Les Infractions Non Intentionnelles

Antérieurement, un arrêt de la Chambre criminelle du 8 mars 1883 avait proclamé le principe de l’irresponsabilité de la personne morale  La personne morale était le fruit d’une abstraction et ne pouvait avoir de volonté propre. L’élément intentionnel de l’infraction, c'està- dire, l’intention délictueuse faisait nécessairement défaut. Par ailleurs, il était difficile de trouver des sanctions adaptés aux personnes morales (Exemple : Elles ne peuvent être emprisonnées). Aucun argument n’a

une infraction commise, on part sur a logique qu’on a lésé la société toute entière. L’amende est donc versée à la société, au Trésor public. Ceci a pour but de présumer la mauvaise intention. Le droit pénal des affaires est une branche du droit pénal général. Le droit pénal des affaires n’est apparut qu’après la Première Guerre Mondiale. Il s’est considérablement enrichi après la Seconde Guerre Mondiale, de manière excessive. Après la crise de 1929, création de nouvelles infractions.

SECTION 1. La classification tripartite des infractions. I] Présentation de la classification (contenu). A) L’origine et la valeur de la classification. Cette classification tripartite est récente. Code de 1791. Reprise dans le code pénal de 1810 et se maintient dans le code actuel. Pourtant cette classification a fait l’objet de critiques. Critique tenant au caractère criminellement inexact (séparation en délinquant coolos et criminels irrécupérable). On s’aperçoit qu’il y a des criminels

juridique avec les moyens des juristes, de sorte que le pénaliste s’intéresse moins à la criminalité qu’à l’infraction. C’est l’infraction qui est au centre du système, c’est la traduction juridique du concept de criminalité. SECTION 1 : L’objet non spécifique du droit pénal : la criminalité Il faut connaitre la criminalité pour lutter contre elle. L’étude de la criminalité C’est un phénomène complexe qui a deux aspects. C’est d’abord un phénomène social (toute société connait la criminalité)

la loi applicable, et le problème de déterminer l’élément moral de l’infraction, si elle était intentionnelle ou non intentionnelle en l’espèce. Pour engager la responsabilité pénale d’un individu, il y a plusieurs éléments constitutifs de l’infraction à prendre en considération notamment l’élément légal, l’élément moral et l’élément matériel. Le premier élément c’est que pour qu’il y ait une infraction il faut qu’il y ait un texte et donc la notion même de l’infraction. Ce texte est l'élément légal

tenu à eux que le crime ait été consommé, seront punis de mort ». Il s’agit de l’Edit de 1682, édicté à la suite de la tragique « affaire des Poisons », série d’empoisonnements survenus sous le règle de Louis XIV. Comment qualifier cette infraction ? Une infraction, comportement interdit et répréhensible, se caractérise en droit pénal français par trois éléments : un élément légal, un élément matériel et un élément moral. L’élément moral, qui intéressera spécifiquement notre exposé, traduit la volonté

comportements asociaux, les infractions. Le droit pénal général est relatif à la théorie générale du droit pénal. Ce sont les bases de la responsabilité pénale. Sa particularité est que les règles qu’il énonce trouve a s’appliquer pour toutes les infractions, on ne va pas les distinguer selon la graviter de l’infraction. La procédure pénale contient toute les règles qui vont concerner la recherche, la poursuite ainsi que le jugement des individus qui commettent des infractions. La procédure pénal a une

comportement que l’individu ne doit pas enfreindre. Lorsque ce dernier passe outre, des dispositions sont prises pour qu’il en réponde. Aussi définira-t-on le droit pénal comme « l’ensemble des règles qui régissent la réaction de l’Etat vis-à-vis des infractions et des délinquants »[4]. L’individu ou alors la personne physique, suivant le comportement qu’il ou elle adopte peut être qualifié de délinquant ou victime, même si l’individu victime n’a pas été suffisamment pris en compte par la matière

criminelle », en l'occurrence ceux qui mettent tout en œuvre ou qui mettent en commun des moyens pour réaliser une entreprise délictueuse. Car pour être considéré comme délinquant encore faut-il avoir commis une infraction, c'est-à-dire non pas seulement un fait dommageable, mais une infraction prévue précisément par la loi. Parler du délinquant c'est parler de « l'auteur », du « coauteur, » de « l'auteur moral ou intellectuel » et du « complice » selon le degré de participation criminelle de ces différents

criminel. c’est la branche du droit qui a pour objet la répression des comportements les plus graves. LE droit pénal a pour but de punir la violation d’interdits qui ont été posés par la société. Dès lors qui dit droit pénal dit commission d’une infraction = comportements que la société a entendu réprimer parce qu’ils étaient considérés comme contraires aux règles fixées par celle-ci. 3 groupes selon la gravité du comportement : - Crimes - Délits - Contraventions Cette classification