Les Limites Au Principe De Non Rétroactivité

soumis à la jurisprudence antérieure du Conseil d’Etat et donc n’ayant la possibilité que de former un REP contre le contrat. La position du Conseil d’Etat s’explique par la volonté, d’une part, de faire respecter les intérêts des tiers ainsi que le principe de légalité, de l’effectivité du contrôle juridictionnel des contrats. C’est un large pouvoir que le juge administratif s’octroie (en tout cas plus large qu’avec le REP), en se fondant sur la jurisprudence précédente qui allait dans le sens d’un

exemple). Les sanctions sont exécutées par la force publique (droit des voies d’exécution du 9/01/1991). 3 limites au caractère obligatoire de la règle de droit : 3 limites car : Les règles de droits sont spontanément appliquées, la sanction est l’exception. Le droit n’est pas forcément sanctionné : zone de non droit (exemple en corse,…) Le droit est largement inspiré des règles non obligatoire (exemple règles d’incitations fiscales,…) La règle de droit est générale : Signification :

francaise. Ces affirmations appellent deux tempéremment. 1, c'est que l'unité de la législation nationale n'est pas un principe absolu cad que certaines parti du territoire national sont soumises à des régimes législatifs spéciaux par ex les département de l'Alsace avec l'histoire d ela fce ; il existe un droit local qui est issu des anciennes lois fcaise et allemandes. pas de principe d'unité législative. 2, statut propre aux DOM TOM, mesure d'habitation particulière. Sous cette réserve, tous les textes

notamment la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen du 26 août 1789 (texte dont inspiré des idées révolutionnaires et offrant de nombreux droits et libertés fondamentales aux citoyens), le préambule de la constitution du 27 octobre 1946, les principes fondamentaux reconnus par les lois de la république, la constitution du 4 octobre 1958 et la chartre de l'environnement depuis 2005. Ce phénomène d'élargissement du "bloc de constitutionnalité", c'est-à-dire des textes auxquels le Conseil constitutionnel

compétence pour annuler l acte mais dans sa jurisprudence elle va considérer que ces arrêtés préjudiciels s’imposent à tout juge. La Cour considère aussi que les arrêtés préjudiciels s’imposent aux institutions de l’Union, auteurs des actes invalidés. Le non respect d’un arrêt préjudiciel par une instituions pour entrainer des sanctions. Sans véritable moyen la Cour de justice assure le respect des arrêts préjudiciels par la contrainte qu’elle exerce sur les institutions européenne et par sa coopération

les limites entre loi ancienne et nouvelle. - Deux préoccupations opposées : sécurité juridique & justice sociale. - Sécurité = principe de non rétroactivité des lois. - Besoin de justice = loi nouvelle meilleure que l’ancienne, application de la même loi à tous les individus (égalité de traitement des justiciables), application dans le temps la plus large possible de la loi nouvelle. - Solutions offertes par : le législateur, la doctrine, la jurisprudence. - Article 2 code Civil : non rétroactivité

LE PRINCIPE DE CONFIANCE LEGITIME Influencés par la Cour constitutionnelle allemande, le juge communautaire a progressivement consacré un principe de sécurité juridique qui a vocation à protéger le citoyen de l’arbitraire ou de la remise en cause des situations juridiques qu’il pouvait légitimement croire acquise. Parallèlement, la CJCE a également consacré le principe de confiance légitime, qui a pour objet de limiter les possibilités de modification des normes juridiques. Ce principe vient donc

rien n’exclut qu’une loi attache des effets futurs à une situation passée. Il faut alors déterminer ce qui est régi par la loi nouvelle et ce qui demeure régi par la loi ancienne. On distingue ici entre les situations contractuelles et les situations non contractuelles. La question difficile des droits acquis La doctrine et la jurisprudence ont longtemps raisonné en termes de droits acquis et de simples expectatives, mais ces notions paraissaient vagues et peu adéquates à la question de l'application

prédéterminées par le droit. 3. Droit et religion Droit français est séparé de la religion par le principe de laïcité, car la religion est une question d'ordre individuelle. Cependant le droit garanti la religion par le principe de liberté d'exercer librement son culte et par le principe de non discrimination. Parfois, la religion et le droit peuvent se confondre, dans certains principes et certains points, en sanctionnant le vol, le meurtre ou la triche. III. Les caractéristiques de la

de l’excès de pouvoir. En effet, le juge ne se limite pas seulement à annuler ou à valider un acte administratif mais peut aussi le modifier, voire lui en substituer un nouveau. L'arrêt Société Atom, rendu le 16 février 2009, a permis au Conseil d'État de considérer que lorsqu'il est saisi d'une contestation portant sur une sanction infligée par l'administration à un administré, le juge administratif statue en tant que juge du plein contentieux et non comme juge de l'excès de pouvoir. Le juge, pourra