Les Freins A La Mobilité Sociale

Gérer les carrières et la mobilité Cours1 Le parcours professionnel : gérer l’évolution des carrières Gérer les carrières et la mobilité Introduction I. La carrière, un élément fondamental de la GRH a. La notion de carrière Correspond à la succession des emplois occupés par un individu au cours du temps. Renvoie à la fois au passé, au présent et à l’avenir du salarié dans l’organisation. Mais plus complexe qu’avant : 60’s : temps durant lequel une personne exerce un travail (pas de réflexion

L’évolution de carrière La plupart des entreprises proposent, dans une logique de performance, un plan de carrière à leurs meilleurs commerciaux. Parallèlement, le vendeur s'intéresse à ses possibilités de progression, cherchant à évoluer vers des postes à responsabilité, à l'interne comme à l'externe. I. Les enjeux • A. Pour l'entreprise Quel que soit son contexte, marché en crise ou marché porteur, l'entreprise doit anticiper les évolutions de poste et mettre en place une politique prévisionnelle

carrières, transition, plafonnement, mobilité, compétence. Définitions issues de XM Littré : Carrière : Le cours de la vie, le temps pendant lequel on exerce une charge, un emploi, etc Transition : Manière de passer d'un raisonnement à un autre, de lier les parties d'un discours, d'un ouvrage. Ménager les transitions. Une heureuse transition. L'art des transitions. Plafonnement : Travail de plafond. Mobilité : Facilité à passer promptement d'une disposition à une autre. Compétence : Habileté

système social, il est néanmoins leur fondement. La société anglaise est, à l’époque où Elisabeth monte sur le trône, une société extrêmement hiérarchisée, avec des structures sociales fortes, et théoriquement stables ; cependant cette stabilité correspond plus au désir de la Reine qu’à la réalité, et c’est pourquoi, après une première partie descriptive de la sciété élisabéthaine au début du règne, on s’intéressera aux évolutions de cette société : contestation active de sa hiérarchie ou mobilité sociale

continue * Les décisions sont toujours adaptées à l’environnement * Il n’y a pas qu’une seule manière pour gérer les Hommes. I.Les références théoriques * Administration du personnel : Taylor, Fayol  Les individus étaient plutôt des effectifs à gérer, ils sont importants pour leur productivité ; on ne s’occupe pas beaucoup de leur motivation. * Développement social : (60’-70’s)  On s’intéresse aux relations sociales dans l’entreprise et donc les relations entre les salariés

(la Commission Européenne a même émis la possibilité d’un taux de chômage à deux chiffres pour la France en 2010 autour de 10,5%). Et cette situation met en exergue les inégalités économiques au sein de nos économies de marché. Les théoriciens néoclassiques montrent qu’importe le moyen utilisé pour atteindre la croissance économique, seule la réalisation de cet objectif fixé de croissance (c'est-à-dire l’efficacité) compte même si cela peut engendrer des inégalités, c'est-à-dire des disparités principalement

Cette évolution s’explique par la crise économique. En effet, en France, les entreprises sont confrontés à un recul de l’activité qui entraîne non seulement une réduction de l’utilisation des véhicules industriels. Moins utilisé, le parc de véhicules industriels n’a pas besoin d’être renouvelé comme il l’était auparavant. Il ne faut pas oublir que les entreprises sont frileuses : elles hésitent à faire des investissements supplémentaires dans cette période de fragilité économique. Elles préfèrent garder

substituable 2) Taille du marché en volume :  Marché en volume Le marché est mesuré en quantité c’est à dire en nombre d’unité de consommation en référence à une période donnée. Marché en valeur Le marché est valorisé en unités monétaires, c’est à dire en chiffre d’affaire (CA) sur une période donnée. ( qté  prix de vente) Marché réel Il est mesuré par les ventes effectives du produit considéré sur une

L’EXISTENCE DES INÉGALITÉS EST-ELLE NÉCESSAIRE AU PROGRÈS ÉCONOMIQUE ET SOCIAL ? De nos jours, où c’est une construction européenne résolument libérale qui se met en place, où la déréglementation des marchés et l’ouverture des frontières favorisent l’échange des capitaux et accentuent la concurrence économique entre les états, c’est une augmentation des inégalités qui est craint ou souhaité par les populations. C’est un choix idéologique qui oppose alors partisan d’un monde, ou du moins

maoïste ? » Le monde du travail en chine a subi de profonds changements. Nous essayerons de cerner ses changements à travers le deux «mondes » qui s’opposent en chine : le monde paysan et le monde urbain. Autrefois, sous le régime communiste, le marché du travail était marqué par la collectivisation, mais il s’est avéré que pour un pays aussi immense que la chine ce modèle économique n’était pas viable. Au niveau de l’agriculture, l’on a observé une stagnation de l’économie qui présentait