Les Inégalités De Politisation

leur demande ? Les autres revendications ne font que légitimer la philosophie dont elles sont issues. Elles veulent réaliser l’idéal d’égalité inhérent à la citoyenneté. En niant les différences (ethniques, religieuses, etc.), l’Etat augmente les inégalités. Il faut donc reconnaître des droits différents aux citoyens appartenant à des groupes politiquement défavorisés. De plus, ces revendications ont des antécédents historiques. D’ailleurs, ceux qui défendent la citoyenneté traditionnelle n’arrivent

même s’il y a des méthodes d’observation, ce n’est pas une science. La posture d’expert du social, d’ingénieur social. Elle s’est beaucoup développée au XIXème quand la question politique majeure est devenue la question sociale, la question des inégalités et de savoir comment faire tenir une société. Beaucoup de problèmes se développent à cette époque : l’exode rural, violence, mortalité infantile etc. On a une très forte instabilité politique. L’idée se développe qu’il faut connaitre les rouages

devant l’absence d'école (18,9%) et le coût jugé élevé de la scolarisation (15%). Les Assises Nationales sur l’Education de 2002 observent « ces dernières années une désaffection vis-à-vis de l’école dans certaines zones rurales » et notent que les inégalités restent « significatives par genre, par région, par zone et par statut socioéconomique des ménages». Cette situation résulte du constat que les enfants envoyés à l’école sont souvent, en terme de ressource humaine, perdus par les parents. Les

village ». Plusieurs facteurs contribuent à cette politisation des campagnes : - L’instauration de l’école primaire gratuite et obligatoire qui va « franciser » les paysans, il faut attendre 1881-1882 - Le service militaire et le développement des réseaux routiers et ferroviaires qui contribue à désenclaver les campagnes françaises + meilleur accès à la vie politique - Le développement de la presse, et notamment la presse populaire. Donc par politisation des campagnes, on entend une plus grande attention

gouvernement MEDEF (Lire...). 4.5-Prenons la mesure de la crise démocratique qui frappe le pays. Qui est légitime pour adopter un pacte qui va reformater la société française, remettre en cause des droits acquis depuis la Libération, creuser davantage les inégalités ? Certainement ni le pouvoir en place ni le MEDEF. 4.6-Quels que soient les choix de F. Hollande, annoncés lors des primaires du PS, il n’a été choisi et élu que pour rompre avec Sarkozy. Pendant la campagne présidentielle et les législatives qui

neutralité On se rend compte quʼil y a trop de fonctionnaires attachés à la monarchie, à la religion catholique et on procède donc à une vaste épuration de lʼadministration et on fait accéder à la place le plus grand nombre de républicain. Il y a un politisation de lʼadministration et non plus neutralité et des hommes politiques comme Waldeck Rousseau ou Combes estiment que lʼanti-cléricalisme est un devoir de défense républicaine. Tout un mouvement de laïcisation de lʼEtat se met en place qui va culminer

imitent ensuite ces initiatives dans tout le pays. C'est l'époque où les idées défendues par Karl Marx commencent à se diffuser en Europe. Les principaux leaders du mouvement syndical naissant vont d'ailleurs épouser ces thèses. C'est le début d'une politisation de l'action syndicale. Aujourd’hui avec un taux de syndicalisation variant entre 55 et 65%, la Belgique représente l’un des pays les plus syndiqués du monde. Les syndicats font partie plus que jamais du paysage belge et possèdent un pouvoir important

mesure , il etait contre le roi ce n'est que face à l'évolution de la societé qu'il sont passé à droite la notion de proprieté privé à etait favorisé par le libéralisme les libéraux sont passé de la défense du libéralisme eco à la défense des inégalités social la gauche c'est trans e n mvt d'opposition du libéralisme en faisant prévaloir les lois qui régule l'economie keynes et friedmann au fur et a mesure des conquetes social les parties situés initialement a gauche sont passés a droite

« désajustement entre l'offre et la demande »9. En particulier aux États-Unis, les prêts « subprimes » ont incité une partie de la population à consommer au-dessus de ses moyens, ce qui permettait en retour d'assurer la rentabilité du secteur immobilier. Les inégalités de revenus sont devenues très fortes : « l'écart de rémunération entre un PDG et un salarié aux États-Unis de 1 à 40 en 1980, est passé de 1 à 411 en 2005 »10, la création de richesse ayant été captée pour l'essentiel par une petite partie de la

marquée et un isolement individuel de plus en plus fort. Cette société de consommation a inévitablement été suivie de nouveaux problèmes et de grandes dérives, notamment sociales et environnementales. Ces déviations ont lieu avec une accentuation des inégalités à toutes les échelles et l‟augmentation de phénomènes amoraux et dangereux comme le travail des enfants, la vente et la consommation de produits nocifs pour la santé et l'environnement ou le non respect des droits du travail. Face à ces dérives