Les Fées

« estuaire » et ajouter celui nouveau de « sel ». C’est comme dans un conte où l’extraordinaire joue un rôle important : la particularité du cadre : « un jour de terre gonflée de sel et d’estuaires couleur de sang ». C’est comme dans les contes de fées. Le cadre est angoissant, inquiétant et cela est d’autant plus bizarre et surprenant que c’est bien la narratrice, étant le personnage principal de ce récit, qui en parle. Le terme « mon histoire » peut aussi porter le sens d’affabulation, d’irréel

Extrait de Barbe Bleue : la pièce interdite Introduction : Charles Perrault publie ses "contes" pendant la période classique où les contes de fées sont particulièrement appréciés car ils permettent une double lecture, une destinée aux enfants pour leur apprendre une morale et une autre pour les adultes car l'on trouve beaucoup de passages ironiques et de sous-entendus. Cette oeuvre s'inscrit dans l'objet d'étude sur l'argumentation et plus précisément sur l'apologue. Les "contes" de Charles Perrault

comme une chute où le roi critique sa cour. Elément de résolution : le test du roi. II. Une argumentation indirecte. A) Des personnages traditionnels -Personnages banals : un roi et un pèlerin= personnages traditionnels des contes de fées -Anonymat des personnages secondaire.= « le ministre, la maîtresse, le favori » + « les gens »  = généralisation B) Un cadre spatio-temporel flou. -Peu de repères temporels, géographiques « Naples » , « Constantinople », « le lendemain »

3 garçons dans la version de Beaumont tandis qu’il en a 6 de chaque sexe dans la version de Villeneuve. Plus grand nombre de personnages dans la version de Villeneuve : les vrais parents de Belle, la mère du prince (aussi la tante de Belle) et les fées, bonnes et mauvaises, qui ont influencé le destin de cette famille La version originale de Villeneuve est non seulement plus exhaustive mais nous explique aussi en détail le passé des personnages. Le dernier tiers de l’œuvre nous décrit l’origine de

de pouvoirs surnaturels. La finalité du conte est essentiellement morale ou philosophique. À l’issue du conte, le monde perturbé reprend un visage quotidien. III- Les types de contes : Il existe plusieurs types de contes : puce le conte de fées, qui fleurit au XVIIe siècle sous les plumes de Mme d’Aulnoy et de Charles Perrault, présente, dans un cadre rêvé, une action schématique, des personnages en petit nombre facilement identifiables en « bons » et en « méchants », un propos éducatif ;

pricinpal de ce récit sont l'imparfait et le passé simple : "était", "fit". Dans la plupart des contes de fées, on retrouve souvent un gentil personnage, en général un enfant, qui est confronté à un méchant personnage. C'est le cas dans cette histoire : Le Petit Chaperon Rouge incarne le personnage gentil et le Loup le personnage méchant. Ces éléments nous montrent que ce texte est comme un conte de fées. 4) Ce conte est cruel car à la fin du récit le personnage principal, le Petit Chaperon Rouge se fait

monde présent, ces rimes croisées comme les visions troublées du poète, la présence du fantastique avec les fées qui envahissent la pensée d'Apollinaire.. Le fantastique produit ici une hésitation entre deux interprétations différentes : l'une réaliste, l'autre surnaturelle. De ce fait, la première strophe fait apparaître la vision fantastique des femmes aux cheveux verts, des nymphes, des fées. La deuxième tente de la conjurer en évoquant la présence rassurante des jeunes filles traditionnelles.

époque la littérature populaire n'était pas considérée comme de la littérature et il faut attendre 1697 pour que les versions écrites prennent le pas sur la transmission par le bouche à oreille. Le recueil le plus connu de cet âge d'or du conte de fées français est celui de Charles Perrault, intitulé Histoires ou Contes du Temps Passé (autrement appelé Les Contes de ma mère l'Oye). Plus tard, en 1812, les frères Grimm, publient leurs Contes de l'enfance et du Foyer. Il serait intéressant d'étudier

énergie qui module l’action finale semble être la même qui rode au profond du poète en tant que « flamme », cette même flamme, qui à l’image du poète, est détachée du reste du monde : elle se consomme, se consume et s’épuise. Il parle aussi des « fées » (V. 12) mais on sait que l'absinthe est un ensemble de spiritueux à base de plantes d'absinthe, également appelé « fée verte ». Donc parle-t-il de l’alcool ou du fantastique ? Tout cet épuisement est entre autre dû au détachement du poète (d’où

leur rapport à la réalité n’est pas nécessairement rassurant. C’est pourquoi ils ont besoin de s’inventer un monde dont ils sont les maîtres, dans lequel ils exercent leur toute-puissance, y compris sur leurs peurs. Dans Psychanalyse des contes de fées, Bruno Bettelheim explique que le conte ne traumatise pas l’enfant mais renforce sa structure mentale en l’informant des épreuves à venir et des peurs qui s’y rapportent : ainsi, les thèmes privilégiés de ces types d’écrits sont la mort, l’abandon