Les Deux Rois

La cité de l’AtlantideC’est dans le Critias que Platon décrit l’Atlantide. Elle était composée de deux îles en forme d’anneau, qui entouraient un îlot central ou se dressait l’Acropole. Un canal de 9 km de long reliait ces anneaux à la mer. La cité était entourée par une muraille, au-delà de laquelle s’étendait une immense plaine cultivée cernée par de lointaines montagnes. Les Atlantes fournissaient en bois et en minerais dont l’orichalque, métal légendaire qui “brillait comme l’or sous le soleil”

puis Henri IV seront tous deux d’ailleurs assassinés. Les pouvoirs du roi restent incomplets à cause des parlements, cours de justice qui pouvaient remettre en question les lois et des « lois fondamentales du royaume » que le roi ne peut pas modifier alors qu’elles limitent ses pouvoirs : il doit transmettre son pouvoir à son fils aîné, par exemple. Mais des contestations et révoltes s’opposent au renforcement du pouvoir royal, comme la Fronde. Pour se faire obéir, les rois répriment les révoltes et

Les rois Franc possèdent un droit absolu de commandement (le bannum). En usant de cette autorité, les rois ont promulgué des actes de nature législative qui étaient de portée générale. Actes qui se sont ajoutées aux lois nationales, mais à la différence de ces lois nationales, ces actes sont d’application territoriale. INTRODUCTION HISTORIQUE AU DROIT BIBLIOGRAPHIE : ! Jean-Marie CARBASSE : « Introduction historique au droit » ! Jean GAUDEMET : « Les naissances du droit » ! Jean-Louis

iii-de la royaute a la republique Dès la fin du 6e siècle, les rois étrusques provoquent un certain nombre de conflits et provoquent une coalition contre eux. En 509, le dernier roi étrusque est expulsé par un aristocrate romain. Dans des épisodes légendaires se réalisent moins les faits avérés que les éléments fondateurs du citoyen romain : la vertu (courage), le dévouement pour la patrie ; la piété, le sens civique. Cette histoire est difficile à reconstituer mais il en ressort d’intenses conflits

Les Capétiens et l’Eglise aux XI e , XIIe et XIIIe siècles Séance 1 : le 24 janvier 2013 « Les rois capétiens à travers les sources iconographiques, d’Hugues Capet (987-996) à Philippe Auguste (1180-1223) » Préambule : • De quel type de source s’agit-il ? Bréviaire de Renaud de Bar (déb. XIVe siècle) : Verdun, BM, ms. 107 Préambule : • De quel type de source s’agit-il ? • Comment aborder l’étude de miniatures ? Quelle est la méthodologie à adopter ? Préambule : • De quel type

- vivre à l’image du Christ = vivre dans le partage et la pauvreté. - Respecter le vœu de chasteté. Seuls les catholiques font ça → problèmes de recrutement aujourd’hui. Au Moyen Age, le haut clergé ne respecte pas ces deux règles. Ils vivent comme les rois : luxe, richesse, cour autour d’eux, maîtresses. Certains papes ont même eu des enfants qu’ils n’ont pas cachés. Le bas clergé a aussi des choses à cacher (bonne du curé). Le clergé au M-A va petit à petit perdre un peu la confiance

glaive leur bouclier et celui qui obtient le plus de bruit est élu. Quand on a élu le chef on le met sur le bouclier et on le porte. Donc une fois qu'il est élu le chef est montré a tout le monde. Une fois qu'ils sont au pouvoir les rois ont deux pouvoirs, ils exercent deux prérogatives qui s'appellent le Banum (pouvoir de commandement et de donner les ordres, c'est une sorte de pouvoir législatif) et le Mundium (pouvoir de protection par la force armée et par la justice). Le tribut est un trésor de

spectacle car il ne connaît pas la guerre pour l instant les impressions sont visuelle.il s’agit aussi d’une hyperbole et d’une anaphore si beau si leste(…) ordonné. Si est un adverbe d’intensité On mélange pour le moment les deux armée tout comme plus tard avec des te deum les deux rois font chanter les même choses. ILS se ressemblent même par leur nom les abares et les bulgares. Dans la seconde phrase, est encore dans le spectacle il s’agit donc ici d’une accumulation ils sont rangé » du plu petit au

et date de 150-100 avant J.-C. Elle est attribuée à un artiste inconnu, mais témoigne de l'admiration et de l'intérêt pour les exploits d'Alexandre le Grand dans la culture romaine. Les quatre autres œuvres sont des monnaies frappées par différents rois hellénistiques : Alexandre IV de Macédoine, Pôros, Ptolémée Ier et Séleucos Ier. Ces monnaies, émises sous leur règne, reflètent les liens politiques et culturels qu'ils entretenaient avec l'héritage d'Alexandre. Ces œuvres d'art, en plus de leur valeur

est avant tout une chronologie d'événements qui retrace, année après année, les faits marquants du règne des rois mérovingiens. Il est aujourd'hui possible d'affirmer que la Chronique de Frédégaire a été composée par plusieurs rédacteurs successifs. Ceux-ci l'ont tour à tour enrichie des événements dont ils étaient les quasi-contemporains. La rédaction de la Chronique a été entamée par deux auteurs, l'un et l'autre burgondes. Le premier rédacteur a rédigé la section qui couvre les années 604 à 613