Les Devoirs Du Mariage

Dans l'Antiquité, le divorce se confond avec la répudiation (fait de rompre le mariage et de renvoyer sa femme), d'abord unilatérale, réservée au mari. Puis l'évolution des mœurs fait admettre, chez les Romains notamment, le divorce par consentement mutuel. La religion catholique oppose à ça l'indissolubilité du mariage. Elle ne tolère que la séparation de corps. Interdit sous la monarchie, le divorce est introduit en France, après la Révolution, par la loi du 20 septembre 1792. Le Code civil de

La paradoxe de l'obligation de fidélité : sa déchéance au sein du mariage et son renouveau au sein du PACS Yannick JOSEPH-RATINEAU , Jurisfac.org (www.jurisfac.org), (c) Tous droits réservés (merci de nous dénoncer toute utilisation commerciale de ce document). Depuis la nuit des temps, l’homme sous l’influence de la religion chrétienne, considère la fidélité comme l’essence même du couple. La loi n’a fait, dans ce domaine, que poursuivre une tradition vieille de milliers d’années. L’article 212

respectée à la suite d’un mariage (I), mais elle précise également que des domiciles distincts ne peuvent constituer dans tous les cas, une violation au principe de communauté de vie (II). I. La communauté de vie comme préalable nécessaire à la déclaration de nationalité française. La communauté de vie est tout d’abord présentée par le code civil, comme une obligation provoquée par le mariage (A). De plus, l’obtention de la nationalité française à travers le mariage ne peut être envisagée que

Sujet de dissertation : L’union hors mariage L’union hors mariage a été pendant longtemps une situation de fait complètement ignorée par le droit. Les personnes vivant en couple en dehors du mariage se plaçaient par elles-mêmes en dehors du droit. Cependant, depuis 1972 s’est amorcée une véritable désaffection du mariage au profit du concubinage. Sous la pression sociale, le droit a dû modifier son appréhension du phénomène. Le législateur est intervenu de façon parcellaire pour conférer un semblant

statut politique de la personne en tenant compte de la nationalité et des élément qui concerne également le statue civil de la personne c'est-à-dire le statu individuel, se préoccuper du statue familiale, statue de parente, de l’alliance ,statue du mariage, il y a aussi le statu sociale de la personne tenant compte de la race de la religion. 1. le caractère de l'état il civil. A. Un caractère impératif La fixe de manière impérative les différente e règle suivant lesquelles s’acquière se perd ou se

individuelles les plus étroites. La famille, un mot qui regroupe bien des diversités : du célèbre Famille, je vous hais d'André Gide au bonheur que cette famille peut représenter : à l'occasion des événements les plus marquants de la vie familiale (mariage, naissance d'un enfant), des tensions de la vie familiale, des difficultés de communiquer au sein des familles (relations parents-enfants, le mauvais rôle accordé à la belle-mère), au respect et à la tendresse que l'on y retrouve. La famille est appréhendée

semble donc exclue, à moins que Antoine BERTHET arrive à convaincre son épouse, en lui expliquant que le mariage civil est indépendant du mariage religieux qui n’est pas remis en cause. b)-. Le divorce accepté Ce cas de divorce, prévu aux articles 233 et suivants, suppose que les époux sont d’accord sur le principe du divorce mais s’opposent sur les conséquences de la dissolution du mariage, soit pour eux-mêmes, soit pour leurs enfants.. Ce divorce repose désormais sur un simple accord des époux

facdedroit-lyon3.com 4 5 5 5 5 5 7 7 2 III. LES EFFETS DE LA NULLITE 9 A. LES CONDITIONS DU MARIAGE PUTATIF 9 ère Civ.1 , 15 janvier 1980 B. LES EFFETS DU MARIAGE PUTATIF 1. Dans les rapports entre époux Civ.1ère, 23 octobre 1990 Civ.1ère, 2 octobre 1984 2. A l’égard des enfants 9 11 11 11 12 17 3 La théorie des nullités, peu employée en pratique, témoigne de l’aspect contractuel du mariage. Elle connaît en la matière des spécificités tant au niveau des cas de nullité, de ses conditions

au niveau du régime des fiançailles, de la célébration du mariage et de sa dissolution qu’en matière de droits et devoirs des époux et de la tutelle des enfants. En matière de fiançailles L’article 107al2 du code qui réglemente la rupture sans motif légitime des fiançailles est reconnu comme d’inspiration divine . Dans le domaine du mariage la reconnaissance du mariage coutumier auquel les futurs époux peuvent recourir au coté du mariage célébré par l’officier de l’état civil est une nette prise

d’alliance ? C’est celui qui naît du mariage. Mais le mariage n’est pas un lien d’alliance en lui même. L’alliance est le rapport de droit qui existe entre l’un des époux et les parents de l’autre (gendre/beau-père, belle-mère, belle-sœur). b▪ la définition de la famille en référence au lien de sang et l‘alliance C’est la plus communément admise, famille : un groupe de personne uni par des liens de parenté et d’alliance. Une famille est un groupe fondé sur le mariage et la filiation. Mais cette définition