Les Limites Au Principe De Non Rétroactivité

Histoire Du Droit Semestre n°2 Article 2 : Le principe de non rétroactivité de la loi. Section 2 la sûreté érigé en précepte Il y a 2 élément érigés par Montesquieu il y a la sécurité matériel avec le maintien de l’ordre mais Montesquieu insiste aussi sur un élément aussi moral c’est le sentiment la certitude que l’on a de sa propre sécurité c’est la pensée que l’on ne se fera pas attaqué. L’article 2 du Code Civil vise à donner la certitude au citoyen qu’une nouvelle loi ne viendra pas

à‰volution du debat sur la retroactivite de la norme pretorienne en droit prive : vers un droit transitoire pour la jurisprudence ? par Julien MOAL Facultés des affaires internationales, Le Havre - Master de recherche en théorie générale du droit 2006 Dans la categorie: Droit et Sciences Politiques > Droit Privé précédent sommaire suivant Chapitre I : Evolution des conceptions de la norme jurisprudentielle rétroactive. Section I : Critique de la rétroactivité de la règle jurisprudentielle

Paragraphe 1 – L’objet du droit pénal On peut définir le droit pénal comme la réaction sociale au phénomène criminel, (délinquance et criminalité). Le droit pénal partage un champ d’étude avec d’autres disciplines juridiques ou non. I – Droit pénal et discipline non juridique En effet le droit pénal entretient des rapports étroits à la fois avec la morale et la politique mais bien évidemment il ne se confond ni avec l’une ni avec l’autre. A - 1ère comparaison : Droit pénal et morale

THEME I : Le principe de légalité Sans surprise, particulièrement au regard de l’évolution historique de la matière, l’étude du droit pénal commence forcément par celle de la norme pénale, puisque seul un texte peut fonder des poursuites. Il n’y a et ne doit y avoir de droit pénal en dehors de la norme pénale, la seule à pouvoir ériger des comportements en infraction et leur associer les sanctions correspondantes. Cette exigence porte un nom, le principe de légalité, introduit par

* Loi pénale dans le temps * Non rétroactivité de la loi pénale : valeur supra-législative. * Rétroactivité in mitus : loi pénale plus douce que l’ancienne doit agir rétroactivement. * Article 2 du code civil : * Principe de non-rétroactivité : pas valeur constitutionnelle. Mais 2 exceptions : * Loi interprétative : loi destinée à éclairer le sens d’une disposition législative antérieure sans y ajouter de fond. * Loi de validation : loi adoptée afin de rendre incontestable

les peines étaient prononcées arbitrairement par les parlements. Muyart de Vouglans, un auteur, disait que la peine doit satisfaire l’utilité sociale, prévenir le crime en éliminant éventuellement les malfaiteurs et détourner ceux qui voudraient limiter par la crainte d’un châtiment semblable. Résultat : l’exécution des peines était publique, il y avait l’idée d’exemplarité. Et souvent, les peines étaient atroces : le feu, la roue, la main ou la langue coupée. Troisième phase : Le droit intermédiaire

Mouchy ∗ Plan Introduction Première Partie-Les droits fondamentaux relatifs à la norme d’incrimination Section I- La prévisibilité, la clarté et la proportionnalité de la norme, et leur corollaire, la nonrétroactivité. A- Le principe de la légalité et de la non- rétroactivité. B-Le champ d’application de ce droit. Section II-Le déclin du droit à la légalité. A- Les freins imposés au droit à la légalité. B- La limitation de la dictature législative et de l’autocratie judiciaire. Deuxième Partie-

va satisfaire la majorité de la population et laisser forcément une minorité insatisfaite. * L’avortement : question pénalement réprimé puis sous la pression des associations féminines, on a fini par légaliser l’IVG. * Le cannabis. Les limites : véritable accumulation législative qui se fait et cette accumulation pomme complètement les citoyens car on ne sait plus quelle loi est en vigueur mais aussi les juges car ils ne savent plus où se référer ! Le droit se doit d’avoir une certaine

« Un bigame, c’est quelqu’un qui fait une seconde erreur avant même de corriger la première ». Bien que ce sujet soit ici abordé avec un humour glaçant par Michel Galabru, la bigamie en France constitue pas moins une limite à la volonté individuelle, celle de se marier, communément appelée « empêchement à mariage ». Dans le cas d'espèce, la bigamie est, effectivement, la cause de la nullité du mariage toutefois la nullité rétroactive étant une sanction extrêmement lourde, elle est modulée dans le

dangerosité de la personne et enfin, renouvelable un nombre non limité de fois, violait l'ensemble des exigences constitutionnelles applicables en matière de peines (comme le principe de non-rétroactivité de la loi pénale plus dure et de nécessité et de proportionnalité des peines). La règle de la non rétroactivité de la loi pénale empêche l'application d'une nouvelle loi à une infraction commise avant son entrée en vigueur.Ce principe est rappelé à l'article 8 alinéa 2 de la Déclaration des Droits