Les Deux Sources de la morale et de la religion

vie spirituelle. Philosophie qui se découvre spiritualiste, fondée sur une morale ouverte et sur une religion d'amour et de mystique. Sa réflexion part d'une philosophie du moi psychologique (Essai sur les données immédiates de la conscience / Matière et Mémoire), s'approfondit dans une intuition de la vie (L'Evolution créatrice), s'épanouit enfin dans une philosophie de l'esprit (Les Deux Sources de la morale et de la religion) - Essai sur les données immédiates de la conscience' (1889): dans la thèse

LA RELIGION ● Premier constat : les religions sont nombreuses et très différentes les unes des autres. ● Théismes et monothéismes, polythéismes, monothéisme et polythéisme (hindouisme), panthéisme, athéisme (bouddhisme) et enfin chamanisme (pas de dieu mais tabous, rites magiques, lieux particuliers...). ● Mais pourtant, commune essence du religieux : il existe une transcendance à laquelle l'homme peut avoir accès. ● Le fait religieux consiste dans la croyance en l'existence d'une réalité non

de l'inconscient est nécessaire [...], parce que les données de la conscience sont extrêmement lacunaires. » Freud, Métapsychologie, 1952 (posth.) http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 172 Citation 173 « Il existe deux variétés d'inconscient : les faits psychiques latents, mais susceptibles de devenir conscients, et les faits psychiques refoulés qui, comme tels et livrés à eux-mêmes, sont incapables d'arriver à la conscience. [...] Nous réservons le nom d'inconscients

De fait, les religions sont en recul dans les pays occidentaux. De moins en moins de gens pratiquent. D’ailleurs, ont-ils encore le souci de la transcendance, du « tout-Autre ? Rien n’est moins sûr. Il semble que ces sociétés modernes puissent se passer de toute référence à la religion. Le fondement et le fonctionnement de la société seraient donc autonomes par rapport à une référence au sacré, à la révélation d’un tout-Autre, de même qu’à l’égard de toute institution ecclésiastique. Mais, en droit

La règle de droit et les autres règles non-juridiques Ex : morale et religion → pas des règles de droit • Les critères de distinct° entre les règles de droit et les règles non-juridiques • La source des règles La morale trouve sa source dans la conscience de l’H (elle est interne) ≠ les règles juridiques ont une source extérieure à l’H, elles sont édictées par l’autorité publique. La religion comme la règle de droit a une source ext à l’H. Seul Dieu ou l’autorité religieuse peut édicter des

il faut un certain nombre de principe, qui si ils sont respecté permettront cette vie commune sereine et harmonieuse. Il y a donc une nécessité d’organisation dans toutes les sociétés, elle n’est pas fondée sur la morale, elle génère le droit dans un objectif d’abord pratique que moral. Dans la mesure où sont permis certains comportements et d’autres au contraire sont interdit. On est face à une manifestation d’un droit. CONCLUSION : Il n’existe pas de société sans droit ceci dit-il, il existe

La demande d'annulation d'un mariage car la femme n'était pas vierge vient poser la question de la part de religion dans le droit. Ce n'est que le 9 décembre 1905 qu'est proclamée la séparation de l'Eglise et de l'Etat. Il en résulte que les autorités religieuses ne doivent plus intervenir et participer à la gestion politique de l'Etat. De plus, l'Etat doit désormais respecter les principes de laïcité et de neutralité religieuse. Ainsi, le droit et les institutions étatiques ne doivent pas revêtir

De fait, les religions sont en recul dans les pays occidentaux. De moins en moins de gens pratiquent. D’ailleurs, ont-ils encore le souci de la transcendance, du « tout-Autre ? Rien n’est moins sûr. Il semble que ces sociétés modernes puissent se passer de toute référence à la religion. Le fondement et le fonctionnement de la société seraient donc autonomes par rapport à une référence au sacré, à la révélation d’un tout-Autre, de même qu’à l’égard de toute institution ecclésiastique. Mais, en droit

Peut-on concevoir une société sans religion ? La France est la fille aînée de l’Eglise, adage célèbre des papes. Traditionnellement les rois de France ont toujours été les grands défenseurs de l’Eglise catholique. Or, depuis 1905, nous vivons dans un Etat laïc séparé de l’Eglise (l’Etat ne s’occupe plus de religion : il est neutre). N’est-ce pas la preuve qu’une société peut perdurer indépendamment d’une confession religieuse ? C’est une question d’actualité puisqu’il a semblé nécessaire au conseil

société a toujours été mise en place sous une morale ; régit par une culture, une religion. Avec l’évolution, une société est gouvernée par le droit, administré par des lois, des règles. Il est nécessaire de s’attacher à la relation qui rapproche ou éloigne la notion de droit et de morale. La notion de droit est définit juridiquement comme un ensemble de règles régissant la vie en société et sanctionnées par la puissance publique ; quant à la notion de morale, elle est considérée comme un ensemble de