Les Femmes de l'ombre

maîtresses et à la collusion entre la finance, la presse et la politique. Sur fond de politique coloniale, Maupassant décrit les liens étroits entre le capitalisme, la politique, la presse mais aussi l’influence des femmes, privées de vie politique depuis le code Napoléon et qui œuvrent dans l’ombre pour éduquer et conseiller. Satire d'une société d'argent minée par les scandales politiques de la fin du xixe siècle, l’œuvre se présente comme une petite monographie de la presse parisienne dans la mesure où

les bâtiments du journal « La vie française », l’hôtel des Walter à la fin du roman ou encore la petite maison des parents de Duroy, sont décrits très minutieusement. On pourrait se servir du livre comme d’un guide. Dans ce roman l’argent et les femmes sont remis en cause. On peut voir dans ce roman qu’avec l’argent on peut presque tout obtenir. Le protagoniste est un homme avide d’argent, qui souhaite toujours plus. Au début du roman, il cherche un nouveau travail. Plus tard, une fois marié à Madeleine

seul était capable d’un dévouement sans bornes ; lui seul eût consacré sa vie entière à la femme qu’il aimait, aussi facilement qu’il aurait bravé la mort pour elle. Octave se disait que ce n’était qu’un débauché sans cœur, qu’il estimait point les femmes. L’amour qu’il inspirait était comme celui qu’il ressentait : l’ivresse passagère d’un songe. Il ne savait pas les secrets que Cœlio savait. La gaieté d’Octave était comme le masque d’un histrion ; son cœur était plus vieux qu’elle, ses sens blasés

«secondarisés», c'est-à-dire négligés et dévalorisés de l'industrie du cinéma. Parmi ces aspects, on peut mentionner: l'histoire des œuvres marginalisées, comme les films industriels, les films religieux et les courts métrages en général; celle des femmes anglophones du Québec, ce qui va à l'encontre de la pratique habituelle; et, enfin, l'histoire des activités «périphériques» à l'industrie du cinéma, comme le personnel des salles, l'enseignement, la critique, les cinémathèques ainsi que les activités

péjoratif, démonstration du coté noble dilemme moraux. 2) Assiste débat sur la désidérabilité sur les différents régimes -Ce qui est souhaitable démocratique vs aristocratie. (Platon voulait une démocratie ( imparfait dans son temps car exclue les femmes et esclaves) par les discussion débat. 3) Pluralité: À l'époque débat intellectuel ou artistique c'est une tendance à la pluralité -Les Dieux , les discours parlent de plusieurs Dieux qui peuvent avoir des conséquences sur l'humain -Des valeurs

tout résistant (arrestation, torture, déportation, mort (vers 13)) et met en avant l’esprit de fraternité qui relie ces hommes. Le vers 14 montre l’action clandestine (« sort de l’ombre ») des résistants mais aussi la solidarité qui les unit : ils forment une chaîne jusque dans la mort (« Ami, si tu tombes un ami sort de l’ombre à ta place ») et la force de la Résistance. Le « sang noir » du vers 15 fait écho au « vol noir » du vers 1 mais annonce la fin du nazisme. Le groupe nominal « au soleil » évoque

un nom féminin du milieu du 20ème siècle qui se réfère à la domination des hommes sur les femmes. C’est aussi un système qui utilise soit ouvertement soit de façon subtile tous les mécanismes institutionnels et idéologiques à sa portée(le droit, la politique, l’économie, la morale, la science, la médecine, la mode, la culture, l’éducation, les mass medias etc.) pour reproduire cette domination sur les femmes. • L’ethnocentrisme c’est le fait pour un observateur d’une société donnée de projeter

LA PAROLE DES FEMMES UNE PAROLE FORTE  Nous allons vous présenter cet exposé en vous parlant de différents arts à travers le 19ème et le 20ème siècle. Premièrement, nous vous parlerons du contexte artistique de l’époque pour les femmes puis nous vous présenterons deux œuvres. Au XIXe siècle, les femmes talentueuses avaient peu de possibilité de le montrer aux autres. En effet, la société de l’époque trouvait ça choquant qu’une femme montre ses œuvres au public. Il faudra attendre le milieu

douze ans, toutes les femmes de plus de quarante ans et tous les enfants de moins de deux ans, les autres pouvant être réduits en esclavage. Le bilan est estimé à 25 000 morts tandis que 45 000 Grecs auraient été vendus comme esclaves. Delacroix a été sensible à cet événement historique et a voulu illustrer ce massacre pour sensibiliser l’opinion. Description du tableau Au premier plan, quinze figures occupent tout l’espace. On distingue des corps d’hommes, de femmes ou d’enfants dénudés,

criminel français. La découverte fortuite que deux femmes avaient disparu à la suite d'un séjour dans la ville de Gambais, mit la police sur la piste de leur mystérieux séducteur, d'âge mûr et aux identités multiples. Ce portrait imprécis était, en fait, celui d’Henri Désiré Landru. Pour subvenir aux besoins de sa famille, Henri Landru, à partir de 1915, se faisant passer pour un homme veuf, esseulé et disposant d'une certaine aisance, entreprit de séduire des femmes seules et riches. Simulant une prospérité