Les Fausses Devotes

TARTUFFE Comedie d’intrigueTartuffe est un faux dévot,hébergé chez Orgon qui est épouse avec Elmire et il sont deux enfants:Damis et Marianne.Madame Pernelle (mère d’Orgon) et son fils sont contents par l'arrivée de Tartuffe tandis que les autres pensent qu’il est hypocrite.Marianne est promise par son

Vérité au deçà des Pyrénées, erreur au-delà ». Fragment 56. Il a le goût de la formule sentencieuse. La relativité des sens et de la raison. Fragment 11 : le rire est relatif et subjectif. Fragment 19 : nos perceptions sont émoussées et faussés si nous n’avons pas assez d’existence ou trop. Fragment 20 : la puissance des mouches nous empêche de penser (développer par la pensée 44 : cette puissante intelligence est troublé par une mouche qui bourdonne à notre oreille, une girouette, une

répétées de l’âme et du cœur. * Satire : - pensée critique. - satire sociale. Marivaux invite à considérer le déterminisme de la condition, elle affecte psychologie et mode d’expression. (cf. la lingère.) La satire du discours dévot, Marivaux l’a mise dans la bouche même d’une religieuse. Récit proposé comme une démonstration. * Marianne et Tervire : Marianne incarne l’énergie en tant que son amour propre impose sa vertu comme marque de noblesse. Ses malheurs jalonnent

comme elle s’est emparée de Cécile, puis va être chargé par la même personne de relayer son rôle d'entremetteuse entre Cécile et le chevalier Danceny après que la mère de Cécile a eu connaissance de la relation unissant sa fille au chevalier. Après la fausse couche de Cécile, suite à sa relation avec le vicomte, ce dernier ne cesse d'irriter la marquise avec ses récits et surtout son amour inconscient pour la présidente. Les interprétations sur ce personnages divergent. D'aucun diront qu'il se donne

le terreau vertueux de la chrétienté. Cet attachement profond à la religion est d’ailleurs mis en évidence dans le film de Stephen Frears par la croix d’or que Michelle Pfeiffer porte autour du cou. Après avoir été informé qu’un domestique de la dévote surveille ses déplacements afin de mettre à jour ses noirceurs, le vicomte en profite pour fomenter un stratagème dont le but est d’émouvoir la Présidente pour conquérir son coeur. Pour cela, il se rend auprès de paysans endettés et s’acquitte de

gratification sera renouvelée tous les ans jusqu’à sa mort. L’interdiction du Tartuffe Tartuffe, frontispice de l’édition de 1682 par Pierre Brissart. Pour désamorcer la bombe qu’était le premier Tartuffe (1664), Molière transforme en 1667 son dévot hypocrite en un dangereux escroc qui simule la dévotion. Il adoucit certaines tirades et met l’accent sur l’hypocrisie du personnage plus que sur son rôle de directeur de conscience. Mais la version définitive en 1669 le laisse escroc, tout en lui

destine l’essentiel de sa production au Théâtre-Italien. C’est cette troupe qui, en 1722, joue La Surprise de l’amour. La première représentation, le 3 mai, est très applaudie. Suivent beaucoup d’autres réussites : La Double Inconstance (1723), La Fausse Suivante (1724) et Le Prince travesti (1724). La vivacité de ces pièces inspirées de la tradition de la commedia dell’arte repose sur les coups de théâtre et les chassés-croisés entre maîtres et valets, auxquels Marivaux ajoute l’analyse psychologique

crise c'est-à-dire en temps de pénurie et d'épidémie, c'est l'Église qui organise les secours. Aujourd'hui subsiste une vision sombre et fausse de l'Église catholique sous l'Ancien Régime qui peut biaiser notre étude du sujet en tant qu'historiens : les français sont certes encadrés, et soumis mais ils ne sont pas pour autant mécontents de l'être. Cette vision fausse accentuée par la propagande des Lumières qui dénonce son intolérance et son dogmatisme, semble partiellement infondée au vue des ses

réside au cœur de l’homme, et dans le fragment 66, il le formule ainsi : « Si notre condition était véritablement heureuse il ne faudrait pas nous divertir d’y penser. » La structure logique de la phrase tend à prouver que l’hypothèse de départ est fausse : un homme heureux ne recherche pas le divertissement. Dans le fragment 126, Pascal explique la cause du malheur des hommes : « quand j’ai pensé de plus près et qu’après avoir trouvé la cause de tous nos malheurs, j’ai voulu en découvrir les raisons

le règne de Louis XIV. Ensuite par le biais des différents intervenants jésuites, on peut voir de nombreux mauvais points concernant ses personnages religieux, poussé dans le fanatisme. En effet on voit leur hypocrisie, leur suspicion et leur fausse idéologie comme nous le démontre le scène entre l’abbé de Kerkabon et le jésuite qui pense que le fait d’être Huguenot est un malheur, on cite « votre neveu n’aurait-il pas le malheur d’être huguenot ? » mais d’après le jésuite, c’est un bien plus