Les Erinyes

Rabelais, Gargantua(1534), Prologue de l’auteur Editions Classiques Pocket, p.35-36, « le titre le prétendait. » Objectifs : l’utilisation de l’exemple, caractérisation et fonctions du prologue, exposé d’une méthode. Vocabulaire : - apothicaires : pharmacien - harpies : nom de 3 monstres fabuleux. Femmes, vautours, odeur détestable. Elles pourvoient en morts les Enfers, elles tourmentent les mortels par ordre des Dieux. Semblables aux Furies romaines qui gardaient le sombre Tartare.

²LES ORIGINES D’ENEE Anchise appartenait à la famille royale de Troie. Alors qu'il gardait ses troupeaux sur le Mont Ida, près de Troie, Aphrodite le rencontra et s'éprit de lui, touchée par sa beauté. Il s'unit à elle et lui donna un fils, Énée. Aphrodite ordonna à Anchise de ne jamais révéler leur union. Pour l'avoir fait, un soir qu'il avait bu et était ivre, il fut puni par Zeus, frappé par la foudre et resta boiteux. ENEE AUX ENFERS Enée est entré dans les Enfers afin de revoir son défunt

sur crime ? L’affrontement entre Apollon et les Erinyes Nous retrouvons Oreste dans le temple d’Apollon, à Delphes : ce dieu le protège de la furie des Erinyes. L’affrontement essentiel dans cette tragédie se situe entre les dieux. D’un côté les Erinyes, qu’Apollon décrit comme « des vieilles filles » fatiguées et repoussantes, nées des Ténèbres et qui se repaissent de toutes les horreurs» . De l’autre côté, Apollon, ce jeune dieu solaire que les Erinyes accusent de fouler au pied «les antiques et vénérables

avec sa femme). Elle est nommé par le guetteur comme "une femme au cœur d'Homme" (Femme virile) Pour le Coryphée, l'expédition contre Troie, est une expédition de juste, de vengeance. La vengeance est évoqué au vers 59, évoquée par le terme "Erinyes" (Ancienne déesse de la vengeance ( avec les Olympiens)). La cœur est composé de vieux citoyens qui n'ont pas pu aller à la guerre Dans le seconde partit du chant, le cœur racontent très longuement le sacrifice, demandé par la déesse Artémise

oracles lui a demandé de tuer sa mère pour rétablir une sorte de justice. Les Euménides présentent alors la façon de briser ce cycle de la vengeance : la pièce aborde les conséquences du matricide d'Oreste, ce dernier étant à la fois tourmenté par les Erinyes qui veulent le condamner de manière atroce et défendu par Apollon qui veut l'acquitter. Seul un procès parvient à terminer l'histoire. Problématique Plan I/ La justice comme loi du talion Eschyle représente une première forme de justice, ancienne

père pour que se lève un vengeur. Où Oreste, son frère, revient dans son pays sur ordre d'Apollon. Où Clytemnestre est égorgée par son fils. Où les Érinyes, déesses de la vengeance, se déchaînent contre Oreste. Les Euménides - Où Oreste, purifié à Delphes, doit subir une longue errance. Où Athéna fonde un tribunal pour juger son acte. Où les Érinyes et Apollon opposent leurs conceptions du droit. Où les vieilles déesses, déboutées, deviennent les bienveillantes Euménides. Article sur L'Orestie

contre les Erinyes, puis s’abandonne à son sort. Là, le Chœur chante la délivrance et la joie : Oreste a servi d’instrument à la justice de Zeus. Oreste se sait souillé par ce meurtre, et de lui-même s’enfuit, poursuivi par les déesses de la vengeance . Dans la suite du texte, le Chœur est formé par les Erinyes. Oreste se rend à Delphes auprès de Apollon montrer le sang dont ses mains sont rougies, les Erinyes dormant auprès d’eux. À son départ, l’ombre de Clytemnestre excite les Erinyes à se réveiller

n’est pas qu’une œuvre d’art, elle a une portée politique et religieuse très importante : omniprésence des dieux. L’Orestie met en scène le conflit des valeurs religieuses (religion traditionnelle et archaïque Grecs : les Erinyes et les valeurs nouvelles : Dieux Olympiens). Les Erinyes naissent du sang d’Ouranos : mutilé par son fils qui lui coupe les couilles à l’aide d’une serpe (Aphrodite nait du sperme d’Ouranos). Les Dionysies étaient les fêtes pendant lesquelles des tragédies étaient jouées. Les

acquises au cours des siècles mais en y ajoutant une pointe d'originalité allant même jusqu'à introduire un jeu du langage. Les Erinyes sont dans la mythologie grecque les déesses de la Vengeance. Elles sont aussi appelées les "Euménides", par crainte de prononcer leur nom, signifiant ainsi par antiphrase "les Bienveillantes". Une autre tradition explique que se sont les Erinyes elles-mêmes qui prennent le nom d'Euménides et changent leur caractère vindicatif, après qu'Athéna les convainc qu'il serait

s’il a échappé à la colère de son père, celle de sa mère se déchaîne : à peine a-t-il parlé qu’il aperçoit les Erinyes, divinités vengeresses du sang versé, qui viennent le traquer. Egaré, il prend la fuite. III - LES EUMENIDES 2 sur 3 26/01/2012 22:42 Résumé de l'Orestie, trilogie d'Eschyle http://www.webetudes.com/index.php?view=article&catid=128:orestie... Les Erinyes par Boris vallejo Delphes. La prêtresse du temple, apercevant Oreste souillé de sang et les furies vengeresses