Les Dieux ont soif

garçon qui rêve de gloire : * Il ne sait pas s'il aime la gloire mais il aime tout ce qui s'y rapporte. * Conception très idéalisée de la vie : "le bonheur, la chance". => Oedipe possède les caractères des héros traditionnels comme la soif de gloire et la confiance en soi mais ils sont ici poussés à l'extrême = négatif, vaniteux. B. Origine du départ * Oedipe s'ennuie chez ses parents : * "je commençais à me languir, à me consumer". * Passage narratif = enfance d'Oedipe

l’immortalité, de la gloire, de l’amour, de la domination… ces désirs là nous rendent esclaves de ce qu'ils sont.  Le deuxième s’agit des désirs naturels, qui sont la faim, la soif, le sommeil, la sensualité… Ces désirs naturels doivent être satisfaits mais toujours avec une certaine modération. En effet, si pour épancher la soif, on ne fait que consommer du vin, il va se créer inévitablement un sentiment de manque lorsque l'on en n’aura plus. Or, les désirs naturels nécessaires ne doivent pas être soumis

et du nouveau mondes. Acquis à la sagesse par un long exercice du pouvoir, Zeus instituait le règne de la justice et faisait grâce à Prométhée. Ainsi se trouvait légitimée la révolte du héros, qui n’apparaissait plus attentatoire à l’autorité des dieux. On y a remarqué ce vers : « Le sourire innombrable de la vague marine ». ____________________________________________________________ _____________________ “L'Orestie” (-458) -------------------------------------------------------------

HistoireII – Un espace de conflictualités et de tensions religieuseDoc2 P67 : Les trois grandes civilisations de la méditerrané médiévale sont en compétition territoriale et la mer constitue un terrain d’affrontement régulier. Les principaux états développent une flotte militaire pour défendre leurs côtes mais aussi s’enrichir et gagner de nouveaux territoires. Les territoires stratégiques sont particulièrement convoités comme les îles et les détroits. A – L’idée de

malheureux et pour lui les causes de ce malheur sont: - qu'ils s'imaginent que les dieux s'occupent d'eux, leur imposent des devoirs et les surveillent sans cesse, idée qui les affole au point même de les pousser parfois au crime sous prétexte de religion - qu'ils connaissent l'existence de la mort, savent la brièveté de la vie et surtout redoutent l'au-delà, ce qui sera après la mort. Ces deux craintes, la crainte des dieux et la crainte de la mort, empêchent les hommes de s'enquérir de la vraie nature

à mourir à lui-même, à participer à la véritable transformation intérieure devant le rendre capable à son tour de produire du fruit. 2. Le Vin : Le vin, breuvage mis dans le sac du compagnon servirait-il pour étancher sa soif ? La soif du voyageur, la soif du compagnon bâtisseur des temples qui demande de l’eau en quantité si importante, pourrait-elle être étanchée par le vin ? Le vin pris régulièrement et en quantité si importante n’aurait-il pas pour conséquence d’affaiblir ses capacités

vient du prénom Laïos, le père d’Œdipe qui, au moment d’abandonner ce dernier, débuta une longue tirade dramatique. Actuel : discours long et ennuyeux. Etre sous l’égide de Origine : l’égide est le nom de l’armure et du bouclier de Zeus et Athéna, dieux grecs Actuel : être sous le patronage, la protection de quelqu’un. Une Cassandre Origine : personne qui prédit une issue défavorable aux événements au risque de déplaire ou de ne pas être crue. Actuel : personne rabat-joie et peu crédible.

effet, ce retour comporte des dangers et Ulysse et ses compagnons seront confrontés à de très nombreuses reprises à la mort. Il navigue dans des lieux dangereux, est confronté à des monstres (éléments merveilleux), devra faire face à la colère des dieux et atteindra un point extrême avec la descente aux Enfers. Des chants V à XII, la mort est présente de diverses façons que l’on distinguera dans le monde des vivants, aux Enfers et la vision et l’évolution décrite et apportée par l’Odyssée de la Mort 

La drogue, n’étant bien sûr, qu’une solution illusoire. La cigarette Oui, ce monde est bien plat ; quant à l’autre, sornettes. Moi, je vais résigné, sans espoir, à mon sort, Et pour tuer le temps, en attendant la mort, Je fume au nez des dieux de fines cigarettes. Allez, vivants, luttez, pauvres futurs squelettes. Moi, le méandre bleu qui vers le ciel se tord Me plonge en une extase infinie et m’endort Comme aux parfums mourants de mille cassolettes. Et j’entre au paradis, fleuri de

est bon d’avoir un peu de mal à vivre et de ne pas suivre une route tout unie. Je plains les rois s’ils n’ont qu’à désirer ; et les Dieux, s’il y en a quelque part, doit être un peu neurasthénique. On dit que dans les temps passés, ils prenaient formes de voyageurs et venaient frapper aux portes ; sans doute ils trouvaient un peu de bonheur à éprouver la faim, la soif et les passions de l’amour… le bonheur suppose sans doute toujours quelque inquiétude, quelque passion, une pointe de douleur qui nous