Les Déterminants De La Profitabilité Des Banques

durable ex : Nespreso Connaitre notre cible Un état d’esprit Un état d’esprit Pour s’y adapter Pour l’influencer Pour satisfaire I/ L’évolution du marketing Une démarche évolutive * Exemple d’évolution dans les banques * Dans la distribution L’évolution de la démarche Marketing de masse * Une production standardisée * Communication de masse * Distribution limitée Marketing segmenté * Construction de groupe de consommateur *

ou policy mix, c'est à dire une politique économique conjoncturelle qui combine la politique monétaire et budgétaire d'un Etat ou d'un ensemble régional intégré comme l'Union Européenne. Elle articule une politique monétaire de rigueur menée par la Banque Centrale Européenne qui est chargée de conduire cette politique de manière indépendante des pouvoirs publics pour que la politique ne soit pas influencé par un ou des Etats membres à leur seul avantage. Sa mission d'inspiration très monétariste est

formes d'énergie, exploitation du pétrole de mer du Nord suite aux choc pétroliers,... Nouvelle organisation : développement des trusts dans la distribution et le raffinage du pétrole aux États-Unis à la fin du XIXéme siècle,... II- Les déterminants de l'investissement A/ Influence de la demande et des profits 1 - Demande anticipée: Keynes l'a mise en exergue sous l'appellation « Demande Effective » (niveau macroéconomique). Les entreprises n'investissent que s'il existe une demande

ex-nihilo par les banques commerciales, sous forme de crédits aux ménages, aux entreprises et aux Etats. Cette même désinformation entretient chez beaucoup l’idée que la monnaie serait émise par le gouvernement, par une banque nationale ou par la banque centrale... En fait, ce sont les banques commerciales qui détiennent maintenant le pouvoir de créer par le biais du crédit, la monnaie scripturale ou électronique qui représente environ 93% de la masse monétaire. Les banques centrales sont appelées

pose de maniere pregnante. Les taux d'attrition restent relativement faibles : moins de 5 % des clients frangais quittent definitivement leur banque chaque annee (CREDOC). Mais dans le meme temps, la multibancarisation des clients s'accelere et les banques leaders perdent progressivement des parts de client au profit des nouveaux entrants (3) : les banques etrangeres (HSBC, Caixa Bank, San Paolo, Barclays, ING, etc.), les compagnies d'assurances (AXA, Groupama, etc.) ou encore la grande distribution

COMPORTEMENTS BANCAIRES L'évolution de l'environnement bancaire au cours de ces dernières années suscite de nombreuses interrogations sur l'adaptation des comportements bancaires à ce nouveau paysage. Pour rester efficaces et compétitives, les banques exploitent tous les moyens pour y parvenir, notamment par le repositionnement stratégique par rapport à la concurrence, par le développement des barrières à l'entrée et par l'exploitation des innovations financières à des fins stratégiques. SECTION

Production + vente de marchandises Ce ratio mesure : dans l’absolue la structure de production de l’entreprise qui aura elle-même une incidence déterminante sur les besoins de financement. En variation d’une année sur l’autre, la contribution plus ou moins grande des facteurs de production à l’activité de l’entreprise. 3°) Coût et productivité du personnel Charges

19 FEER Wren-Lewis et Driver (1998) Institute for International Economics2 Décembre 2000 1,15-1,45 (Prévision) FEER Clostermann et Schnatz (2000) Bundesbank Décembre 1999Décembre 2000 1,13-1,20 Approche éclectique Hainaut (2006) Natixis-Banques Populaires Janvier 1999Décembre 2006 1,09-1,20 NATREX Bénassy-Quéré, Béreau et Mignon (2008) CEPII Décembre 2007 1,07 BEER Bizimana (2008a) Crédit Agricole Janvier 1999Décembre 2008 1,10-1,30 Différentiels de productivités et de position

Microsoft, Intel, EDS et Novell croissait de 80milliards. Alors depuis une quinzaine d’années, de tels transferts de valeur se produisent à un rythme accéléré dans des secteurs de l’industrie ou des services aussi variés que le transport aérien, la banque, la grande distribution, la sidérurgie, la chimie ou la pharmacie. Ces transferts de valeur sont un enjeu majeur pour les managers : ils ont en effet un impact direct sur la capacité de l’entreprise à lever des capitaux et donc à financer sa croissance

d'investissement III. Critères d'évaluation des projets d'investissement q critères atemporels r 1 Le taux de rendement comptable r 2 Le délai de récupération simple du capital investi Critères temporels r 1 La valeur actuelle nette r 2 L'indice de profitabilité r 3 L'annuité équivalente r 4 Le taux de rentabilité interne r 5 Le délai de récupération actualisé q file:///C|/COURS%20ADEL/tsge/tsge3/finance2/chap1fin/sec3.htm21/09/2004 11:25:38 1-1. Le taux de rendement comptable (TRC) III. Critères