Les Erinyes

nouvelle pour pénétrer dans le palais et Orestre tua Egisthe et sa mère Clytemnestre. Pour ces actes Orestre fut condamné par le tribunal de l'Aréopage et Electre fut épargné par Cupidon. Profitant de sa liberté Electre protégea son frère des Erinyes. Les Erinyes sont les déesses de la vengeance du crime, ce sont les Furies chez les romains. Giraudoux : Jean Giraudoux naît en 1882 à Bellac en Haute Vienne. Il fréquente le lycée de Châteauroux (Indre), un lycée de la ville porte d’ailleurs maintenant

hiérarchie et Man en est le chef. De plus, la justice apparaît comme un médiateur lors de conflits et est un arbitre. Dans L'Orestie, la justice caduque des Erinyes impliquait la vengeance puisqu'elle appelait la loi du talion, donc le meurtrier devait périr à son tour ; cette vendetta était donc sans borne. Après la transformation des Erinyes en Euménides, c'est-à-dire les Bienveillantes dans Les Euménides, Eschyle nous présente une nouvelle organisation de la cité athénienne qui délègue au tribunal

rencontrent Jupiter , qui se fait passer pour Demetrios , d'Agamemnon par Egisthe , dont toute la ville , par son silence , a été voluptueusement complice . Aujourd'hui , la ville est torturé de remords , qui prend la forme des mouches comme les Erinyes. Toute la ville vit dans le sentiment de culpabilité qui plaît aux dieux . Dès lors Oreste , s'il vengeait ce crime , ferait replonger toute la ville , en la libérant du remords et de la culpabilité , dans l'ennui bourgeois et provincal de la bonne

seconde génération cosmique, appelée les Ouranides : les six Titans, les six Titanides, les trois Cent-Bras et les trois cyclopes à l’oeil unique. Chronos. Il châtra alors son père, et du sang qui coula sur terre naquirent les Géants, les trois Erinyes (déesses de la vengeance.) et les Nymphes des frênes. Des parties sexuelles d’Ouranos jetées à la mer naquit Aphrodite." Cette légende nous raconte comment le ciel se sépara brutalement de la terre.

destin. Réduite en captivité par 2gisthe, qui veut lui faire avouer la cachette de son frère. Elle parviendra a s'enfuir et à rejoindre Oreste, pour l'aider dans sa vengeance. Apres le passage a l'acte Oreste devint fou et est poursuivit par les Erinyes, qui ont pour devoir de punir touts manquement a la piète familiale. Electre elle n'est pas inquiétée pare les déesses. Plus tard Electre épouse son cousin Pylade, un proche amis d'Oreste et fils du roi Strophios. elle a deus fils : Strophios et Médon

; le savoir a son prix. XX - JUPITER ET LES TONNERRES (1) Le messager de Jupiter (2) Les Furies étaient les divinités du monde infernal dans la religion romaine, très tôt assimilées aux Erinyes grecques, divinités de la vengeance, filles de Gaïa et d’Ouranos (Mégère, Alecto et Tisiphone). Les Erinyes, à la suite du procès acquittant Oreste, devinrent les Euménides (les Bienveillantes auxquelles un culte fut rendu à Athènes) (3) l’engeance humaine serait bientôt sous l’autorité du domaine des

Fiche Electre Acte I, scène 1 Jusqu'à : « pas pour longtemps » Résumé de la scène P.11 (P.13 Un étranger arrive au palais, il s’agit secrètement d’Oreste, le frère d’Electre et le fils d’Agamemnon et Clytemnestre. Il est accueillis par 3 petites filles (qui se trouve être les Euménides : déesses de la Vengeance). Le jardinier arrive ensuite et l’étranger le questionne (sur la façade du palais ainsi que sur sa sœur Electre…). Pers. : L’ETRANGER, LE JARDINIER, LES EUMENIDES, Etude de

DISCOURS I [FOLIE, AMOUR.] FOLIE. — À ce que je vois, je serai la dernière au festin de Jupiter, où je crois que l’on m’attend. Mais je vois, ce me semble, le fils de Vénus, qui y va aussi tard que moi. Il faut que je le passe, afin que l’on ne m’appelle tardive et paresseuse. AMOUR. — Qui est cette folle qui me pousse si rudement ? Quelle grande hâte la presse ? Si je t’eusse aperçue, je t’eusse bien gardé de passer. FOLIE. — Tu ne m’eusses pu empêcher, étant si jeune et faible ! Mais à Dieu

Dissertation Sujet : La légende d’Electre et d’Oreste, les enfants d’Agamemnon et de Clytemnestre, a inspiré les tragédiens de l’Antiquité. Au XXème siècle, la reprise du mythe a permis d’en renouveler la signification. On pourra confronter ces différentes versions de la légende autour des axes suivants : - les manifestations du tragique : la lamentation de la passion souffrante, le sentiment de culpabilité, la lutte des héros contre la fatalité ; - les représentations du destin : la présence

4ème Objet d’Etude : Le Théâtre Théâtre du XXe siècle : Le théâtre de l’Absurde Problématique : le rôle du mythe dans l’œuvre théâtrale Etude intégrale d’une œuvre : Electre de Giraudoux I) Lectures Analytiques - Lecture analytique 1 : Extrait de l’acte I Scène d’exposition - Lecture analytique 2 : Acte I Scène 8 - Lecture analytique 3 : Acte II scène V  - Lecture analytique 4 : Acte II scène VIII  II) Lectures cursives et documents complémentaires