Les Limites Au Principe De Non Rétroactivité

ces principes : "la loi ne dispose que pour l'avenir, elle n'a point d'effet retro-actif". La non-rétroactivité des lois 1- Le principe de non-rétroactivité La loi est rétro-active quand elle s'applique à des situations juridiques constituées avant la mise en vigueur de la loi. Quand on souscrit à quelques chose, c'est en fonction du droit existant, on reste attaché à ce droit là, s'il change ça ne nous concerne pas (ex : testament). 2- Les limites au principe de non-rétroactivité

AkçAY Zeynep D.E.A. Droit des affaires FIORINIELLO Daniele PAK Vadim SCHWARTZ Audrey Les textes fiscaux rétroactifs et le principe de la sécurité juridique au regard de la jurisprudence de la CEDH. 2003-2004 Plan Introduction. I. Violation de l’article 1 du Protocole additionnel par la loi rétroactive en matière d’espérance légitime. A. La loi rétroactive doit poursuivre un but d’intérêt général reconnu légitime. B. Le contrôle de la proportionnalité

délibération du 29 avril 1997 qui avait autorisé la signature d’un avenant relatif notamment aux clauses financières de la concession. Dans cet arrêt nous nous retrouvons face au problème de la question de la durée des délégations de service public par principe nous savons que les délégations domaniales ont un caractère précaire et qu’elles sont révocable autrement dit le bénéficiaire de l’utilisation n’a aucune garantie sur la durée de sa concession. Concernant les contrat de délégations de service public

inventer des sanctions, elles doivent être prévues à l’avance dans la loi pour les crimes ou délits ou dans le règlement pour les contraventions. Cela étant la sanction prévue dans le texte est la sanction maximale que le juge peut prononcer. Le principe de légalité ne signifie pas qu’il doit exister un texte d’incrimination mais que la loi pénale doit présenter certaines qualités. §2. Les qualités de l’incrimination A. La loi pénale doit être claire et précise Cette exigence a une valeur

juridiction, et en particulier, la Cour de cassation. Il est alors question d'un "revirement de jurisprudence". Le revirement touche à la sécurité juridique. La Cour de cassation répond à ceux qui sont enclins à donner priorité au principe de sécurité juridique, que ce principe, qui est le corollaire du droit à un procès équitable prévu par l'article 6 alinéa 1 de la Convention de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, ne saurait consacrer un droit acquis à une jurisprudence immuable

Cas pratique : * Relire la méthodologie. * Le plus important : LA DEMONSTRATION * Structurer en I. et II. Cas pratique n°1 : I. Le mariage est une situation d’origine légale et non de contrat. Mais il existe également des situations d’origine contractuelle dont les effets se produisent dans le temps. Il faut se placer au moment du décès. La vente existe dès lors qu’il y a accord sur la chose et sur le prix. Les effets de la vente : le transfert de propriété. Les situations

décision sur des arrêts antérieurs posant des principes, c’est l’interdiction de la règle du précédent. L’article 5 du Code civil est donc une interdiction de créer du droit. Le XXIe siècle est marqué par une diminution du légicentrisme au profit d’une influence de plus en plus marquée de la jurisprudence sur l’évolution du droit, et ce, à tous les niveaux. En effet, certaines lois présentes aujourd'hui dans le Code civil y furent intégrées grâce aux principes de répétitions, c'est-à-dire la prise de

parties suivantes pour le traiter : le principe de la légalité de l’infraction (l’incrimination), les raisons justifiant ce principe de légalité et la conséquence de ce principe. Partie I : Le principe de la légalité de l’Infraction Dans notre Droit Pénal, il n’y a pas d’infraction sans un texte légal : il n’existe d’infraction que celles prévues et punies par la loi. Ce principe est le suivant ; « NULLUM CRIMEN, NULLA POENA, SINE LEGE ». En fait, ce principe de Droit Pénal est devenu dans la

Selon Portalis « Le législateur ne doit point frapper sans avertir : s’il en était autrement, la loi, contre son objet essentiel, ne se proposerait donc pas de rendre les hommes meilleurs, mais seulement de les rendre plus malheureux ». Le principe de légalité est développé par le pénaliste Italien Beccaria au XVIIIème siècle, il devient alors essentiel pour la garantie des libertés individuelles et pour la sécurité juridique, car il permet un rempart contre l’arbitraire du juge pénal. Dans les

a/l’abrogation Par principe, lois et règlements ont vocation à s’appliquer sans limites dans le temps. Cette ambition à pour origine la conception révolutionnaire de la loi qui prétendait à l’infaillibilité de la loi. Ce principe rencontre néanmoins des limites tant pratiques que liées à la raison. En effet un texte peut prévoir un terme à sa propre application. L’autorité disposant du pouvoir législatif peut faire le choix de mettre fin à un texte. Il existe un principe important : le parallélisme