Les Journees Perdues Apologue

convaincre (arguments non démontrés, peu crédibles, d'autorité et paradoxaux)    Rabelais comparait son lecteur à un chien devant un os. Derrière les apparences frivoles de son récit, il invite à chercher la "substantifique moelle".       III Un apologue    Fonction didactique, éducative : -          faire preuve d'esprit critique -          ne pas être naïf, crédule    Rabelais oppose 2 types de savoir : -          expérience, observation (partie 1) -          savoir théologique, autorité

de combler certaines lacunes. 2. Apprendre une leçon Le bon élève est celui qui passe un temps restreint mais efficace. Soyez impérativement attentifs au cours et prenez des notes définitives mais claires Relisez la (ou les) leçon(s) de la journée (10mn) Le week-end : prenez 1 à 2h / leçon (selon l’importance) pour apprendre (lecture à haute voix, fiche résumée voire tableau ou schéma, mp3…) et comprendre MP3 et les cours : beaucoup utilisent des « smartphones » équipés d’un enregistreur

perspective : a) Le décor * Ville bruyante d’Afrique : bruit de voiture, le thé sur la terrasse, les oranges ... « boulevards qui grondent ». La place de l’indépendance -> ancienne colonie. * Chaleur : poussière chaude du soleil de la journée. * Ambiance d’une ville des pays chauds. b) Les personnages * 2 frères, l’ainé Jamal/l’autre « je » prends le relai de la narration. Grande proximité, proches -> nous, il : pronoms mélangés, preuve de leur complicité « nous soyons

son espoir, 6 Sa face était de pleurs toute baignée : « Ô ma cognée ! ô ma pauvre cognée ! S’écriait-il, Jupiter, rends-la-moi ; Je tiendrai l’être encore un coup de toi. » Sa plainte fut de l’Olympe entendue. Mercure vient. « Elle n’est pas perdue, Lui dit ce dieu, la connaîtrais-tu bien ? Je crois l’avoir près d’ici rencontrée. » Lors une d’or à l’homme étant montrée, Il répondit : « Je n’y demande rien. » Une d’argent succède à la première, Il la refuse. Enfin une de bois : « Voilà, dit-il

de mon c' ur ce faible rayon d'espérance et m'a fait voir ma destinée fixée à jamais sans retour ici-bas. Dès lors je me suis résigné sans réserve et j'ai retrouvé la paix. Sitôt que j'ai commencé d'entrevoir la trame dans toute son étendue, j'ai perdu pour jamais l'idée de ramener de mon vivant le public sur mon compte, et même ce retour ne pouvant plus être réciproque me serait désormais bien inutile. Les hommes auraient beau revenir à moi, ils ne me retrouveraient plus. Avec le dédain qu'ils m'ont

mon cœur ce faible rayon d’espérance et m’a fait voir ma destinée fixée à jamais sans retour ici-bas. Dès lors je me suis résigné sans réserve et j’ai retrouvé la paix. Sitôt que j’ai commencé d’entrevoir la trame dans toute son étendue, j’ai perdu pour jamais l’idée de ramener de mon vivant le public sur mon compte, et même ce retour ne pouvant plus être réciproque me serait désormais bien inutile. Les hommes auraient beau revenir à moi, ils ne me retrouveraient plus. Avec le dédain qu’ils m’ont

la louange enivre, il fait choir du bec du corbeau le fromage dans la gueule du renard, sa moralité est remplie ; s'il la tournait contre le bas flatteur, il finirait son apologue ainsi : Le renard s'en saisit, le dévore ; mais le fromage était empoisonné. La fable est une comédie légère, et toute comédie n'est qu'un long apologue : leur différence est que dans la fable les animaux ont de l'esprit, et que dans notre comédie les hommes sont souvent des bêtes, et, qui pis est, des bêtes méchantes.

amène d'autres soucis qui en font que la mort devienne presque quelque chose de normal dans le quotidien de cette ville envahie par la peste « Oui, j'ai continué d'avoir honte, j'ai appris cela, que nous étions tous dans la peste, et j'ai perdu la paix. Je la cherche encore aujourd'hui, essayant de les comprendre tous et de n'être l'ennemi mortel de personne. Je sais seulement qu'il faut faire ce qu'il faut pour ne plus être un pestiféré et que c'est là ce qui peut, seul, nous faire espérer

peste amène d'autres soucis qui en font que la mort devienne presque quelque chose de normal dans le quotidien de cette ville envahie par la peste « Oui, j'ai continué d'avoir honte, j'ai appris cela, que nous étions tous dans la peste, et j'ai perdu la paix. Je la cherche encore aujourd'hui, essayant de les comprendre tous et de n'être l'ennemi mortel de personne. Je sais seulement qu'il faut faire ce qu'il faut pour ne plus être un pestiféré et que c'est là ce qui peut, seul, nous faire espérer

cette victoire, demandèrent qu’on leur présente le pilote. relative p. complétive Les éléments qui sont en gras forment la proposition principale. LES TYPES DE PHRASES Au voleur ! au voleur ! à l’assassin au meurtrier ! Justice, juste ciel ! je sui perdu, je suis assassiné, on m’a coupé la gorge, on m’a dérobé mon argent. Qui peut peut-ce être ? Qu’est-il devenu ? Où est-il ? Où se c ache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N’est-il point là ? N’est-il point ici ? Qui