Les Femmes savantes

Deux jours avant la création, Molière, dans une harangue au public, avait recommandé qu’on ne recherchât pas de clefs aux personnages de la pièce. En d’autres termes, l’auteur des Femmes savantes entendait affirmer qu’il ne s’était inspiré d’aucun de ses contemporains, qu’il ne prétendait attaquer et ridiculiser aucun de ses ennemis. Pourtant tout le monde voulut voir en Trissotin l’abbé Cotin avec qui Molière entretenait un contentieux. Cet ecclésiastique, érudit sachant le grec, l’hébreu et le

Les Femmes Savantes de Molière (1672) Scène d’exposition (act1 scn1) Consigne : Rédiger les deux parties du commentaire argumenté des Femmes Savantes de Molière I. Armande et Henriette, deux points de vue qui s’affrontent : A. Deux approches contraires du mariage *deux tirades : dialogue entre les deux personnages + ponctuation très importante + 5 phrases / 4phrases donc dvlp *Discours argumentatif donc dvlp des idées B. La vision d’Armande ou la femme libérée par l’amour

Scène 4 : Clitandre et Bélise Bélise, l'une des « Femmes savantes », est la belle-sœur de Philaminte. Elle croise Clitandre qui lui explique ses intentions d'épouser Henriette. Convaincue que Clitandre lui adresse des regards amoureux détournés, elle ne tient aucunement compte de ses propos. Acte III Scène 1 : Philaminte, Armande, Bélise, Trissotin et l'Épine C'est la première apparition du fameux Trissotin, qui charme les Femmes savantes avec son alignement de vers éloquents. L'Épine est

Les trois textes composant le corpus rapportent, à travers le théâtre, une discussion entre un(e) futur(e) marié(e) et un proche. Deux des oeuvres, L'Ecole des Femmes ainsi que Les Femmes Savantes sont deux pièces du dramaturge français Molière, et appartiennent au mouvement du classissime. Le troisième texte, Le jeu de l'amour et du hasard, bien qu'également une pièce de théâtre française, est rédigé de la main de Marivaux, pendant l'époque des Lumières. Quels sont les points communs entre ces

Les Femmes savantes-Acte II scène 6 Molière. Introduction: Le texte dont je vais vous parler est extrait de l'acte II de la scène 6 des Femmes Savantes de Molière . Cette pièce a été représenté pour la première fois en 1672, soit un an avant la Mort de Molière .Cette comédie est composée en 5 Actes et est écrite en vers plus précisement en alexandrins . Son originalité est qu'elle est écrite comme les tragédies le sont habituellement . Elle appartient à l'époque du Classissme qui a

de la tirade de Chrysale est la manière sont les femmes ditent savantes parlent, et la critique de leur beau language et de leur éducation. La thèse que Chrysale développe est qu'il est supperflu pour une femme d'étudier. Elles doivent avant tout nourir leur famille et qu'elle s'occupe de son foyer. Il utilise des exemples concrets sur le pendentisme qui ne sert à rien. Pour défendre sa thèse, il s'appuye sur les éléments suivants: - Les femmes n'ont pas besoin d'apprendre tant de choses, car

Tle ES 3 DM no 3 Pour lundi 10 janvier 2011 Exercice 1. Dans cet exercice, les probabilit´es seront donn´ees sous forme de fractions irr´eductibles. Une urne contient six boules : trois bleues, deux jaunes et une noire. 1. On tire successivement et avec remise deux boules de l’urne. (a) Pour chaque tirage d’une boule de l’urne, on note B, J et N les ´ev´enements : – B : « la boule tir´ee est bleue » ; – J : « la boule tir´ee est jaune » ; – N : « la boule tir´ee est noire ». Faire

érudit) Rabelais +++ (Gargantua et Pantagruel, géants) allie la fiction aux ambitions de l'humanisme. Le roman à l'âge classique Un genre suspect, mais fécond. Un mépris durable, la méfiance du 16° s'etend aux siècles suivants, mépris des doctes (savants) pour ce genre considéré comme un divertissement pour public féminin Pas encouragé par l'église (récit mensonger et parfois licencieux pervertissant..) Mme de Lafayette ne signera pas son oeuvre Cela pose la ? du rapport qu'entretiennent fiction

"soupirez". Ceci illustre son caractère dominateur. Elle se rend ridicule en lui imposant de l'aimer. Qui plus est, elle refuse un mariage qu'elle fabule et qui ne lui est pas proposé. Encore une fois, Molière appuie sur les paradoxes de la préciosité. Les femmes veulent séduire dans l'optique d'être aimées, cependant lorsque l'engagement s'offre à elles, elles le refusent de manière faussement pudique. Pour finir, en plus de critiquer langage et rapport plus que pernicieux à l'amour, l'auteur raille

 ARMANDE Quoi ? le beau nom de fille est un titre, ma sœur, Dont vous voulez quitter la charmante douceur, Et de vous marier vous osez faire fête ? Ce vulgaire dessein vous peut monter en tête ?   HENRIETTE Oui, ma sœur.   ARMANDE Ah ! ce « oui » se peut-il supporter, Et sans un mal de cœur sauroit-on l’écouter ?   HENRIETTE Qu’a donc le mariage en soi qui vous oblige, Ma sœur… ? ARMANDE Ah, mon Dieu ! fi !   HENRIETTE Comment ?   ARMANDE Ah, fi ! vous dis-je. Ne concevez-vous