Les Fiancés de Rome

Horace, symbole du devoir de l’Etat - Accusation d’Horace (vers 2/3) montre un sentiment d’indignation et de trahison - Raisonnement (vers 4 à 6)  verbe à l’impératif - Répétition du verbe « aime » - Sens du devoir et de fidélité envers Rome (vers 6) - Antithèse (vers 4) se réjouir de la victoire Curiace C’est un gentilhomme d’Albe fiancée à la romaine Camille. Il est choisi avec ses deux frères pour affronter les Horaces. Tout comme son adversaire, il ne souhaite pas

les terrassa l'un après l'autre. Ainsi, gloire donnée à peu de nations! la main d'un seul homme nous obtint la victoire ; il la souilla bientôt par un parricide. Il vit sa soeur pleurer auprès de lui sur les dépouilles d'un Curiace, son fiancé, mais l'ennemi de Rome. Horace punit par le fer les larmes intempestives de cette jeune fille. Les lois réclamèrent le châtiment du coupable; mais la valeur fit oublier le parricide, et le crime disparut devant la gloire. Cependant les Albains ne furent pas longtemps

bébé est emmailloté dans un tissu dans un linge qui lui couvre le buste mais qui laisse les jambes et les bras libres. Le mariage Les conditions du mariage Seuls les hommes libres peuvent se marier : les esclaves ne disposent pas de ce droit Dans la Rome antique, l'âge légal du mariage est de douze ans pour les filles et de quatorze ans pour les garçons. Mais dans les faits, les hommes se marient plus tard, lorsque leur situation sociale est établie. Les hommes se marient généralement vers 35 ans.

Bien que notre œil soit d’abord attiré vers le centre du tableau, la lecture de l’œuvre se fera de gauche à droite, à la manière d’une frise. Ainsi, nous voyons d’abord la Victoire couronnant Scipion qui lui-même tend sa main vers Briséis et son fiancé Allucius et notre regard finit sur les soldats en admiration devant l’acte de Scipion. On peut remarquer une remarquable symétrie dans cette œuvre. Les deux servantes sont juxtaposées aux deux amis d’Allucius, les soldats derrière Scipion tiennent

Mithridate (1673) Iphigénie (1674) Phèdre (1677) C) Extraits Andromaque Après la prise de Troie, Andromaque, veuve d’Hector est devenue captive de Pyrrhus fils d’Achille. Elle est placé devant un dilemme : soit elle épouse Pyrrhus bien qui soit fiancé à Hermione, fille de Ménélas et d’Hélène ; ou elle perd son fils, Astyanax qu’Oreste, fils d’Agamemnon et de Clytemnestre, est venu chercher au nom des Grecs. Durant toute la pièce, Andromaque hésite. Lorsqu’elle repousse Pyrrhus, celui-ci revient

« larmes ») . On remarque que dès la mort de son fiancé, elle développe une aversion envers son frère et sa patrie ( « ne cherche plus ta sœur où tu l'avais laissé », « Rome, l'unique objet de mon ressentiment »). De plus, on peut voir que son frère la considère comme un traîtresse étant donnée qu'elle aimait un homme qui appartenait à la cité rivale de Rome « aime, aime cette mort qui fait notre bonheur […] Ce que doit ta naissance au intérêt de Rome ». Mais ce qui rend cette jeune femme tragique

ouvrage intitulé Histoire romaine. Les chapitres XXIII à XXVI du livre Ier relatent la guerre entre Rome et Albe tout comme la pièce de Corneille. Dans le livre Ier, Tite-Live narre d’abord l’arrivée d’Enée en Italie, ses hauts faits et sa mort. Puis, il en vient à la fondation et à l’histoire d’Albe la Longue. Ensuite, il raconte la légende de Romulus et Remus desquels découle la création de Rome. Le peuple romain d’alors est dépeint comme cruel et guerrier ainsi que le montre l’épisode des Sabines

frères de deux familles, les Horaces et les Curiaces, qui doivent s‘opposer dans une bataille pour leur patrie afin d’éviter un bain de sang entre Rome et Albe. Hélas, les trois frère de la famille Horace et les trois frère de la famille Curiace sont non seulement amis, mais aussi beaux-frères: Horace est l’époux de la sœur de Curiace, et Curiace est fiancé avec la sœur d’Horace. Désormais chaque homme doit choisir entre patrie et famille. Corneille met donc en question le choix d’un homme entre l’honneur

Le tableau a été commandé par le roi Louis XVI. Elle fut achevée en 1785. Exposée d’abord à Rome dans l'atelier du peintre, ensuite ramenée à Paris et exposée au Salon de 1785, elle eut un énorme succès. C'est une peinture d'histoire. C'est une peinture à huile. Elle mesure 3,30 m sur 4,25 m. Présentation de l'épisode historique Sous le roi Tullus Hostilius, les cités rivales d'Albe et de Rome, plutôt que de s'épuiser dans des luttes stériles, préfèrent nommer les champions qui combattront

leur patrie et vont à contresens des règles de la société antiques. Par exemple, Camille, romaine, reproche à Horace la mort de son époux qui a été tué par celui-ci lors de l’affrontement final, entre trois Albens et trois Romains, de la guerre entre Rome et Albe. Antigone s’oppose à Cléon, son oncle, pour offrir à son frère de dignes funérailles. En effet celui-ci a été laissé pour mort par Cléon suite à un combat perdu opposant Polynice, et son frère, Étéocle pour le trône de Thèbes. De plus ces