Les Fausses Devotes

Il fait l'éloge du VRAI christiannisme, qui ne fse permet aucun crime, par tendresse, volonté et raison, et blâme totalement la FAUSSE qui autorise en quelque sorte tout et n'importe quoi. Il montre cette grande différence aux yeux de tous premièrement par les termes quelque peu osé «naturelle» et «artificielle» qui dénonce immédiatement un côté «Tartuffe, faux dévôt» pour tous les hommes de guerre. De plus, il attaque directement à la religion qui ne fait pas des sermons sur l'essentiel c'est à

soit révoqué. Il faut une conversion et en général, c'est la femme qui change de religion. Cette conversion est une exigence des Eglises. Concrètement, les individus accordent une place plus ou moins importante à la confession. Les puritains et les dévots y accordent une très grande place. Mais plus on est dans des régions « ouvertes » à d'autres religions, moins on observe une fermeture d'une communauté religieuse vis à vis des autres. Cependant, s'il y a des conversions, on peut quand même conserver

Celui-ci répliqua en 1663 par deux pièces ayant valeur de manifestes (la Critique de l'école des femmes et l'Impromptu de Versailles) dans lesquelles il se mit en scène avec ses comédiens pour tourner en dérision ses détracteurs (petits marquis, fausses prudes et comédiens de l'Hotel de Bourgogne). Les détracteurs ne cessèrent pas leurs attaques pour autant, mais Molière jouissait de la protection du roi et recevait régulièrement de lui des commandes pour les fêtes de la cour, en particulier les

les dévots L’intrigue est identique à celle de la pièce que nous connaissons aujourd’hui, mais il y a une simplifications des actes les 3 actes correspondraient aux 4 actes (le premier Tartuffe triomphe de l’imposteur) Louis XIV fait interdire la pièce après quelque jour : la pièce est capable de produire des très dangereux effets : il le fait pour des raisons politiques religieuses  il ne peut mettre pas en discussion la religion. C’est Molière qui guide la critique pour les fausses pistes

l'hypocrite, le misanthrope, etc. Personnages de convention, types éternels. Un représentant de la société française du 17ème. Valeur satirique des personnages; réalisme de la peinture d'une société définie: les précieuses ridicules, les faux dévots, les bourgeois enrichis, les pédants, les médecins charlatans. La force de ce personnage: il est vraiment au centre de la comédie. C'est lui le héros véritable (titres des pièces). Sa monomanie à caractère obsessionnel marqué rend la conversion

pendant la Révolution et survient à cette époque de grands bouleversements socio-économiques. Molière dans ses comédies cherche à dénoncer certaines manies de la société du XVIIè siècle à travers le rire. Ainsi il s'attaque aux faux dévots dans Tartuffe, aux fausses Précieuses dans L'école des femmes et Les Précieuses Ridicules. Il s'attaque aussi au mouvement libertin en châtiant Dom Juan qui a voulu défier le Ciel. Antigone d'Anouilh est une reprise de mythe mais fortement marqué par la situation

qu’offre la littérature est immense, il suffit de tendre la main pour pouvoir en posséder une infime partie. Au XVIIe siècle, Molière voulait corriger les mœurs en faisant rire. Il nous a laissé un catalogue des « vices » de son temps et si les « faux dévots » sont moins fréquents de nos jours, l’hypocrisie est toujours « un vice à la mode ». En lisant son œuvre, en assistant aux mises en scène de ses pièces, nous rions du ridicule des avares, des maris naïfs, des malades imaginaires, des médecins pédants

DJ SEDUIT CHARLOTTE,ACTE II SCENE II A la fin de l'année 1664, Tartuffe, pièce de molière vient d'être censuré après une cabale de dévots. Il contre-attaque en écrivant Dom Juan. Prés Tirso de Molina, la comédia della arte, Dorimond et Villiers, Molière reprends ainsi le mythe du personnage de Dom Juan qui est alors à la mode aux XVII siècle. En cette période classique, règne de « l'honnête homme », le personnage espagnol excessif qu'est Dom Juan, l’intéresse. Libertin, le Dom Juan de Molière

Analyse linéaire n°5 : “L’huître”, Le parti pris des choses - Francis Ponge (PA) Analyse linéaire n°5 : “L’huître”, Le parti pris des choses - Francis Ponge (PA) T5 : Le Parti pris des choses : prise de position, volonté de défendre une chose = objets et symboles du quotidien. Prose poétique,syntaxe, rythme et sonoritésFond inédit = mollusque + forme (prose et §).Plan : Description

en 1669, de jouer durablement sa pièce Tartuffe. Les dévots en effet, regroupés dans la Compagnie du Saint- Sacrement8, avaient fait pression sur le pouvoir royal et avaient réussi à la faire interdire. Molière soutenait cependant que sa pièce ne ridiculisait pas la vraie dévotion, mais dénonçait seulement les « faux dévots » et l’hypocrisie religieuse à travers le principal personnage de Tartuffe qui profite, sous couvert de la fausse vertu religieuse, de la faiblesse des esprits et prend