Les Grandes Questions Que Se Posent Les économistes

Il se résume à une question essentielle : Comment satisfaire au mieux des besoins humains jugés illimités, alors même que les ressources mobilisables pour y parvenir sont limitées ? Un besoin est un désir, c’est aussi un manque, une privation que chacun chercher à réduire. Les besoins sont : Physiologiques : se nourrir, se vêtir, se loger… Affectifs : être aimé, admiré… Psychosociologique : être respecté, reconnu… Intellectuels : penser, s’informer, s’exprimer… Les économistes s’intéressent uniquement

lui-même sur ce point. Dans la deuxième partie des conclu- sions de l’Essai sur le don (dans les « Conclusions de sociologie économique et d’économie politique »), après être revenu sur le kula, il écrit : « Ces faits répondent aussi à une foule de questions concernant les formes et les raisons de ce qu’on appelle si mal l’échange, le “troc”, la permutatio des choses utiles » [Mauss, 1950, p. �66-�67]. Un peu plus loin, il ajoute : « On peut dissoudre, brasser, colorer et définir autrement les notions

peuple veut être grand, le vice est aussi nécessaire à l’Etat que la faim l’est pour le faire manger, la vertu seule ne peut faire vivre les nations ». C’est dire que le vice non seulement constitue intrinsèquement notre humanité, mais en plus lui est utile : private vices, public benefits, dit la vox popula anglaise. Ces affirmations ne sont pas sans conséquences ; quelles questions de droit sous-tendent-elles ? Si ce sont les économistes qui les premiers se sont interrogés sur la question de l’utilité

satisfaits. Il n'y a pas de gaspillage : l'argent que l'on est prêt à consacrer se fera de manière optimale. Le marché sanctionne les mauvais abus du capital et du travail pour éviter les gaspillages. II. Les externalités positives. C'est la question des brevets. L'objectif de cette recherche, c'est la découverte d'une invention qui va relancer le marché. C'est la conséquence de l'activité économique d'un agent sur un autre agent sans compensation monétaire. => lorsqu'une entreprise dépose un

entreprises pour connaître le cadre contraignant et contingent dans lequel elles effectuent leur calcul économique et prennent leurs décisions stratégiques. • Aux pouvoirs publics pour apprécier la contribution d’une industrie donnée à la réalisation des grands équilibres macro-économiques, et les possibilités d’inflexion qui peuvent y être apportées. 4 • Aux syndicats professionnels pour estimer l’efficacité du fonctionnement de leur industrie et son potentiel de croissance, ou encore de résistance à

d’ailleurs fortune comme agent de change, puis étudiera les mathématiques et la chimie. A 25 ans, cet homme avait suffisamment d’argent pour se retirer des affaires, ce qu’il fera 12 ans plus tard, au grand bénéfice de la théorie économique. Il débattra et entretiendra des correspondances avec les économistes classiques de son époque, notamment J. Mill (le père de John Stuart) et T. R. Malthus avec lequel il fut en désaccord. Par contre, les relations avec J.B. Say furent plus tendues, celui-ci n’hésitant

on constate que des hétérodoxies s’affirment dans leur volonté d’exister et font même parfois preuve d’un dynamisme indéniable1. Ensuite, l’économie du travail a opéré dans la crise un retour en force incontestable, à la recherche qu’étaient les économistes halshs-00327617, version 1 - 9 Oct 2008 de modèles explicatifs de la persistance du chômage. À nouveau, l’économie d’inspiration néo-classique a fourni les bases principales (modèles de salaire d’efficience, insiders-outsiders...), mais, en

INTROCTION A LA SOCIOLOGIE GENERALE LES GRANDES ORIENTATIONS THEORIQUES * Est-ce qu’il faut partir de l’élément (l’individu) ou de la totalité (la société) du monde social ? (Perspective HOLISTE ou INDIVIDUALISTE) * Faut-il procédé en sociologie comme dans les autres sciences ? (sociologie = sciences molles, autres sciences = sciences dur) Trois grandes problématiques : * Quelle est la nature de l’ordre social ? Comment les sociétés existent et se soutiennent elles ? * Pourquoi

au titre et l’investissement ont connu une augmentation plus forte, de 10,3% Cela ne porte pas sur les mêmes sommes mais cette très forte augmentation de l’investissement explique la hausse plus importante de PIB. Pourquoi ces 2 grandes variables ont connu cette hausse? consommation L’augmentation est attribuable d’une part à l’augmentation de leur revenu mais aussi à la baisse du taux d’imposition sur les revenus qui a libéré du revenu disponible et dû aussi par une nouvelle

liés à la question du changement climatique. Le premier rapport du GIEC a été publié en août 1990 et mis à jour en 1992. Il a servi de base scientifique à la négociation de la Convention cadre adoptée en 1992 à Rio de Janeiro. Le GIEC a rendu public, à la fin de 1995, son deuxième rapport d’évaluation (3). Le rapport spécifique sur les dimensions économiques et sociales [3] comprend onze chapitres traitant, notamment, de la prise de décision en situation d’incertitude, des questions d’équité intra