Les Jacobins

bourgeoisie, niveau de cotisation assez élévé = club bourgeois beaucoup plus que populaire. Club des amis de la Constitution qui résulte de la transformation du club Breton de Le Chapelier, il s'installe dans le couvent des Jacobins dont il va prendre le surnom et devenir le club des Jacobins. Il est ouvert à une élite bourgeoise, un peu plus démocratique que la société de 1789 mais qui est assez élévée pour éloigner les adhérents populaires. Vie politique repose à la fois sur les élus et sur les sociétés

des JACOBINS. Cette société prend le surnom de « Club des Jacobins ». C’est un club très populaire à Paris, qui crée des clubs associés en province et qui sont composés de députés « patriotes » aux états généraux. Autre club qui ouvre de l’autre coté de la seine « La société de l’ami des droits de l’homme et du citoyen » qui prend le nom du local qui l’occupe, les Cordeliers ( voir p 114) défend le même point de vue que les jacobins mais la cotisation est plus faible que pour les jacobins donc

Bastille par le peuple parisien 4 août :abolition des privilèges 26 août : Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen 5-6 octobre : marche des Parisiennes sur Versailles Mai : début de la vente des biens du clergé 12 mai :fondation du Clubs des Jacobins 14 juillet :fête nationale de la Fédération 14 juin : loi Le Chapelier contre les corporations 21 juin : arrestation de la famille royale à Varennes 17 juillet : fusillade du Champ de Mars. La garde nationale tire sur les manifestants, venus signer

l'extérieur de Paris, et de confier la garde de la capitale à Bonaparte. Complices du complot, trois des cinq Directeurs, Sieyès, Barras et Ducos, démissionnent. Les deux autres, Gohier et Moulin, suspects de sympathies jacobines(Sous la Révolution, membre du club des Jacobins ,révolutonaires), sont destitués et arrêtés.  Le lendemain, la troupe boucle le château de Saint-Cloud. Mais les élus des Cinq-Cents réunis dans la salle de l'Orangerie refusent de modifier la Constitution comme on le leur

Denis Diderot en 1751-1772 et s'intitule ''Article Autorité politique''. Le quatrième texte, De l'esprit à été écrit par Claude-Adrien Helvétius en 1758. Le dernier texte est le discours prononcé par Maximilien de Robespierre à la séance du club des Jacobins le 11 mai 1791. Ces cinq textes regroupent des divers éléments de la pensée politique des Lumières entre autres, la remise en cause de la monarchie absolue. Pour dégager ces éléments nous étudierons tout d'abord comment l'autorité du roi est contestée

réaction de cette domination conservatrice et monarchiste, une force de gauche se développa sur un modèle d'organisation similaire de celui des conservateurs en décembre 1789. Ils se firent appeler les « amis de la constitution » et également les Jacobins. Mais à la fin de l'année 1789, cette force radicale était clairement minoritaire face à la coalition de droite. On se rend compte dans cette deuxième partie que malgré la radicalisation du Tiers-Etat et des mesures révolutionnaires prises, la Révolution

Plus de cheveux blancs, Une France nouvelle aux cheveux noirs "), ce sont essentiellement de simples propriétaires et des avocats mais l'on y compte également 26 prêtres, 28 médecins ou savants et quelques militaires. Tous prêtèrent le serment des Jacobins "Vivre libre ou mourir !". Rappelons que cette nouvelle assemblée n'a aucun pouvoir constitutionnel, elle a l'initiative des lois et un droit de regard sur les ministres, elle détermine le niveau du contingent militaire et propose le budget. Le

l’Assemblée constituante établit les libertés fondamentales : liberté de la presse, liberté de culte, de réunion, d’association. Un esprit nouveau souffle sur le pays : on discute politique à l’Assemblée, mais aussi dans les clubs[4] comme ceux des Jacobins ou des Cordeliers à Paris. Un peu partout des journaux de diverses tendances politiques se multiplient. De 1789 à 1791, l’Assemblée élabore également la première Constitution française qui sera finalement promulguée en septembre 1791. Le

du club des jacobins. Jusqu’à présent il y’avait toujours eu un consensus entre les décisions de la constituante et les décisions prises par le club. Cependant, le 15 juillet, le discours est considéré comme trop radical. On a demandé la mise en accusation de Louis XVI et son remplacement par tous les moyens constitutionnels. La constituante décide de maintenir le Roi contrairement au club des jacobins. Une attitude «  anti légaliste » d’où nait la scission. Les 4/5ème des jacobins ont quitté le

libéraux diffusaient ainsi largement leurs idées. Benjamin Constant a été le premier à ouvrir cette voie qui reconnaît l'aspect libérateur de la Révolution tout en rejetant la nécessité du passage par la dictature ou par la Terreur. Pour finir, les Jacobins considéraient que la Révolution été un bloc dont on ne pouvais critiquer les éléments sans remettre en cause l'ensemble. Même les œuvres plus singulières,comme celles de Buonarroti, affirmant qu'un complot des société secrètes se cacherais sous la