Les Fables Universelles

Démontrer, convaincre, persuader – Les procédés rhétoriques A) Démontrer · Le raisonnement est logique et cohérent. Il impose une vérité qui doit être admise par tous. · L’énonciateur s’exprime de manière impersonnelle et universelle. B) Convaincre · Convaincre n’est plus de l’ordre de la vérité mais de l’ordre de l’opinion. On cherche à emporter l’adhésion du destinataire en s’adressant à sa raison. · On utilise le registre didactique. C) Persuader

Auteur : Jean de La Fontaine Mouvement littéraire : Classicisme Siècle : 17ème Titre de l’œuvre : Les Fables de La Fontaine Contexte de publication : Genre : Apologue, Fable Bio/Bibliographie : Passage : Livre I, fable 5 : Le Loup et le Chien Résumé de l’œuvre : Un loup, maigre et faible, rencontre un chien menu qui lui propose de venir le rejoindre afin de quitter sa misère. Le loup d’abord convaincu, refuse car il ne veut pas renoncer à sa liberté. Registre : Thème : Difficultés :

la fontaine (1621-1695) Les fables de la fontaine constituent l’une des principales œuvres poétiques du classicisme. Jean de la Fontaine qui, par son travail, a permis a ce genre qui était jusque là méprisé, d’être vraiment reconnu comme un genre littéraire . Les Fables ont été écrites entre 1668 et 1694. Les fables de jean de la fontaine sont écrite en vers , la plupart mettent en scène des animaux et contiennent une morale. La fontaine s’inspire dans ses fables , des hommes et surtout de la

l’écrit. L'incipit du conte philosophique s'imprègne de formulations comparables à celles d’un conte traditionnel, formulations temporelles qui reviennent comme un refrain, et permettent au lecteur de vivre une immersion dans le monde merveilleux des fables. Cependant, il est écrit dans le but de dénoncer. Dans ses contes philosophiques, Voltaire invite le lecteur à prendre conscience de l'imperfection humaine et de l'omniprésence du mal sur la terre. Il donne aussi une dimension satirique à l'œuvre

Petit rappel : LA FORME COURTE AU XVIIe Dans son discours à Monsieur le Duc de la Rochefoucauld (Fables, X, 14), La Fontaine écrit : "Mais les ouvrages les plus courts / Sont toujours les meilleurs." Le classicisme prône la forme courte. "Placere et docere". Dire beaucoup de choses en peu de mots. La litote est la figure de style par excellence. Pour illustrer, on s'appuie sur les fables, bien sûr ; les tragédies (songez aux règles du théâtre classique : 3 unités) ; Les Maximes de La Rochefoucauld)

l’apologue attend du lecteur qu’il fasse la moitié du travail selon une démarche plus inductive. « L’apologue est composé de deux parties dont on peut appeler l’une le corps, l’autre l’âme. Le corps est la fable, l’âme la moralité. » ( Préface des Fables de La Fontaine). L’apologue permet ainsi d’aller de l’exemple concret à l’idée abstraite. 3. Plaire (pour instruire) Un récit plein d’agrément est susceptible de retenir l’attention et d’intéresser, il est le support privilégié d’une intention

Fouquet, donc s’éloigne de la capitale et va dans le Limousin -retour à Paris en 1664, publication des Contes, qui lui apportent du succès -publication des Fables en 1668, dont le 1er recueil est destiné au dauphin, inspiré par Esope, Phèdre et d’autres, ses récits sont emprunts de réflexions à la fois morales et personnelles, et les fables sont pour lui un moyen simple de transmettre ses pensées et critique sur la société de son temps à travers des personnifications -placé sous la protection de

et la parole poétique. Que ce pouvoir ne se fasse pas sentir et le texte, en quelque langue que ce soit : latine, grecque, italienne ou française, prétend en vain au titre de poème, révèle son imposture. Du Bellay propose ainsi une définition universelle de la parole poétique : indépendante de la langue et nous prenant par les sentiments, celle-ci s’empare de l’être sensible, l’être de passions qu’est l’homme et ne s’adresse pas à l’être de raison. • Problématique Cette conception du poète n’est-elle

l’auteur, puisqu’il s’interroge, au moment de ce choix, sur l‘ef? cacité de son argumentation en direction de son lecteur. 3. La littérature offre des formes dialoguées dans le théâtre, mais aussi dans la poésie (Les Châtiments de V. Hugo, les Fables de La Fontaine), dans la prose (romans, contes et apologues qui exploitent les ressources des différentes formes de discours rapportés, v. p. 482), dans le genre spéci? que du dialogue tel que l’a pratiqué Diderot, dans l’essai. 4. Délibérer

2nd3 RECUEIL DE FABLES Jean de La Fontaine Le classicisme est un mouvement culturel esthétique et artistique à la frontière entre le XVIIème et le XVIIIème siècle (1660-1715). Il se développe en France et plus particulièrement en Europe.  La Fontaine a écrit deux recueils de fables qui sont divisés en livres. Le premier a été publié en 1668, c’est une dédicace au Dauphin et le deuxième en 1678. La fable prête à l’animal les qualités et les défauts de l’homme et le monde animal crée par