Les Deux Topiques De Freud

Freud a, dans sa première topique évoqué sa théorie du complexe d’Oedipe, l’histoire de ce jeune garçon qui a, sans le savoir fait preuve d’inceste et de parricide respectivement, envers sa mère et son père. Nous allons nous intéresser aux arguments que Freud avance sur l’universalité de ce complexe et enfin sur la dissymétrie présente entre le petit garçon et la petite fille. Le complexe d’Oedipe 1.1. Hypothèse d’universalité du complexe d’Oedipe argumenté par Freud Lors de l’Oedipe,

selon Freud et sa « deuxième topique » 1 publiée en 1923. En effet, derrière toute réalité apparente, se cache des désirs et des actes le plus souvent inaccomplis ou ratés. Selon le père de la psychanalyse, l'activité littéraire n'est pas seulement un chef-d'œuvre chargé de symboles explicites mais c'est le résultat d'un inconscient qui ne peut être contrôlé, c’est ce qu'il a d'ailleurs expliqué dans sa « première topique »2 publiée en 1900. Depuis l'apparition de ces deux topiques, la psychanalyse

défensives, lois du processus primaire, dérivés de l’inconscient) distincte des significations concrètes. Sa connaissance est indispensable au clinicien et son application hors du champ de la cure beaucoup plus légitime. Il serait absurde d’opposer les deux méthodes. Que dirait-on d’un chirurgien qui refuserait tout diagnostic et toute hypothèse physiopathologique, se contentant de corriger les anomalies que le champ opératoire lui donne à voir? Dans la cure, les références métapsychologiques s’estompent

Exposé FreudI) Introduction Sigmund Freud est né le 6 mai 1856 et est décédé le 23 septembre 1939 à l'âge de 83 ans. Il est le fondateur de la psychanalyse. Il était médecin de formation. Se concentrant dès 1876 sur l'étude du système nerveux, il obtient son diplôme de médecine dès 1881. Freud reçoit une bourse en 1885 pour se rendre à Paris et suivre un stage à la Salpêtrière auprès du docteur Charcot, neurologue le plus reconnu de l'époque. Freud y précise ses connaissances sur l'hystérie, la pathologie

A. L’inconscient de Freud et son rapport à la responsabilité a)     L’inconscient, une instance psychique mise à nue par Freud Dans ses  topiques, Freud divise le fonctionnement psychique humain en deux concepts, en premier lieu, celui de la conscience, et en second, celui de l’inconscient.  Malgré le fait que l’homme soit un être conscient, il resterait sous l’emprise d’autres phénomènes qui ne sont pas décidés en pleine conscience, et il recevrait des influences que nous ignorons (et subissons

ensuite demandé si ces personnes ont déposés une plainte, une main courante. Ces données sont ensuite comparés avec « l’état 4001 » qui porte sur les faits portés à la connaissance des autorités de la police et de gendarmerie. Mais le problème avec ces deux moyens pour recenser la violence est que l’enquête de victimisation ne porte que sur des paroles et ne sont donc pas fiables à cent pout cent. De plus, « l’état 4001 » ne prend pas en compte les mains courantes alors que l’enquête oui. Hormis cela

1) L’idée qu’une partie de notre psychisme échappe à la conscience n’est pas nouvelle, et elle est même "dans l’air" à la fin du XIXe siècle : a) Leibniz et les petites perceptions (Nouveaux Essais, Préface, pp.41-42) Avant Freud, certains philosophes avaient déjà montré que la représentation cartésienne du psychisme humain était insuffisante. Pour Descartes, l'esprit s'identifiait avec la conscience, avec la pensée claire et distincte. On pouvait avoir accès, par la conscience

psychanalyse * Les psychothérapies. La psychanalyse avec les principales conceptions de Freud qui l'a inventé & a laissé une œuvre considérable & controversée. Cela marque encore des années après la manière dont la vie psychique est conçue. * La théorie psychanalytique freudienne en France Globalement, Freud a développé deux théories de la vie psychique qui ont été appelé des topiques. Elles possèdent des caractéristiques communes. La première qu'il explore jusqu'en 1914 &

déterminismes sociaux, naturels ou bien psychologiques, qui appartiennent à notre nature, mais n’étant pas accessibles à notre conscience, on ne peut empêcher leurs conséquences et être libre de notre état. 3-  On peut alors affirmer, comme l’a fait Freud, que « le moi n’est pas maître dans sa propre maison », car il est la plupart de temps soumit à l’inconscient. Cette partie du psychisme est ce qui résiste à l’introspection, et donc à la conscience. On ne peut l’atteindre, mais il peut jouer sur notre

Définition Examen direct du malade sans appareil ni examen de laboratoire. Psychologie clinique : étude des cas individuels afin de mettre en évidence des particularités. Elle prend en compte l'unicité de la personne (l'individualité subjective). Freud Il a utilisé cette expression de «psychologie clinique» en 1899 (mais elle était déjà sortie avant lui) : cela signifie relation conflit/clinique. Il a eu des influences mais il ne les site pas (idée de trajectoire personnelle). 1896 : Witmer :