur la genèse de ses oeuvres. Donc intérêt stylistique aussi => ex : prix de sartre ayant prix pour le style. L’objectivité de l’écriture de soi => danger qui guette => danger de l’hagiographie => consistant à faire sa propre éloge. On voit chez percer des documents, des lettres… question de la méthode et tt et + question de la mémoire. Difficulté à se souvenir. Mémoire => objective et affective =>

France, en second lieu celle de l’Index de Rome. Après l’examen des faits, l’auteur essaie de montrer la stratégie adoptée par Zola pour y répondre tant dans ses prises de position publiques (en particulier dans la presse) que dans ses oeuvres de fiction (en particulier dans Rome). Mais elle entend aussi analyser , derrière les similitudes apparentes, ce qui distingue les deux types de censure mis en place pour le condamner (personnel, public, enjeux, méthodes, dispositifs...). Citer ce document /

est en ma croyance, non pour ce qui est à croire ; je ne vise ici qu'à découvrir moimême qui serais autre demain si un nouvel apprentissage me changeait... Montaigne, Essais, 1580. Une définition de l'essai L'essai fait partie des cinq genres littéraires que l'on vous apprend à différencier en seconde : il est défini comme texte d'idées. En effet, il ne s'agit pas de construire un monde fictif, qu'il soit sous forme de récit ou de pièce de théâtre, mais de réfléchir à des thèmes divers en utilisant

mot………………………………23 1.2.2. Les caractéristiques du baroque…………………………………………... 23 1.2.3. Les genres littéraires du baroque…………………………………………..25 1.2.4. Du baroque vers classicisme………………………………………………26 1.3. Le Classicisme………………………………………………………………….. 28 1.3.1. Le classicisme : l’étymologie et le sens du mot………………………….. 28 1.3.2. Les caractéristiques du classicisme………………………………………. 29 1.3.3. Les genres littéraires du classicisme……………………………………… 31 1.3.4. L’achèvement du classicisme…………………………………………….. 33 1

qu’une définition précise est impossible car le fantastique est une notion trop "floue". D’autres avancent l’argument des oeuvres considérées comme "inclassables", tant elles flirtent avec différents genres (fantastique, merveilleux, science-fiction, etc.) ! Cependant, comme le dit Jean Fabre, l’existence du crépuscule n’annihile pas le jour et la nuit et plusieurs spécialistes se sont attelés à la tâche de définir le fantastique de manière rigoureuse. C’est en littérature que les analyses

Université Mentouri Faculté des Lettres et des langues Département de Langue et Littérature françaises N° de série N° d’ordre Mémoire en vue de l’obtention du diplôme de MASTER Filière SCIENCES DES TEXTES LITTERAIRES Intitulé : Le Rouge et le Noir entre effet-chronique et effet-fiction Présenté par : KHEBBAB KHAOULA Membres du jury : Président : Jamel Ali Khodja Professeur Université Mentouri Constantine Rapporteur : Med Salah Dadci Maitre assistant chargé de cours Université Mentouri Constantine

10. Illusion et fiction 11. Création et production 12. Pacte et contrat 13. Explication et interprétation 14. Implicite et explicite 15. Dire et ne pas dire 16. Les deux questions 17. Intérieur et extérieur 18. Profondeur et complexité II. QUELQUES CRITIQUES 1. Lénine, critique de Tolstoï L’image dans le miroir 2. L’analyse littéraire, tombeau des structures

nous en concluons que c’est une œuvre vaine que de chercher celle-ci hors de la société qui l’a produit. Œuvre littéraire, donc de l’esprit humain, le conte porte en ses entrailles les traces de la culture de la société d’où il est issu. Attardons-nous ensuite sur les caractéristiques du conte, afin de mieux cibler ce qu'est un conte. Tout d'abord, le conte est une pure fiction qui a un passé lointain, souvent commencé par « il était une fois ». Les personnages accomplissent des exploits