Les Didascalies Expriment Le Conflit

disent pas, comme les noms des personnages ou les didascalies qui sont des indications de mise scène utile pour la représentation de la pièce. Le texte dit prend des formes différentes de discours : narratif quand il raconte des événements passé, comme dans la scène d’exposition afin que le spectateur puisse situer la pièce, informatif quand ils apportent des informations nécessaires à la compréhension de l’intrigue, argumentatif quand il y a conflit entre des personnages, ou encore injonctif quand

du collectif à l?individuel, autour des effets de l?antisémitisme européen (/Dreyfus/) ou de l?engagement politique (/En r?venant d?l?Expo/). Mais le dramaturge ne réalise *pas un théâtre à thèse *: il incarne des émotions, des préjugés, des conflits moraux dans des personnages complexes, changeants, en devenir ? comme des personnes vivantes. Plus qu?une indirecte leçon d?histoire, son théâtre veut restituer un vécu humain, infléchi par les terribles événements du XXe siècle. **

personnage est seul sur scène et s'exprime, rendant le public confident de ses épanchements. Dans la tradition du théâtre classique, le monologue est un moment privilégié où le personnage se livre à un débat intérieur. Il cherche une solution à un conflit (tel le monologue de Phèdre), il exprime une hésitation entre deux intérêts contradictoires (monologue de Rodrique dans Le Cid). Nous pouvons donc dire que le monologue dans le théâtre classique est le plus souvent un monologue délibératif. Dans

actantielle, si un personnage n’a pas de position, cela veut dire que votre histoire est mal ficelée. On peut avoir plusieurs schémas à l’intérieur d’un schéma dramatique, schéma secondaire. La grammaire du récit (l’intrigue dramatique) valorise le conflit, (ou il ya contradiction entre les quête) et la validité de certains de c’est outils d’analyse est limitée. La grammaire du récit permet d’analyser l’action en privilégiant non seulement les étapes de son évolution (situation initiale, transformation

........................................................... 21 1.2. Cadre de la dispute .................................................................................... 22 1.2.1. Dispute / crise / conflit ....................................................................... 22 1.2.2. Conflit ................................................................................................ 23 1.2.3. Crise ........................................................................................

subjectivité et donc la présence de l’énonciateur. En effet, nous avons plusieurs adjectifs qualificatifs comme « merveilleux (l.15) », « fier (l.15) », « exigent (l.16) » qui ont certaines connotations. On a aussi des adverbes tels « hélas (l.17) » qui expriment un jugement ou des sentiments. L’atmosphère qui règne sur la scène est une atmosphère pesante à cause de la mort de Jan ce qui entraine un lexique de la souffrance et du désespoir. Le deuxième texte que nous allons étudier est la scène unique

et la femme au service du seigneur : double servitude de Suzanne (// double humiliation de Figaro). Figaro et Suzanne sont des vassaux : ils doivent obtenir la permission du maître pour se marier. Interprétation des symboles représentés par les didascalies externes (« le petit bouquet de fleurs d’orange ») et internes : « « Oh ! que ce joli bouquet virginal », le « beau lit que Monseigneur nous donne » objet du litige. Problématique/ oeuvre (thèse de Beaumarchais): la pièce s’ouvre sur une réflexion

les expressions faciales, les gestes, les costumes, le maquillage des comédiens & le décor. 2. Les messages sonores * La déclamation * Le langage non verbal : le rire, les cris, les pleurs (sous forme d'interjections ou de didascalies)... * Le bruitage * La musique : lorsque la musique est plus importante que le texte, on obtient l'opéra (« théâtre chanté »). → la comédie-ballet : Le Bourgeois gentilhomme & Le Malade imaginaire de Molière. Dans les comédies-ballets

1 Jean Cocteau, La Machine infernale, lecture expliquée, par Georgette Wachtel La Machine infernale, acte IV, depuis la didascalie : « OEdipe aveugle apparaît. Antigone s’accroche à sa robe. » jusqu’à la fin. Objectifs : – Familiarisation avec le mythe antique; retour à OEdipe-Roi de Sophocle ; – Fonction du dernier acte de la tragédie ; modernité de la tonalité tragique ; – Modernisation du mythe : interprétation originale, selon une thématique propre à Cocteau. Présentation de la pièce

La Machine infernale, acte IV, depuis la didascalie : « Œdipe aveugle apparaît. Antigone s’accroche à sa robe. » jusqu’à la fin. Objectifs : – Familiarisation avec le mythe antique; retour à Œdipe-Roi de Sophocle ; – Fonction du dernier acte de la tragédie ; modernité de la tonalité tragique ; – Modernisation du mythe : interprétation originale, selon une thématique propre à Cocteau. Présentation de la pièce et du passage à expliquer