Les Devoirs Moraux Ne Sont Ils Que Des Devoirs Sociaux

réflexion claire du problème posé par Rousseau : la force fait elle le droit ? PLAN Introduction I force et droit : deux concepts antithétiques La force ne donne aucun droit, le vrai droit naît du consensus entre les hommes. Alors qu’on obéit à un devoir, on subit la violence. II la force comme source d’un pouvoir fragile. Quand un individu prend le pouvoir par la force, son autorité est vouée de facto à disparaître, car plus le temps passe, plus l’homme s’affaiblit, et perd de sa puissance. III

Rousseau écrit Du Contrat Social ou il nous explique les effets bénéfiques du pacte social . Tout au long de ce texte nous avons droit un balancement entre ce que nous sommes à  « l’état de nature » et a « l’état civil » qui est issu d’une volonté commune. Dans cet extrait il admet alors comme thèse que l’état civil est produit du pacte social ce qui donne une nouvelle naissance de l’homme pouvant ainsi accéder à sa vraie liberté. Il y a pour Rousseau un avant « contrat sociale » qui est défini par

SOCIOLOGIQUE ET HISTORIQUE DU CONCEPT a) Déf° et étymologie de la notion d’adolescence -Début adolescence entre 10 et 14 ans -Puberté : transformations organiques/sexuelles -Jeunesse : terme utilisé par sociologue. Transformations organiques/sociales/sociologiques. -Adolescence : phase restructuration affective et intellectuelle. Profondes modificat° enfant->adulte. Changements physiologiques->physiques. Processus psychique qui permet d’intégrer changements induits par la puberté. Transition

tradition romaine, strictement juridique, et celle, morale, de la conception canoniste. Les auteurs classiques ont vu dans l’obligation naturelle une obligation imparfaite, sorte de sous-obligation civile qui conserve quelques aptitudes juridiques. Ainsi ces auteurs voulant marquer une barrière étanche entre le droit et la morale, rapprochent autant que possible l’obligation naturelle de l’obligation civile pour la distinguer du pur devoir moral, pour admettre qu’il eut en réalité des obligations

: le jugement esthétique a une portée universelle - Bergson : L’Art est révélateur / l’artiste voit mieux que nous “la multiple splendeur du monde” (Han Suyin) - Albert Camus: servir ceux qui subissent l'histoire : assigne à l'artiste une mission morale - Kant : La nature inspire le génie “Génos” = né ainsi - Nietzsche: le génis s’acquiert par le travail et l’effort et les deux forces créatrices (inspiration dyonisique et inspiration apollinienne) “sans la musique la vie serait une erreur” - Duchamp

La Justice et le droit (La liberté, la société, l’état, la politique, le morale, le devoir) Justice vient du Latin « Justus » qui veut dire conforme au droit. Le droit est l’ensemble des lois et des règles qui régissent les rapports entre les individus d’une même société. D’après l’étymologie, doit être considéré comme juste tous se qu’une société considère comme telle à travers son système de loi. « Positivistes » « légalistes » : ce qui pense que s’est seulement la loi qui a valeur de justice

juste, c'est un sage, presque un sait, qui observe tous ses devoirs, sans compromission ni défaillance. Quand la raison s'applique aux sciences, son idéal est objectivité, la justesse. La même exigence se nomme justice quand elle concerne les actes. Rectitude, droiture, définissent une ligne géométrique, mais aussi la conduite de l'homme juste. Néanmoins, la conduite de l'homme juste, celui qui agit avec justice, revêt une dimension morale A ce titre, Leibniz définit, dans son Codex juris gratium diplomaticus

fait-elle comprendre la place de la femme dans la société arisctocratique du XVII éme siécle à travers le portrait de Mlle de Chartres? Plan proposé : I - L'art du portrait a) Un portrait classique b) Une beauté physique idealisé c) Un portrait moral d'exeption II - La vision du narrateur sur son époque a) La vision de la femme du XVII éme siècle b) La vision sur l'homme du XVII éme siècle c) Une vison pesimiste de l'amour et des valeurs défendues par la société aristocratrique du XVII éme siècle

caractères, qui la distinguent d’autres règles de conduite sociale : elle est générale et obligatoire. La règle de droit ne vise aucune personne déterminée ; sa formulation est impersonnelle : « quiconque »… « Chacun ». Elle assure l’égalité juridique des citoyens. Art. 379 du code Pénal : « quiconque soustrait frauduleusement une chose… ». La différence entre droit et morale : Le droit n’est pas la seule règle de conduite sociale. La morale, la religion, et dans la moindre mesure, la politesse

4ème partie : Les devoirs d’un citoyen Français 6) Petit historique de la citoyenneté 7) Conclusion 8) Index 9) Sources. Introduction « Qu’est-ce qu’être citoyen* » Un citoyen ou citoyenne est dans l’antiquité, un membre d’une cité, habitant d’un état libre, qui possédait des droits de suffrage* dans les assemblées publiques. Aujourd’hui, c’est un individu jouissant, sur le territoire de l’Etat dont il relève, des droits civiques et politiques ainsi que des devoirs, des obligations définies