Les Diaboliques

déjà ces deux entités du bon et du mauvais, que ca soit a l’égard de sa mère, ou vis-à-vis de lui-même, puisque même lui culpabilise cette haine et ses désirs d’attaques. Ces parties violentes existent en chacun, et reflètent une image de nous diabolique, mais elles relèvent toujours de souffrances vécues ayant mobilisé des forces agressives que l’on prête a Satan. Afin de dominer la violence en nous, l’homme doit apprendre a la connaitre, et a la comprendre, et pouvoir en parler. Chose que Caïn

ne peut vouloir dire autre chose d’après ce qui précède que : " il a conscience de la loi morale et il a cependant admis dans sa maxime de s’en écarter (à l’occasion) ". 2) Si le mal moral suppose la liberté, y a-t-il pour autant une volonté diabolique ? L’homme est-il un démon ? Kant, De la religion dans les limites de la simple raison, I, 3 Donc, pour donner un fondement du mal moral dans l’homme, la sensibilité contient trop peu ; car, en ôtant les motifs qui peuvent naître de la liberté

travers ce déchainement des forces naturelles le déchainement de la colère divine • La cage symbolise l’emprisonnement dont l’oiseau symbole de l’esprit ne peut s’échapper • « esprit » donne une dimension fantastique voire diabolique à la scène • L’adjectif curieux peut définir la soif de connaissance • Le roman de la rose symbolise l’ensemble des livres rejeté par l’église en effet dans cette histoires des moines sont tué pour avoir eu accès à des sciences

l’opportunité d’avoir une relation parce qu’elle veut rester loyale à son pays. Seulement à la fin, devant le départ de l’officier, elle le regarde et le dit “Adieu.” Bien que Vercors recommande la résistance aux Allemands, il ne présente pas Werner comme diabolique. La guerre et la barbarie qu’elle a provoquée sont clairement condamnées, mais les personnes sont traitées avec beaucoup plus de finesse : c’est vrai que les Allemands sont l’ennemi, mais l’officier comme un individu est une figure assez positive

un cri et tomba de sa hauteur. Saisi d’effroi, je m’élançai pour la relever… Mon sang se fige rien que d’y penser : je ne trouvai rien que la cafetière brisée en mille morceaux. À cette vue, persuadé que j’avais été le jouet de quelque illusion diabolique, une telle frayeur s’empara de moi, que je m’évanouis. IV Lorsque je repris connaissance, j’étais dans mon lit ; Arrigo Cohic et Pedrino Borgnioli se tenaient debout à mon chevet. Aussitôt que j’eus ouvert les yeux, Arrigo s’écria : Ah ! ce

du Moyen Age, la médecine arabe va progressivement se diffuser en Occident notamment par la création d'université vers le sud de l’Europe. Malgré cette diffusion médicale et scientifiques en Europe la folie reste interpréter comme une procession diabolique. Ou on considère que le fou est coupable: coupable d'être attirer par le Diable. La folie fait peur. → Au moyen age la folie reste figure ambigu. Au niveau de la thérapeutique médical du Moyen age s'inscrivent en grande partie en référence aux

« trouble" " balbutie" : mise en attente, va-t-il annoncer son vol ? B) La fausse accusation : - Portrait élogieux de Marion : adjectifs qualificatifs = jeune, jolie, fraicheur de coloris, qui ne m’a jamais fait de mal. Alors que lui est « diabolique », « infernal ». - Mélioratif : modestie, air de douceur, sage, fidélité (associé a "non seulement" "mais" "surtout" => accentue les adjectifs) - Marion = improbable coupable car elle est bonne : surprise quand il l'accuse. - Idée de tribunal

: opposition entre noir/blanc, le Mal/le Bien exprime le dilemme auquel Phèdre est confrontée. Phèdre n’a pas envisagé elle- même un tel stratagème.  La phrase exclamative du vers 60 exprime la stupéfaction et l’horreur de Phèdre, face au plan diabolique que lui propose Oenone.  L’antithèse en début et fin de vers 61 et l’emploi des adjectifs possessifs de première personne du singulier et de deuxième personne du pluriel : montrent que Oenone n’attend qu’un signe d’approbation,

tomba de sa hauteur. Saisi d’effroi, je m’élançai pour la relever… Mon sang se fige rien que d’y penser : je ne trouvai rien que la cafetière brisée en mille morceaux. À cette vue, persuadé que j’avais été le jouet de quelque illusion diabolique, une telle frayeur s’empara de moi, que je m’évanouis. IV Lorsque je repris connaissance, j’étais dans mon lit ; Arrigo Cohic et Pedrino Borgnioli se tenaient debout à mon chevet. Aussitôt que j’eus ouvert les yeux, Arrigo

pareil scène, diffuse autour d’elle la rumeur d’un amour «anormal » qui unirait Karen et Martha, poussant ainsi les autres parents à retirer leur enfants du pensionnat. D’inutiles explications avec les deux concernées ne suffisent pas à démasquer la diabolique petite fille à qui le chantage sur l’une de ses camarades apporte d’autres preuves de ce qu’elle avance. L’école est en faillite et les deux jeunes femmes voient, impuissantes, leur vie sociale s’écrouler. Tout ce qu’elles avaient mis tant de temps